LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Fiche de lecture Educateur spécialisé

Afficher:

L’AUTEUR ET SON ŒUVRE : Les années 50 à 70 ont assisté à l’essor de nombreux courants de pensée en sciences humaines. Anthropologue de formation, Claude Levi-Strauss est le père fondateur du structuralisme. Il s’est particulièrement attaché à étudier les relations entre nature et culture. Levi-Strauss conçoit la société humaine comme un système où les relations sociales se construisent inconsciemment à partir de combinaisons structurées. « Race et histoire » est un essai publié en 1952, destiné à l’Unesco, pour des brochures oeuvrant sur le problème du racisme dans le monde. Cet ouvrage se situe parmi les premiers dans la bibliographie de l’auteur : les fondements du structuralisme y sont exposés.

CHAPITRE I : PSYCHO-SOCILOGIE DE L'EDUCATION: "" Puisque la science de l'éducation a pour objectif de considérer toute action par laquelle un individu risque d'en modifier un autre ou d'être modifié par lui" elle relève necessairement de la psycho-sociologie, seule science qui étudie les relations humaines totales dans leur plus grande généralité" Historique de la psychosociologie: 1- la bible avec les 10 commandements 2- les recherches de E. Mayo sur la morale par rapport au travail 3- J.L Morene (1842 - 1974) qui a inventé la science des lois sociales: la socionomie 4- K. Lewin (1890 - 1947) qui a mis au point la théorie des champs et la dynamique des groupes.

Dans cet ouvrage, Elisabeth BADINTER, philosophe, traite de la crise de l’identité masculine. Elle part du constat que si le sentiment d’être une femme apparaît naturellement notamment à travers la procréation, la masculinité doit se conquérir, se prouver. L’homme a jusqu’à aujourd’hui occupé la sphère publique, réduisant le rôle de la femme à s’occuper de la sphère privée. Aujourd’hui, avec la redéfinition de la place de la femme dans la société, la masculinité s’en voit bouleverser puisque elle-même est définie en fonction de cette place.

Ces dernières décennies ont vu évoluer les rôles des hommes et des femmes dans la société. En ne considérant plus les générations précédentes comme des modèles, les rapports des sexes se sont modifiés, remettant en cause le pouvoir ‘naturel’ des hommes sur les femmes.

Réflexion personnelle : Cet écrit de E. Badinter a suscité chez moi de nombreux questionnements quant à la condition de la femme à l’heure actuelle et l’évolution qu’elle a connu depuis la parution de cet œuvre. En effet, E. Badinter clôture son livre en s’interrogeant sur les réactions que pourraient avoir les individus de sexe masculin suite à la dépossession de leurs pouvoirs d’antan.

Nul révolte masculine n’a encore explosé comme elle l’avait prédit et cela simplement puisqu’aujourd’hui (15 ans après la publication de L’un est l’autre) on peut remarquer qu’il ne semble plus y avoir d’évolution positive de la condition de la femme. L’avancée vers une égalité des sexes semble s’être tassée.

 

Avec l’évolution de la technologie aussi bien dans les domaines des transports que dans les moyens de communications et d’informations, la spécificité des différentes cités populaires tend à disparaître. Je constate une uniformisation des jeunesses sur un aspect comportemental. Les phénomènes de modes se mondialisent et sont simultanés et par conséquent les crises identitaires également. Il est vrai qu’il existe encore des spécificités en fonction des régions du globe (dépendant de l’histoire, d’une réalité géopolitique et économique). Néanmoins, les spécificités régionales d’un état viennent à s’atténuer. Il est donc difficile à l’heure actuelle de parler des jeunes des quartiers populaires du nord de la France sans risquer un amalgame avec tous les jeunes des cités populaires de France. L’auteur parle de l’importance d’être propriétaire d’un véhicule. C’est un phénomène qui s’est également développé dans les D.O.M. T.O.M. au début des années 90 et qui se caractérisait par le “tunning”. Pourtant, il existe encore des particularités sur le fond agissant sur les raisons de leur comportement.

