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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Fiche de lecture Educateur spécialisé

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Le concept de résilience dit que donner de l’affection à un enfant abandonné peut lui permettre de « renaître ». Au bout d’un an, placé dans une famille d’accueil affectueuse et attentive, ses synapses repoussent comme primevères au printemps, son  néocortex est « regonflé », images à l’appui. Cette atrophie des orphelins mis en isolation sensorielle, comme leur résilience ultérieure, sont des preuves de la plasticité neuronale et corticale. Le plus important n’est pas que des neurones puissent repousser, mais qu’ils s’interconnectent. Un neurone isolé ne sert à rien. L’intelligence, la sensibilité, l’empathie, toutes les fonctions psychiques dépendent du degré d’interconnection et de vivacité des neurones.                                

Contrairement à ce que disent les Media, la plus grande maltraitance n’est pas physique mais liée à une carence affective. Celle-ci fait des ravages silencieux. L’enfant n’est pas mal traité, ni agressé. Il est juste seul.

Nous remarquons une inquiétante aggravation des inégalités entre les jeunes qui bénéficient d’un diplôme et ceux qui n’en bénéficient pas. Il y a un profond malaise dans notre société, les jeunes non diplômés sont exclus et discriminés par le handicap que constitue l’absence de diplôme. En matière de mœurs, les jeunes non diplômés ont un caractère bien différent des autres : ils sont beaucoup moins permissifs en matière de tromperie, relation sexuelles, avortement… alors que les jeunes diplômés sont plus ouverts face à cela.  Par contre les jeunes sans diplôme déclarent plus profiter du système (fraude, travail au noir, indemnités…), ils sont détachés de la société alors que les diplômés ont un fort sentiment d’intégration et de participation à cette dernière. Pourtant, tous veulent les mêmes choses, tous sont préoccupés par le désir de trouver un emploi, de fonder une famille et tous jugent que travailler est très important mais malgré ces envies, certain n’ont pas cette opportunité car ils n’ont pas démarré avec les mêmes chances dans la vie.

Il s’agit d’un essai écologique c’est-à-dire d’une réflexion menée sur l’état actuel de notre planète, réflexion qui ne vise pas à l’exhaustivité mais tente plutôt d’amener pour le lecteur des pistes de questionnement et de mettre en place quelques éléments de réponses.

Cette réflexion prend parfois des allures de roman (pages 11 à 13 ; p 15) avec des descriptions à l’imparfait et des passages narratifs. L’objectif de ces passages « romancés » est ici de capter l’attention du lecteur qui pourrait parfois être rebuté par le côté trop essayiste, ou perçu comme tel, de cette réflexion.

Comme nous venons de le signaler c’est l’écologie, c’est-à-dire un mouvement visant à instaurer un meilleur équilibre entre l’homme et son environnement naturel ainsi qu’à la protection de celui-ci, qui constitue le thème central de cet ouvrage.

Plus précisément, ainsi que le définit le titre, La Terre en héritage, c’est l’avenir de notre planète qui se trouve ici mis en question. La question centrale est alors de savoir quelle planète nous créons aujourd’hui (en l’occurrence au seuil du XXIème siècle) et quelle planète nous souhaitons laisser demain à nos descendants. Il s’agit donc d’une démarche à la fois synchronique et diachronique.

Par ailleurs, cet ouvrage ne se contente pas de poser des questions à l’écocitoyen qui sommeille dans chaque lecteur mais il tente aussi de répondre à la question suivante : comment faire, quelles solutions peut-on d’ores et déjà mettre en œuvre pour protéger notre planète maintenant que nous avons pris conscience du danger ? Il propose ainsi de nouveaux thèmes de réflexion et d’action qui permettraient, tant sur le plan individuel que politique, la mise en place d’un courant de réformes en vue de protéger l’homme, la nature et la vie sous toutes ses formes.

L'auteur, psychiatre, propose un retour à des valeurs positives. A travers un ensemble de règles de vie adaptées à des situations concrètes, quotidiennes, pour déjouer les pièges de l'existence. Seule une discipline intérieure peut nous aider à venir à bout des idées fausses et à vivre en paix.

