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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Fiche de lecture Educateur spécialisé

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La question soulevée dans cet ouvrage concerne l’incestuel. La réflexion de Racamier s’inscrit dans la théorie psychanalytique et plus particulièrement dans la thérapie familiale psychanalytique. Les thèmes traités dans cet ouvrage sont l’inceste et l’incestuel bien sûr, mais également l’œdipe et l’antœdipe, la séduction narcissique entre la mère et le nourrisson, le fantasme et le non-fantasme, le Surmoi, l’objet et le non-objet, les équivalents d’inceste, les secrets d’incestualité.

Maupassant signe dans cette histoire d’une prostituée que des honnêtes gens persuadent, pour sauver leur liberté, de se livrer à un Prussien et qu’ils excluent ensuite de leur société, un récit d’une concision exemplaire où l’ironie et la pitié transparaissent à peine sous le ton indifférent de la constatation des faits. C’est une nouvelle d’une extrême noirceur. Il n’y a aucun secours ou espoir à attendre, ni de certains de ses compagnons, ni même de la religion qui loin de la soutenir, lui donne d’excellentes raisons à son sacrifice.

Cet ouvrage comporte 281 pages. Cet ouvrage cite 164 références bibliographiques. Ces références sont classées par ordre alphabétique. Il n’existe pas d’index thématique, ni d’index des auteurs, ni de glossaire. J’ai trouvé cet ouvrage dans la bibliothèque pédagogique du foyer de vie « le Grand Chêne » à IZEAUX qui était mon lieu de stage de découverte n°1.

La sanction revêt deux formes : la récompense et la punition. Dans ce recueil de textes, nous nous attacherons plus au second concept : la punition qui peut revêtir plusieurs formes : les châtiments corporels, le blâme, la réprobation, l’humiliation, la censure, l’exclusion…

La nouvelle question sociale, de Pierre Rosanvallon, est un essai sur le thème de l’Etat-providence écrit en 1995.Dans cet ouvrage, l’auteur tente d’analyser la société, à travers un historique de l’intervention étatique dans les domaines de l’économique et du social. C’est le contrat social dans son ensemble que Rosanvallon propose de repenser, dans le sens d’une énonciation d’un droit à l’insertion. Aussi allons-nous effectuer un travail de synthèse, afin d’en dégager les points essentiels. Tout d’abord, nous pourrons étudier le cheminement de l’Etat-providence dans l’optique assurancielle. Ce premier aspect nous amènera ensuite à constater les failles de l’Etat-providence tel qu’il existe actuellement et à étudier les solutions proposées par Pierre Rosanvallon afin d’y remédier

PRESENTATION de l’IDEE GENERALE

FREUD s’interroge sur le rapport individu/société. Dans cet extrait, il utilise la psychanalyse et l’anthropologie pour nous expliquer le fondement de la société. Il nous expose là une conception très générale du groupe social d’un point de vue anthropologique. Il opère également dans ce livre une analogie entre le totémisme et la névrose. FREUD rapporte à une origine identique la zoophobie névrotique et le tabou de l’animal totémique. Selon lui, l’avènement du totémisme indique la date à laquelle la civilisation a débuté. L’hypothèse freudienne a une présentation génétique dans l’histoire de l’humanité ; cependant, l’analogie avec la névrose démontre que cette histoire ( mythe de la horde primitive ) recommence à chaque génération.

Dans cette mesure, le meurtre du père qui inaugure le totémisme devient un mythe scientifique. FREUD tente de rendre intelligibles les formes de gouvernement existantes, leur stabilité et les moyens psychiques mis en œuvre pour l’assurer, enfin le coût et les bénéfices psychiques de l’appartenance à tel ou tel groupe. Il élucide la métapsychologie des membres d’une masse, tout en rendant compte de sa constance. A partir de son étude sur un peuple primitif d’Australie, il conclura que toute l’organisation sociale semble être soumise à l’interdiction la plus stricte des rapports sexuels incestueux. L’interdit est une fonction organisatrice de l’humanité et du sujet. La loi ( l’interdit de l’inceste ) renvoie en miroir la structure psychique et la structure sociale de toute société humaine.

