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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Le processus de résilience chez les enfants placés.

Le processus de résilience chez les enfants placés. Mais pour que le processus de résilience se mette en place, Thibaut a eu l'opportunité de s'appuyer sur des personnes de son entourage (notamment son assistante familiale et sa référente de l'ASE). Thibaut, ayant conscience qu'il pouvait s'appuyer sur des « tuteurs » a pu peu à peu faire un travail de restauration de son estime. L'expression de B. Cyrulnik résume bien ce concept de résilience. A travers lui, il est possible de « transformer le désespoir en hymne à la joie ». La résilience serait donc une manière de se servir du « malheur » comme d’une épreuve pour progresser, de transformer la souffrance en réussite. Ce travail m'a fait prendre conscience de l'importance à apporter un soutien à l'enfant en difficulté. En effet, en plus de ses potentialités internes, le jeune a besoin de se sentir soutenue pour reprendre confiance en lui.
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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Dossier partenariat et réseau en ITEP
Le stage long que j'ai effectué s'est déroulé dans le secteur de l'insertion. Pour moi, l'insertion dans sa globalité, est le fait de bénéficier d'une place centrale au sein de la société. Ceci inclut une certaine stabilité au niveau de l'emploi, du logement, de la famille... Afin d'illustrer le développement proposé tout au long de mon dossier, je vais faire le parallèle avec le concept de désinsertion sociale défini par Vincent De Gaulejac. En effet, cet auteur met l'accent sur le vécu de l'exclu. Pour lui, ce qui caractérise l'exclusion est la perte d'emploi, une absence de ressources qui prive l'individu de réseaux de solidarité matérielle et de soutien psychologique. « Aujourd'hui, la crise du monde du travail, une certaine fragilisation des liens sociaux, et la déconstruction progressive des systèmes de normes et des identités, semblent être les principaux vecteurs de la nouvelle vulnérabilité sociale ». De même, la stigmatisation sociale impose aux individus une image négative d'eux-mêmes qu'ils ne peuvent éluder. Ils perdent ainsi leurs attaches et la société porte un regard stigmatisant sur eux.
Note réflexive : Que signifie pour vous « accompagner » dans une intervention sociale ?
I. La relation d’aide : Une posture professionnelle : La posture professionnelle peut se définir par le savoir-être, le savoir-faire et le positionnement professionnel. Elle est personnelle et se nourrit de l’expérience personnelle, professionnelle et des interactions de son environnement social. Elle n’est donc pas figée et s’adapte aux situations. Ainsi, pour proposer un accompagnement au travers d’une relation, un travail sur soi est nécessaire. En effet, je pense qu’il est important de connaître ses propres représentations et « son propre système d’interprétation de la réalité, avec sa « grille de lecture » personnelle » . C’est pourquoi, je crois que l’assistante sociale est une interface entre l’institution, qui via un cadre d’intervention et des missions permet d’offrir un accompagnement, et la personne. Aussi, le professionnel qu’est l’assistante sociale doit faire preuve d’adaptabilité face à la singularité de chaque personne et des difficultés qu’elle rencontre, afin d’être facilitateur. Cela peut se faire grâce à l’expertise que chaque professionnel acquiert, au cours des années de formation (cours et terrain de stage) et une fois en poste. En ce qui me concerne, j’ai pu constater sur mon terrain de stage de deuxième année (Carsat ) que d’une part la spécialisation en santé est un atout pour accompagner un public particulier et que d’autre part grâce aux connaissances particulières dans le domaine de la santé, les assistantes sociales sont en mesure d’adapter leur plan d’aide selon les différentes situations rencontrées et de mettre en œuvre une méthodologie d’action (individuelle ou collective).

Je pense que le fondement de l’accompagnement est la relation à autrui et qu’au-delà de la fonction du professionnel, c’est bien en tant que personne que je m’engage dans cette situation relationnelle. Par conséquent, en tant que professionnelle, je dois me mettre au service de l’accompagné, en m’assurant de ne jamais me substituer à lui et en respectant sa singularité. Ceci demande de la vigilance, un travail sur soi et une analyse réflexive de sa pratique et de son rapport à l’autre. En somme, les postures professionnelles doivent s’adapter aux situations ainsi qu’aux différents moments rencontrés dans l’accompagnement. Et comme le dit G. LE BOUEDEC « on n’accompagne jamais en son nom propre mais toujours au nom d’une institution . » C’est donc cette institution qui peut donner à chaque professionnel un cadre de sécurité, qui va permettre d’instaurer une relation de confiance
Comment intégrer les contenus de la psychanalyse dans l’approche du métier d’assistante sociale
Tout d’abord nous pouvons dire que la psychologie, ainsi que la psychanalyse est un apprentissage essentiel pour pouvoir comprendre l’usager. En effet dans certains lieux d’exercice, les assistants de service social se retrouvent confronté à des pathologiques psychiatriques, comme c’est le cas actuellement dans l’hôpital dans lequel j’exerce mon stage. Il est donc important de pouvoir comprendre ses pathologiques, et les effets qu’elles produisent sur l’individu. Cependant certaines fois le patient peut posséder des troubles psychologiques discret qu’il est pourtant en mesure de cacher. Avec une bonne discussion et un travail d’analyse, l’assistant de service social peut donc réussir à déceler les troubles que le patient essayait à cet instant de camoufler. La psychologie est aussi importante pour réussir à identifier son caractère, mais aussi à pouvoir comprendre ses émotions à travers son vécu. Il est aussi important de savoir que l’assistante sociale ne peut pas donner de réponse à la place du patient, mais peut l’aider à emmener ces réponses à l’aide de question ciblée.

Ensuite il est aussi important d’étudier la psychologique, pour une question de communication tout d’abord avec l’usager. En effet prenons l’exemple d’une visite à domicile, dans laquelle on voit une jeune maman un peu dans la lune, ne remarquant pas que son bébé essaye en vain d’attraper son biberon. On souhaite lui faire remarquer mais on ne peut évidemment par la brusquer en lui disant qu’elle néglige son enfant. Il sera plus à même d’utiliser le tact en l’emmenant à parler de son enfant, à parler même directement à l’enfant pour qu’elle s’y intéresse à nouveau. La psychologie permet ici d’être d’avantage diplomate, et de savoir si l’usager est apte ou non à entendre ce qu’on désire lui dire, ou s’il faut prendre « des gants ». Cependant la psychologique ne sert pas uniquement à avoir plus d’aisance avec l’usager, mais aussi avec les professionnels partenaires, comme un infirmier psychologue, ou un psychologue. Ces professionnels utilisent souvent des termes relatant à la psychologie, et il est important de les comprendre.
ICAF : Comment améliorer l’orientation des usagers aux restos bébé ?
Mes observations m’ont permis de constater que la grande majorité des parents utilisent le coin café mis à leur disposition que cela soit avant ou après avoir reçu leur colis. Durant ce temps, aucun bénévole ne reste réellement disponible pour discuter (les bénévoles parlent dans un coin entre eux), par conséquent certains bénéficiaires parlent entre eux mais plus d’une quarantaine par jour (sur environ une soixantaine reçus) restent isolées (c’est-à-dire assis seule dans un coin) ou ne s’attardent pas. Par ailleurs, en m’intéressant de plus près aux comportements des bénéficiaires, j’ai pu remarquer qu’il n’est pas rare qu’ils demandent davantage de matériel ou qu’ils posent des questions sur l’alimentation, la santé ou le développement psychomoteur de leur enfants et autres.

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