En résumé, il y a eut une globalisation des conduites des jeunes issus de milieux différents. Ce livre a été écrit dans les années 90. A cet époque, le service militaire exister encore, les conditions économiques et politiques, nationales et internationales n’étaient pas les mêmes. Depuis, quelques évènements ont montré la prise de conscience des jeunes sur l’importance de s’investir dans la vie de la cité. L’émergence d’un parti d’extrême droite aux élections présidentielles semble l’exemple le plus concret. A ces élections, l’abstentionnisme des 18-24 ans a montré le désintérêt et la méfiance à l’égard des partis politiques traditionnels. Les manifestations qui ont suivi le premier tour de ces élections (21 avril 2002), ont montré le refus d’un parti nationaliste et ont mis en évidence la prise de conscience des jeunes vis-à-vis de la vie citoyenne. Paradoxalement, ces manifestations remettent en cause le principe actuel de notre république : le suffrage universel. Les commentaires journalistiques de l’époque montraient des jeunes désireux de réinventer une citoyenneté. Ces événements qui auraient pu être fédérateur pour une auto prise en charge des jeunes dans leur avenir citoyen n’ont eut que pour effet à un retour aux partis traditionnels.

Cette Action de Formation, s’appuie sur l’anthropologie, discipline traitant du sens que les hommes en collectivité donnent à leur existence. L’anthropologie, du fait de son caractère "transdisciplinaire", fournit des outils et concepts qui doivent permettre à l’individu et plus particulièrement à l’éducateur de saisir le réel dans lequel il doit agir. La session a été précédée de la lecture de plusieurs ouvrages regroupés autour des cinq thèmes suivants : "Travail et question sociale", "Individus et individualisme dans la société moderne", "Approche alternative des populations migrantes : l’ethnopsychiatrie ", "L’anthropologie et les sociétés primitives", "La crise des sociétés occidentales". Des exposés oraux de chaque ouvrage se sont succédés, complétés par le formateur. Ce dernier a finalement répondu aux questions générales soulevées par l’ensemble des exposés. Cette synthèse présente le résumé d’un de ces ouvrages,

La fatigue d’être soi d’Alain Ehrenberg, qui traite de la dépression. Alain Ehrenberg, sociologue, dirige le groupe de recherche «psychotropes, Politique, Société » du CNRS. La fatigue d’être soi est la 3e partie de cette étude sur l’individu contemporain, La 1ère explique comment notre société basée sur la compétition a généré un individu en quête de réussite sociale et d’identité personnelle. La 2nd souligne l’attention nouvelle de notre société pour la souffrance psychique et s’intéresse ainsi à nos rapports aux psychotropes et à la télévision. Cette 3ème partie, qui traite de la notion psychiatrique de dépression, est justifiée par le débat rapprochant médicaments psychotropes et drogues illicites et le mode de vie qu’il révèle. Il s’agit en effet d’une approche sociologique qui s’attache à traiter la dépression dans son contexte c’est à dire comme un phénomène directement lié au mode de fonctionnement de notre «société moderne». Cette synthèse se poursuit avec la réflexion personnelle qu’a induite cette session.

Célestin Freinet est l’initiateur du mouvement de l’Education Nouvelle. Si la pédagogie de Freinet devait se résumer à une seule idée, ce serait qu’on ne comprend bien que ce qu’on transforme. Autrement dit, le savoir et l’apprentissage doit dans l’alchimie d’expériences de vécu de l’enfant avoir un sens pour être compris et retenu par lui. Tout en gardant bien sûr comme principe de base le respect et la confiance de l’enfant. Une réputation de « révolutionnaire » l’école Freinet c’est une autre idée de l’école en rupture avec l’école traditionnelle comme elle va et qu’elle dénonce.