II. CONTENU Cet ouvrage propose une réflexion sur la vie quotidienne de la personne handicapée et sur son évolution, de l’enfance à l’âge adulte. L’auteur va proposer des réponses et réfléchir sur l’accès à l’état adulte des personnes handicapées mentales et sur leur participation à la vie dans notre société. Ses premières réflexions portent sur leur probable appartenance éternelle à l’enfance et sur l’état adulte, puis il les élargit en un développement qui définit l’adulte en général. Il poursuivra sa démarche en s’interrogeant sur les limites de « la dépendance et de l’indépendance » que peut vivre un « handicapé mental adulte ». Pour l’auteur, c’est l’accès au statut d’adulte qui permet d’atteindre une certaine indépendance. Dans son ouvrage, Henri Bissonnier considère l’adulte dans sa globalité, en passant du corps au langage, des loisirs au travail et en s’orientant aussi sur la nourriture et la vie affective. Enfin, l’auteur va se pencher sur la place de l’adulte handicapé mental au sein de la société et sur son avenir

Dans cet ouvrage, l’auteur veut nous parler des fils en manque de pères. Il expose l’importance du père dans le développement d’un enfant en faisant part des conséquences néfastes d’un père manquant ( réel ou symbolique). Il explique que pour un homme il y a trois naissances : « l’enfant naît de sa mère, il naît de son père et finalement, il naît de son soi profond. Il s’agit de la naissance de l’individualité. » (p175) Pour tout enfant, la première identification s’effectue par rapport à sa mère et pour devenir adulte, il doit passer de cette identification primaire à la mère, à l’identification au père.

Cette identification va lui permettre l’accès au monde réel, à l’agressivité (affirmation de soi et capacité de se défendre), à la sexualité (complexe d’Œdipe, interdit de l’inceste) et à « l’aptitude à l’abstraction et à l’objectivation ». L’absence ou le silence d’un père a des répercutions sur l’univers psychologique d’un enfant. Pour l’auteur, « manquer d’un père, c’est manquer de colonne vertébrale », (p39) c’est à dire que le fils qui a manqué d’un père, sera un adulte qui peut se sentir mal structuré à l’intérieur de lui-même et être fragilisé.

La nouvelle question sociale, de Pierre Rosanvallon, est un essai sur le thème de l’Etat-providence écrit en 1995.Dans cet ouvrage, l’auteur tente d’analyser la société, à travers un historique de l’intervention étatique dans les domaines de l’économique et du social. C’est le contrat social dans son ensemble que Rosanvallon propose de repenser, dans le sens d’une énonciation d’un droit à l’insertion. Aussi allons-nous effectuer un travail de synthèse, afin d’en dégager les points essentiels. Tout d’abord, nous pourrons étudier le cheminement de l’Etat-providence dans l’optique assurancielle. Ce premier aspect nous amènera ensuite à constater les failles de l’Etat-providence tel qu’il existe actuellement et à étudier les solutions proposées par Pierre Rosanvallon afin d’y remédier.

PRESENTATION DE L’OUVRAGE

Les auteurs, Reynaldo PERRONE et Martine NANNINI ont co-écrit cet ouvrage. Reynaldo PERRONE est un psychiatre et thérapeute familial. Après avoir travaillé à l’étranger, et en tant que Directeur de l’Institut de formation et d’application des thérapies de la communication de St Etienne, il est actuellement formateur en thérapie familiale structurale et professeur à la faculté de psychologie de Grenoble. Martine NANNINI est une éducatrice et thérapeute familiale, licenciée de philosophie, elle exerce comme formatrice à l’Institut de formation et d’application des thérapies de la communication à St Etienne et comme superviseur en Suisse et en France. Cet ouvrage de 135 pages, paru en 1995 aux éditions E.S.F Editeur est un ouvrage de la collection « sciences humaines appliquées / L’art de la psychothérapie ».