L’amour défini : 

 -c’est la volonté de se dépasser dans le but de nourrir sa propre évolution spirituelle « s’aimer soi-même » ou de quelqu’un d’autre. Et donc c’est toujours l’évolution mutuelle, car le processus est réciproque dans les deux cas de figure.

-L’amour est un acte de volonté, un choix, et plus clairement un désir d’une intensité suffisante  pour se traduire en action. Donc il ne se content pas de l’instinct.

-Deux personnes ne s’aiment vraiment que lorsqu’elles sont capable de vivre l’une sans l’autre mais choisissent de vivre ensemble.

Concept de DON (Marcel Mauss – 1925) en lien avec le travail social de maintenant.

« Nous prenons l’hypothèse selon laquelle, dans nombres de situations, la représentation que l’on a du système d’échange utilisé est brouillé : d’une part le poids de la modernité entrainerait un échange équilibré, d’autre part les arrière-fonds encore vivaces (marqués par les religions) renverraient à l’échange par le don. Pour tout individu la question est d’importance, puisque la représentation que l’on se construira d’autrui sera totalement ≠ selon que l’on « sent » que l’on a affaire à un lien équilibré (de nature commerciale ou salariale) ou que l’on « sent » que l’on est dans un univers de l’échange par le don ».

Aménager des espaces-temps d’accompagnement qui sont des moments privilégiés pour « l’interprétation ».   

1.LIEN SOCIAL ET LIEN D’ACCOMPAGNEMENT

Socialité secondaire :

  • Elle régit les sphères du politique et de l’économie, le monde de l’état moderne et le monde de l’entreprise.
  • Elle se situe dans le registre de « l’intermédiation » : rôle, statut, fonction (Caillé)
  • Lien salarial

Socialité primaire :

  • Lieu de vie, communauté (famille, voisin)
  • Lieu de l’interconnaissance directe et concrète (Caillé). Personnes qui communiquent entre elles.
  • Echanges par le don / « spontanés »

Les institutions relèvent d’une sociabilité secondaire car se sont des entreprises. Mais aussi de la sociabilité primaire car à la base lien avec le religieux / la communauté religieuse (don de soi, dévouement, vocation.

Ce sont deux troubles alimentaires qui apparaissent le plus souvent dans l’enfance et dans l’adolescence. La nourriture est leur objet d’obsession. La différence est que l’anorexique est dans la maîtrise tandis que la boulimique est dans la compulsion. Ces deux troubles paraissent opposés mais sont en fait semblables.

L’anorexie, conduite active de restriction :

Deux types d’anorexie : dans le premier cas elles trient leur nourriture et sont très bien renseignées sur l’apport en calorie de chaque ingrédient. Elles préparent elles-mêmes leurs assiettes et essayent de manger seule et de préférence debout.

Dans le second cas il n’y a pas de restriction de nourriture mais maigrissent par des moyens dits « purgatifs » ‘vomissement et absorption de laxatifs). On appel cela des anorexiques dites boulimiques. Les crises de boulimie correspondent à ingurgiter une quantité impressionnante de nourriture en une seule fois sans pouvoir se maîtriser puis d’aller se faire vomir.

Mettre à mal les stéréotypes français de la prostitution semble tenir à cœur à l’auteur. En effet, elle remet en question le combat de ces associations qui vantent défendre les prostituées, au détriment de ce qu’elle attendent réellement.

D’autant plus, elle met en comparaison le régime abolitionniste français et prohibitionniste : le premier, qu’elle qualifie d’hypocrite, semble tendre à se rapprocher du second (Loi pour la sécurité intérieure).

Catherine Deschamps note certains des codes sociaux qu’elle a pu observer : des manières de parler (très fort), comme une façon de se protéger et peut-être aussi, de répondre aux attentes que les gens peuvent avoir des ‘’putes’’, correspondre aux prototype de la prostituée pour ne pas avoir à se justifier.