Pour cette fiche de lecture, j’ai fait le choix de présenter le chapitre s’intitulant Karl MARX (p.p141-217) dans les Etapes de la pensée sociologique de Raymond ARON. Cette fiche se décline en trois axes. Le premier consistera à présenter l’auteur et l’œuvre en question.

Ensuite, j’aborderai le contenu et la problématique qui ont été débattus dans cet ouvrage. En dernier lieu, je tenterai d’exprimer les impressions que cette lecture m’a inspirée

Grâce et dénuement, roman d’Alice Ferney, paru en 1997 aux éditions Actes Sud dans la collection Babel, 289 pages. L’ouvrage est découpé en 4 parties (chacune découpée en 6 ; 7 ; 7 et 8 éléments) et un épilogue. Une table des citations rassemble les références des 24 ouvrages (contes …) utilisés dans le roman.

Il est à noter que sur l’édition que j’ai utilisée la couverture présente une photo en noir et blanc de 2 jeunes filles en tenue qui montre une misère (réelle ou posée ?) profonde et un questionnement dans le regard qui ne me laissa pas sans réactions et sans imagination sur le contenu de l’ouvrage.

L'ouvrage dont il va être question ici est Les Enfants Sauvages; Mythe et Réalité de LUCIEN MALSON.

Nous allons tout d'abord vous présenter brièvement l'ouvrage, puis, dans un deuxième temps, nous tenterons de dégager les problématiques globales de l'oeuvre, ensuite nous expliciterons le contenu du livre. Cette phase se déroulera en plusieurs temps. Nous donnerons une première définition de ce qu'est un enfant sauvage, ensuite, nous induirons la notion de nature acquise, nous passerons à la notion environnementale, puis étudierons les interactions entre mental et psychisme. A ce point du développement nous constaterons que la notion de nature humaine n'est pas valide, au moins si on la considère seule.

Enfin nous exposerons quelles capacités font de l'Homme un animal unique et en quoi, finalement, il est avant tout un animal social. Pour finir seront avancées quelques remarques et commentaires personnels de l'ouvrage et des questions et réflexions plus larges sur le thème du livre.

C'EST POUR TON BIEN

Racines de la violence dans l'éducation de l'enfant Psychanalyste allemande née en 1923, Alice Miller exerça à Zurich durant vingt ans. Ancien membre de l'Association Psychanalytique Internationale, qu'elle quitta car elle n'était plus en accord avec une pratique centrée sur le fantasme, elle choisit de se consacrer à l'écriture d'ouvrages sur l'éducation, et plus particulièrement sur les causes et conséquences des mauvais traitements sur les enfants. Alice Miller est également connue pour son manifeste contre « la bonne fessée » dans lequel elle dénonce l'utilisation des châtiments corporels.

Après la publication de son ouvrage phare Le drame de l'enfant doué, en 1983, elle reçut quantité de lettres de lecteurs qui désiraient en savoir plus. C'est en réponse à cette demande qu'elle entrepris la rédaction de C'est pour ton bien afin de préciser son propos. Dans ce livre qui est somme toute une étude, Alice Miller s'intéresse à ce qu'on appelle l'éducation et qu'elle perçoit comme une manière de réprimer « ce qui vit » dans l'enfant et ce à des fins qui n'ont rien de commun avec le bien de celui-ci.

Présentation de l’ouvrage et de son contexte

Pour ce travail, mon intérêt s’est porté sur le dernier ouvrage de Boris Cyrulnik, Les vilains petits canards, paru en février 2001 chez Odile Jacob. Boris Cyrulnik est né en 1937 à Bordeaux. Sa vie bascule en 1943, lorsqu’il est arrêté avec sa famille par la Gestapo et conduit à Drancy. Agé de six ans, il réussira à fuir, alors que ses parents sont déportés. Cet épisode douloureux de son histoire, l’auteur l’a longtemps gardé intime. Les médias s’en sont emparé lorsque dans les années 90, il a souhaité faire remettre la médaille des Justes à une femme qui, en le cachant durant trois jours, lui a sauvé la vie après son évasion. C’est à partir de ce drame que vont se déterminer ses choix professionnels (Cyrulnik parle de son "étoile du berger".)