Il propose une approche systémique et communicationnelle de la violence conjugale et des abus sexuels dans la famille. Ainsi, tout au long de l’ouvrage, les auteurs tentent, par une perception globale, d’étudier les effets des interactions entre les différents membres d’une famille (qu’ils désigneront par « système »). Ils partent donc du principe que chaque élément du système agit sur le système tout entier mais en étant lui aussi influencé par les communications verbales et non-verbales qui lui arrivent du système. Afin d’élaborer des protocoles de prise en charge thérapeutique novateurs qui interviendraient sur les conditions d’apparition de la violence et donc sur le système, les auteurs observent puis analysent les caractéristiques de cette communication et de cette relation particulières à une situation de violence ou d’abus sexuel dans la famille.

Dans “le Creuset familial”, Augustus Napier et Carl Whitacker tentent de nous faire comprendre ce qu’est la thérapie familiale (le pourquoi d’une telle thérapie, ses diverses techniques, ses différentes étapes etc..). Pour ce faire ils s’appuient sur un exemple concret, celui de la famille Brice, qui est en fait une synthèse de l’histoire de plusieurs familles différentes.

Stephen JAY GOULD, petit-fils d'immigrants juifs de l'Europe de l'Est né en 1941 à New York, est un célèbre paléontologue. Spécialiste des crustacés autant que des dinosaures, il est un grand vulgarisateur des sciences de la vie enseignant à l'université de Harvard depuis 1967. Fan inconditionnel de Charles DARWIN, il a lui même développé au début des années 70, un modèle original de l'évolution : Le modèle des "équilibres ponctués". - Avec La mal-mesure de l'homme, GOULD donne un coup de pied dans la fourmilière scientifique en s'attaquant aux théories sur l'intelligence qui sont à l'origine (ou en conséquence ?) d'un grand nombre de préjugés raciaux.

Le second chapitre de La mal-mesure de l'homme, la mesure des têtes, commence par cette citation de T.H.HUXLEY : "Aucun homme doué de raison, instruit des faits, ne croit que le noir moyen est l'égal de l'homme blanc moyen, encore moins son supérieur". Le décor est posé. A cette époque, on ne doutait en rien de l'infériorité biologique des noirs. Rappelons que c'était la pleine époque de l'esclavage et de la colonisation, par conséquent croire en la supériorité de l'homme blanc permettait de sauvegarder la morale de l'homme bon et très pieu qu'était le blanc. De toute façon, cette infériorité biologique était flagrante, il n'y avait qu'à regarder le physique de ces races pour s'apercevoir qu'elles présentaient de nombreux signes simiesques. Un singe n'était pas intelligent, or la forme du crâne des noirs avoisinée celle des singes, les noirs ne pouvaient donc être guère plus intelligents que ces animaux.

I/ LES ABERATIONS SEXUELLES La pulsion alimentaire dans le langage courant se caractérise par la faim. Il en est de même pour la pulsion sexuelle, ou la science emploie à cet effet le terme de libido. Introduisons deux termes : - Objet sexuel, personne dont émane l’attraction sexuelle. - But sexuel, l’acte auquel pousse la pulsion. Notons que ces deux pôles démontre de nombreuses déviations. 1) Déviation par rapport à l’objet sexuel On appelle des personnes sexuelles contraires, ou mieux invertis, et le fait lui même est appelé inversion : hommes pour qui l’objet sexuel n’est pas représenté par la femme, mais par l’homme. Il est de même pour la femme.

A) L’inversion Le comportement des invertis est différent : - Les invertis absolus, dont l’objet sexuel ne peut être qu’homosexuel. - Les invertis amphigènes (hermaphrodites psychosexuels) , dont l’objet sexuel peut aussi bien appartenir au même sexe qu’à l’autre. - Les invertis occasionnels qui sous certaines conditions prennent pour objet sexuel une personne de même sexe. Ces derniers assument et défendent avec ardeur le droit pour l’inversion, et veulent mettre celle-ci sur le même plan que la sexualité normale. Toutefois, d’autres se révoltent contre le fait de leur inversion et la ressentent comme une contrainte morbide. Dans la forme la plus extrême, on peut admettre à peu prés régulièrement que l’inversion a existé dés le très jeune âge. La conception de l‘interprétation de l’inversion doit être appréciée séparément : l’innéité et la dégénérescence.