Elle relève des problèmes qui se posent aux personnes prostituées, auxquels on ne pense pas forcément : les ‘’tapins’’ sont victimes d’une grande instabilité financière, sont dans une grande précarité et se posent à eux de nombreuses problématiques relatives aux finances. Comment faire un crédit, louer un appartement, etc. sans fiche de paie ? C'est un marché de la chair et des plaisirs qui connaît des concurrences et l'arrivée de prostituées venues des pays de l'Est ou de l'Afrique frappe les professionnelles françaises qui vivent mal les transformations de leurs activités.

Pourquoi les acteurs socio-économiques parties prenantes de la demande (usagers, pouvoirs publics..) ont recours à des organisations à but non lucratifs?

Théorie de la confiance : quand il y a asymétrie d’information, le risque de comportement opportuniste des agents est réel. Une organisation privée à but non lucratif est plus efficace car elle réduit cout de transaction (d’autant plus vrai pour service relationnels et des usagers en situation de dépendance et vulnérabilité) et elle présente de signaux de confiance spécifique = statut juridique (non redistribution des profits). Cependant pas suffisant (avantages en nature, choix des usagers les moins couteux…)

Théorie de la demande excédentaire pour des biens collectifs ou quasi : financer par l’état car les associations développent des services complémentaires pour des demandes spécifiques.

Théorie de l’interdépendance :

Une organisation privée à but non lucratif joue un rôle important en défrichant des demandes sociales émergentes. Dans un 2nd temps, il y a une institutionnalisation de l’action. Les pouvoirs publics interviennent et régulent

Constat : associations restent prestataires et régulation des pouvoirs publics car l’Etat est incapable de répondre à des demandes différenciées et hétérogènes.

            Jean BRICHAUX est un psychologue clinicien et psychopédagogue. Il a exercé en milieu psychiatrique et en institut médico-pédagogique, avant de se tourner vers les métiers de la formation. Il est professeur dans la section d’éducateurs spécialisés de la Haute école Elie Troclet, à Liège en Suisse. Il a notamment publié « L'éducateur spécialisé en question(s), La professionnalisation de l’activité socio-éducative », aux éditions Erès, en 2002.

            Le champ d’intervention du métier d’éducateur est tellement diversifié que les éducateurs, eux même ont du mal à expliquer leurs pratiques au quotidien. En effet, ils travaillent sur de l’humain, de l’immatériel et les contextes sont tellement différents qu’ils ne peuvent parler de leur profession qu’en termes généraux. C’est pourquoi ce livre aborde le métier de l’éducateur par la métaphore, pour éclairer d’un jour nouveau leurs activités. Jean BRICHAUX s’est entouré de dix huit professionnels qui gravitent autour du social et qui viennent d’horizons différents. Certains sont éducateurs spécialisés de formation, psychologues clinicien, anciens professeurs, psychanalystes, docteurs en science de l’éducation, directeurs d’établissement, etc. Pour l’auteur, « il est illusoire d’espérer trouver une métaphore unique pour décrire un objet complexe », c’est pourquoi il faut plusieurs métaphores pour rendre compte de la complexité du métier d’éducateur.

J’ai choisi d’étudier, parmi la très large bibliographie de la psychanalyste Françoise Dolto, l’ouvrage « Quand les parents se séparent ». Ce livre de 176 pages est paru le 16 février 2004 aux éditions Seuil. Il se présente sous la forme d’une longue interview menée par Inès Angelino.

L’auteur principal y fait le constat dommageable du manque de considération concernant l’enfant, ses souffrances ainsi que ses aspirations, dans le processus de séparation de ses deux parents. Dans cet écrit, la psychanalyste met en exergue les lourdes difficultés que rencontre l’enfant du fait de la dislocation de son modèle familial, en évoquant notamment « l’ébranlement de l’être intime » et la nécessité de sauvegarder  l’enfant dans son identité, ses racines et son histoire.

L’auteur a construit son ouvrage en 8 chapitres, considérant ainsi l’enfant dans sa structuration  inconsciente et face à ses différentes références sociales telles que les familles, les partenaires des conjoints, l’école, etc.