Après des études de médecine, il devient neuropsychiatre, psychologue et psychanalyste. Sa volonté de comprendre et de "réparer d’autres humains" l’amène à franchir les barrières des disciplines, faisant notamment appel à l’éthologie. Il compte parmi les pionniers de l’éthologie humaine et dirige aujourd’hui un groupe de recherche en éthologie clinique à l’université de Toulon-La Seyne. C’est peut-être dans son vécu qu’est apparu l’intérêt de Cyrulnik pour le concept de résilience ; il est aujourd’hui le premier en France à s’atteler à ce principe déjà largement travaillé aux Etats-Unis. Le mot provient du latin resalire (re-sauter). En physique, ce terme décrit la capacité d’un métal à résister aux pressions et à reprendre sa structure initiale.

Passé dans le vocabulaire de la psychologie, il définit la capacité à vivre, à se développer en dépit des adversités. Dans Un merveilleux malheur, l’auteur s’interrogeait sur les "processus de réparation de soi" inventés par les surveillants des camps de la mort ; dans Les vilains petits canards, il explique comment ces processus se mettent en place dès avant la naissance et permettent de se reconstruire après une blessure. Dans un style métaphorique, suivant un cheminement non linéaire, l’auteur met en scène le concept dans ces deux aspects de résistance à la destruction et de reconstruction d’une "vie valant la peine", étayant son propos de considérations théorique et d’exemples cliniques ou historiques.

La question soulevée dans cet ouvrage concerne l’incestuel. La réflexion de Racamier s’inscrit dans la théorie psychanalytique et plus particulièrement dans la thérapie familiale psychanalytique. Les thèmes traités dans cet ouvrage sont l’inceste et l’incestuel bien sûr, mais également l’œdipe et l’antœdipe, la séduction narcissique entre la mère et le nourrisson, le fantasme et le non-fantasme, le Surmoi, l’objet et le non-objet, les équivalents d’inceste, les secrets d’incestualité.

Maupassant signe dans cette histoire d’une prostituée que des honnêtes gens persuadent, pour sauver leur liberté, de se livrer à un Prussien et qu’ils excluent ensuite de leur société, un récit d’une concision exemplaire où l’ironie et la pitié transparaissent à peine sous le ton indifférent de la constatation des faits. C’est une nouvelle d’une extrême noirceur. Il n’y a aucun secours ou espoir à attendre, ni de certains de ses compagnons, ni même de la religion qui loin de la soutenir, lui donne d’excellentes raisons à son sacrifice.

Cet ouvrage comporte 281 pages. Cet ouvrage cite 164 références bibliographiques. Ces références sont classées par ordre alphabétique. Il n’existe pas d’index thématique, ni d’index des auteurs, ni de glossaire. J’ai trouvé cet ouvrage dans la bibliothèque pédagogique du foyer de vie « le Grand Chêne » à IZEAUX qui était mon lieu de stage de découverte n°1.

La sanction revêt deux formes : la récompense et la punition. Dans ce recueil de textes, nous nous attacherons plus au second concept : la punition qui peut revêtir plusieurs formes : les châtiments corporels, le blâme, la réprobation, l’humiliation, la censure, l’exclusion…

La nouvelle question sociale, de Pierre Rosanvallon, est un essai sur le thème de l’Etat-providence écrit en 1995.Dans cet ouvrage, l’auteur tente d’analyser la société, à travers un historique de l’intervention étatique dans les domaines de l’économique et du social. C’est le contrat social dans son ensemble que Rosanvallon propose de repenser, dans le sens d’une énonciation d’un droit à l’insertion. Aussi allons-nous effectuer un travail de synthèse, afin d’en dégager les points essentiels. Tout d’abord, nous pourrons étudier le cheminement de l’Etat-providence dans l’optique assurancielle. Ce premier aspect nous amènera ensuite à constater les failles de l’Etat-providence tel qu’il existe actuellement et à étudier les solutions proposées par Pierre Rosanvallon afin d’y remédier