A travers les premières lignes de son introduction, l’auteur tente de nous mettre en garde sur l’éventuel interprétation de son titre : « il ne s’agit pas du tout de ce que vous croyez. Aucun malheur n’est merveilleux ». On s’émerveille de découvrir très vite, effectivement, qu’il parvient à nous démontrer que des enfants arrivent à surmonter les épreuves avec ce sentiment d’espoir et triomphent aux souffrances et aux agressions des péripéties du malheur. Il introduit dans son ouvrage deux concepts fondamentalement essentiels à l’explication de sa théorie. Ces deux mots étrange nous dit-il : « organiseront la manière d’observer et de comprendre le mystère de ceux qui s’en sont sortis et qui, devenus adultes, se retournent sur les cicatrices de leur passé. »

Deux mots qui nous accompagnerons tout au long de cette lecture et avec lesquelles nous nous familiariserons : - Résilience : « capacité à réussir, à vivre et à se développer positivement, de manière socialement acceptable, en dépit du stress ou d’une adversité qui comportent normalement le risque grave d’une issue négative » - Oxymoron : « figure de rhétorique qui consiste à associer deux termes antinomiques » ex : obscure clarté. Différentes recherches, sur des ouvrages traitant sur le thème de la misère enfantine, tels que ; Sans famille ; Poil de carotte ; Tarzan ; La Cité de la joie ; etc. nous rappel le même cheminement archétypique quant au Récit d’enfance de Maxime Gorki, à savoir : acte I / La désolation : Enfance vagabonde (1913-1914) ; acte II / La réparation : En gagnant mon pain (1915-1916) ; acte III / Le triomphe : Mes universités (1923).

Si mon choix s’est porté sur cet ouvrage, c’est que la notion de lien, dans une optique de travail auprès de personnes désocialisées, souffrant de maladie mentale ou de troubles du comportement, m’est apparue comme primordiale dans une tentative de compréhension des origines de la défaillance. Le processus d’attachement imprègne la manière dont nous menons nos vies. Il me semble donc important de prendre en considération la forme qu’a pu revêtir cet attachement, de voir comment se sont tissés les liens, afin de regarder de façon un peu plus distanciée certains comportements qui peuvent dérouter ou être mal interprétés.

L’angle adopté pour étudier ici ce concept d’attachement, l’observation éthologique m’a vivement intéressée et c’est une des raisons qui m’a poussée à me plonger dans cet ouvrage.

1. Indications essentielles Comme je l’ai écrit précédemment, E. LABORIT est actrice. Son livre ne fait en aucun cas l’objet d’un travail de recherche ou d’analyses thématiques. Il s’agit simplement de son autobiographie. Ecrire l’histoire de sa vie à seulement 22 ans peut sembler étonnant. Cependant, E.LABORIT est née sourde profonde ce qui l’a obligée à mener plusieurs combats. Combat sur elle-même, pour comprendre sa différence, pour écrire cet ouvrage. Mais surtout combat sur les autres et pour les autres.

Elle a du se faire accepter par son entourage, combattre l’interdiction de la langue des signes dans l’enseignement (officiellement interdite jusqu’en 1991, mais cette aversion pour la langue gestuelle des sourds est encore présente aujourd’hui), lutter pour faire connaître les droits des trois millions de sourds en France. Cela l’a amenée à atteindre une certaine maturité d’esprit plus vite que les jeunes filles de son âge. Comme elle l’écrit elle-même : «Je ne suis pas vieille, mais il s’est passé depuis ma naissance énormément de choses. J’ai «vieilli» en accéléré. […] J’ai l’impression d’avoir avancé très vite.»

Le thème du Stigmate est important dans notre société car nous l'utilisons dans notre vie quotidienne sans toujours nous en rendre compte. En effet, tout le monde est mis dans une catégorie et des personnes sont stigmatisées tous les jours.