Christopher a 15 ans 3 moi et 2 jours, lorsqu’il tombe sur le cadavre de Wellington, le chien de la voisine. Le jeune homme décide de mener l’enquête et d’écrire un roman policier, avec l’aide de Siobhan son Atsem.

Christopher est un enfant un peu à part, probablement atteint du syndrome d’asperger, il compare les nombres entiers à la vie elle même : logique, à laquelle on réfléchit tout le temps, et dont il est impossible de trouver les règles. Il aime le rouge, déteste le jaune et qu’on le touche, et ne mens jamais. Dans son récit, le garçon nous raconte les nombreuses aventures qui vont le mener hors de son confort, et vers des secrets qu’il n’aurait jamais pensé découvrir, dans un monde qui n’est pas des plus logique .

Né en Angleterre, à Plymouth en 1896, Winnicott meurt à Londres en 1971. Il grandit dans un univers marqué par la présence des femmes. Sa mère, sa grand-mère, une nourrice et ses deux soeurs aînées jouèrent un rôle majeur dans son éducation. Il n’eut jamais d’enfant.

Après une formation médicale, il devient, en 1923, chef de service de l'hôpital d'enfants de « Paddington Green », à Londres, où il exercera pendant quarante ans.

Winnicott entreprit, la même année, en 1923, une longue analyse personnelle, qui dura 10 ans, avec James Strachey, le traducteur anglais de Freud.

D'après sa femme, Clare Winnicott, il aurait aimé faire une nouvelle période d'analyse avec Mélanie Klein. Mais Il la fit en fait avec Joan Rivière, qui était une élève et amie de Mélanie Klein, pendant 5 ans, de 1933 à 1938.

WINNICOTT fit ensuite des supervisions, de 1935 à 1941, avec Mélanie Klein.

En 1927 WINNICOTT devint membre de la « Société psychanalytique britannique » mais il ne rallia ni le groupe des kleiniens ni celui des freudiens orthodoxes réunis autour d'Anna Freud.

WINNICOTT rejoindra le « Middle Group », un « troisième groupe » caractérisé par son éclectisme et une démarche plus empirique que dogmatique, un groupe qui refusa de s'inféoder aux deux groupes opposés des Kleiniens et des Anna Freudiens.

Il occupe donc une place à part dans la psychanalyse infantile du fait de son originalité, de son non-conformisme et de sa position en marge des deux écoles britanniques d'Anna Freud et de Mélanie Klein.

Winnicott s’est toujours considéré comme un analyste freudien, il est resté fidèle aux grands concepts fondamentaux que sont l'inconscient, le transfert, le refoulement, l’OEdipe, mais il s’est éloigné de Freud sur d’autres points.

Mon choix s’est porté sur cet ouvrage « La violence à l’école » car il s’agit d’une notion qui m’a toujours intéressée et interrogée. Que ce soit d’un point de vue personnelle ou dans le cadre de mes différentes expériences (stages – activité professionnelles) cette question  m’a toujours paru importante.

L’auteur, Bernard DEFRANCE, dans cet ouvrage part du postulat que la violence, sous toutes ses formes, doit être interdite à tous et ce quel que soit le statut ou les privilèges.

Partir de ce postulat me paraissait particulièrement intéressant et c’est pourquoi j’ai voulu mieux l’appréhender.

Muriel Darmon a réalisé un travail d’enquête sur l’anorexie dans « Devenir anorexique. Une approche sociologique ».
La première question qui se pose alors est « comment peut-on faire une sociologie de l’anorexie ? » En effet, là ou l’anorexie est le lieu de recherche exclusif du domaine psychopathologique et psychiatrique, Muriel Darmon, rappelle à la façon de son prédécesseur E. Durkheim qui fit du suicide un fait social, qu’il n’y a pas « d'objets propres à la sociologie, mais il n'y a pas non plus d'objets qui lui soient interdits, seulement des objets qui lui sont socialement étrangers. »