PRESENTATION de l’IDEE GENERALE

FREUD s’interroge sur le rapport individu/société. Dans cet extrait, il utilise la psychanalyse et l’anthropologie pour nous expliquer le fondement de la société. Il nous expose là une conception très générale du groupe social d’un point de vue anthropologique. Il opère également dans ce livre une analogie entre le totémisme et la névrose. FREUD rapporte à une origine identique la zoophobie névrotique et le tabou de l’animal totémique. Selon lui, l’avènement du totémisme indique la date à laquelle la civilisation a débuté. L’hypothèse freudienne a une présentation génétique dans l’histoire de l’humanité ; cependant, l’analogie avec la névrose démontre que cette histoire ( mythe de la horde primitive ) recommence à chaque génération.

Dans cette mesure, le meurtre du père qui inaugure le totémisme devient un mythe scientifique. FREUD tente de rendre intelligibles les formes de gouvernement existantes, leur stabilité et les moyens psychiques mis en œuvre pour l’assurer, enfin le coût et les bénéfices psychiques de l’appartenance à tel ou tel groupe. Il élucide la métapsychologie des membres d’une masse, tout en rendant compte de sa constance. A partir de son étude sur un peuple primitif d’Australie, il conclura que toute l’organisation sociale semble être soumise à l’interdiction la plus stricte des rapports sexuels incestueux. L’interdit est une fonction organisatrice de l’humanité et du sujet. La loi ( l’interdit de l’inceste ) renvoie en miroir la structure psychique et la structure sociale de toute société humaine.

II. CONTENU Cet ouvrage propose une réflexion sur la vie quotidienne de la personne handicapée et sur son évolution, de l’enfance à l’âge adulte. L’auteur va proposer des réponses et réfléchir sur l’accès à l’état adulte des personnes handicapées mentales et sur leur participation à la vie dans notre société. Ses premières réflexions portent sur leur probable appartenance éternelle à l’enfance et sur l’état adulte, puis il les élargit en un développement qui définit l’adulte en général. Il poursuivra sa démarche en s’interrogeant sur les limites de « la dépendance et de l’indépendance » que peut vivre un « handicapé mental adulte ». Pour l’auteur, c’est l’accès au statut d’adulte qui permet d’atteindre une certaine indépendance. Dans son ouvrage, Henri Bissonnier considère l’adulte dans sa globalité, en passant du corps au langage, des loisirs au travail et en s’orientant aussi sur la nourriture et la vie affective. Enfin, l’auteur va se pencher sur la place de l’adulte handicapé mental au sein de la société et sur son avenir

Dans cet ouvrage, l’auteur veut nous parler des fils en manque de pères. Il expose l’importance du père dans le développement d’un enfant en faisant part des conséquences néfastes d’un père manquant ( réel ou symbolique). Il explique que pour un homme il y a trois naissances : « l’enfant naît de sa mère, il naît de son père et finalement, il naît de son soi profond. Il s’agit de la naissance de l’individualité. » (p175) Pour tout enfant, la première identification s’effectue par rapport à sa mère et pour devenir adulte, il doit passer de cette identification primaire à la mère, à l’identification au père.

Cette identification va lui permettre l’accès au monde réel, à l’agressivité (affirmation de soi et capacité de se défendre), à la sexualité (complexe d’Œdipe, interdit de l’inceste) et à « l’aptitude à l’abstraction et à l’objectivation ». L’absence ou le silence d’un père a des répercutions sur l’univers psychologique d’un enfant. Pour l’auteur, « manquer d’un père, c’est manquer de colonne vertébrale », (p39) c’est à dire que le fils qui a manqué d’un père, sera un adulte qui peut se sentir mal structuré à l’intérieur de lui-même et être fragilisé.

Connexion

Educateur spécialisé

Abonnement

Recherche