I. PRÉSENTATION DE L'AUTEUR Erving GOFFMAN est un sociologue canadien né en 1922 et mort en 1982. Il a été professeur à l'université de Berkeley de 1958 à 1968 et à l'université de Pennsylvanie après 1968. Il a créé l'étude, en sociologie, des rencontres sociales et publiques. Il analyse des conduites de rencontre à partir de signes externes (parole, geste, posture) et il identifie des "rites d'interactions" dont le but est d'informer sur la position et les intentions des individus dans une situation donnée. De plus, Erving GOFFMAN travaille sur la notion d'interaction en plaçant ce principe dans la formation de l'identité.

Je pense que Candide est une œuvre de clairvoyance, de pessimisme et de résignation mais aussi d’espoir : Elle offre à l’homme un art de vivre et un moyen de donner un sens à son existence, car la vie, malgré tous ses maux, vaut la peine d’être vécue à condition de savoir goûter des satisfactions, modestes sans doute, mais réelles. Je veux dire qu’une satisfaction, aussi petite qu’elle soit, doit profiter a notre moral, à notre apprentissage. Tout les jours, en réfléchissant, je pense que je peux goûter à cela : même à propos de chose qui nous paraissent banales : le fait de vivre dans un pays en paix, le fait de manger à ma faim, le fait d’être en bonne santé...

Le thème développé dans l'ouvrage est explicite dans son sous-titre: il s'agit de la relation d'accompagnement, dans le quotidien banal, d'enfants dans des établissements spécialisés. L'auteur y décrit les interrelations entre les professionnels et les personnes accueillies à partir de deux modes d'investissements psychologiques de l'institution que chacun peut vivre: l'un est transitionnel et l'autre est organisé par la dévotion maternelle. L'hypothèse principale est que l'efficacité du soin se trouve dans l'acceptation de ne pas réduire une institution à un seul type d'investissement psychologique.

Il est souhaitable de conserver une position énigmatique et de maintenir le paradoxe des situations pour qu'un travail de soin puisse s'opérer. Il se réfère pour cela à FREUD et au pédiatre-psychanalyste D.W. WINNICOTT, et introduit des concepts propres à l’approche systémique ( école de Palo Alto ), voire des références socio-éthnologiques (M MAUSS).

Ce livre de 215 pages, relativement récent puisque paru en mai 1999 aux éditions DUNOD, est un ouvrage de la collection « Action sociale». Il propose une analyse clinique du travail d'équipe en institution médico-sociale ou psychiatrique et développe les sources de conflits qui peuvent apparaître dans ce milieu clos entre les différents membres d'une équipe. Il s'attache ainsi à observer le domaine de l'inconscient et ses répercutions sur la prise en charge institutionnelle. Par cette étude il tente de "lever le voile" sur les dysfonctionnements institutionnels et sur ce qui est source de souffrance pour les usagers.

Le travail d'équipe en institution Clinique de l'institution médico-sociale et psychiatrique PRESENTATION DE L’OUVRAGE Paul FUSTIER est un professeur de psychologie clinique. Il travaille d'une part sur l'émergence de l'irrationnel en institution et d'autre part sur les différentes modalités de prise en charge qu'elles proposent. Auteur en 1993 du livre Les Corridors du Quotidien, il intervient aussi dans les institutions psychiatriques, médico-légales et sociales, afin d'aider à l'analyse des dispositifs d'accueil ou pour favoriser l'apparition de nouvelles dynamiques institutionnelles. CONTENU DE L’OUVRAGE. Dans cet ouvrage, Paul FUSTIER, développe 3 axes principaux en trois parties distinctes. Il propose une analyse des fonctionnements psychiques mis en jeu dans une relation d'équipe en institution d'éducation spécialisée ou psychiatrique. Ainsi, il tente de prouver l'importance d'un travail psychique d'équipe sur ces sujets. La première partie s'attache à montrer l'importance de la part mythique de l'institution.

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