Le caractère pathologique de l’anorexique peut en effet être un obstacle, ainsi Muriel Darmon propose une approche sociologique de l’anorexie « non pas malgré sa dimension pathologique mais pour cette raison même ». Il n’appartient pas en effet au sociologue de différencier le normal du pathologique.
Il ne s’agit pas pour elle de faire une analyse de la perception sociale de l’anorexie, de ce que les anorexiques sont au vu de leur pathologie, mais bien d’avoir une approche sur ce qu’elles font et ce qui se passe pendant l’anorexie. C’est pourquoi la sociologue mène des entretiens avec des femmes anorexiques ou anciennes anorexiques, dans divers lieux de soins, afin de recueillir leur point de vue. Elle mène également des entretiens dans un lycée, avec des jeunes « non anorexique », pour mettre en parallèle certaines pratiques alimentaires.

Dans le cas d'une séparation due au placement, Maurice Berger affirme que la souffrance et la pathologie de l'enfant sont constantes et sous-estimées. Il décrit dans cette partie du livre la vie psychique complexe de l'enfant placé et les difficultés thérapeutiques qui en découlent. Il présente également les diverses raisons, extérieures à l'enfant, qui font que le travail de soins est difficile.

Dans le cadre de ce champ de formation, il m’a été nécessaire de revenir sur ma pratique. L’inadaptation est un sujet vaste qui nécessite tant un regard critique qu’une conception personnelle. L’inadaptation fait référence à la norme, aux représentations sociales et subjectives. En parallèle à ces concepts, un fait particulièrement croissant peut –être observé : l’ère des violences urbaines. En partant de l’idée que la violence est un comportement inadapté, j’ai choisi le livre de Jean-Marie Petitclerc « EDUQUER OU ENFERMER » En tentant de trouver un éclairage par rapport à ma pratique en internat je présenterai cet écrit en plusieurs parties.

Maurice BERGER, dans ce livre, nous présente ces travaux sur la mise en place de soins aux enfants présentant des troubles psychiques suite à une défaillance du lien affectif parental, tout en tenant compte des dérives éventuelles que peuvent engendrer le maintien dans la famille ou les visites parentales, dans le cas de placement. L’auteur, dans un premier temps, nous fait part de ses différentes expériences qui ont remis en cause ses premières idées sur la séparation parent-enfant et qui lui ont permis d’analyser plusieurs limites à la mise en place de travail avec les parents « défaillants ».

La consommation des drogues remonte à la nuit des temps et a toujours été codifié, soit par des rites religieux, des pratiques médicinales, ou des rites sociaux. La drogue a toujours fait partie intégrante des sociétés, on constate que lorsqu'une société change, ses problèmes de drogues changent aussi. L'évolution du phénomène « drogue » est le plus souvent rapporté aux différentes manifestations de crises : économique, sociale et culturelle (augmentation du chômage, déracinement des populations, accroissement des inégalités et des marginalités etc.). De tout temps, les drogues ont été des agents déclencheurs et amplificateurs d'un discours latent que chaque société tient en réserve.

Titre : Soigner les toxicomanes. Auteurs : Alain MOREL, François HERVE et Bernard FONTAINE Edition : 2ème édition, août 2003 chez Dunod Pages : 320

Paul Fustier est né en 1937 à Saint-Etienne et a fait des études de psychologie à Lyon. Professeur de psychologie, il est aussi chercheur à l'université Lumière Lyon 2. Il intervient également dans des institutions de soins spécialisées, psychiatriques, sociales, afin d'aider à l'analyse des dispositifs d'accueil ou pour favoriser l'apparition de nouvelles dynamiques institutionnelles. Il a également participé à de nombreux travaux en collaboration avec d’autres psychologues tels Pierre Dosda , Edouard Ravon, José Bleger et René Kaes, psychanalyste. Certains de ces travaux ont donné lieu à des publications qui sont reprises dans cet ouvrage, notamment « Objet transitionnel ou poupée gonflable » (Le journal des psychologues, n° 96) et « La réponse en creux et la question du transfert en institution » (Sauvegarde de l’enfance, n° 2).

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