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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Quel accompagnement pour les seniors du rmi en milieu rural?

Quel accompagnement pour les seniors du rmi en milieu rural?

Intéressée par le travail social en milieu rural, mes questions de départ portaient sur les formes d'accompagnement concernant les allocataires du RMI de plus de cinquante ans vivant dans cet environnement. Pour tenter d'y répondre, j'ai émis l'hypothèse selon laquelle l'accompagnement mis en place par les assistants de service social relève davantage d'un accompagnement social que d'un accompagnement vers l'insertion professionnelle.

Cet accompagnement social nécessite de connaître le public en question, c'est à dire ses caractéristiques, ses capacités et ses vulnérabilités. En d'autres termes, l'accompagnement social est mis en pratique à partir d'une évaluation de la situation. Par ailleurs, l'accompagnement, technique d'intervention, suppose une connaissance institutionnelle et juridique des dispositifs d'insertion, ainsi que la sollicitation de partenaires.

Catégorie: Mémoire Assistant de service social
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Intervenir en aemo judiciaire, quel espaces pour quels changements

Au cours de ma formation d’Assistant de service social (AS), j’ai abordé durant mes stages, différentes missions d’intervention auprès des usagers. Ainsi, l’AS intervient auprès des familles, les personnes seules et les groupes pour les accompagner en vue d'améliorer leurs conditions de vie, de favoriser leur insertion sociale et professionnelle. Au-delà de ses missions généralistes, il contribue aussi à la prévention et à la protection des mineurs en danger.

A travers ces différentes actions, l’AS vise à donner aux personnes qu’il rencontre les moyens d’être les acteurs de leurs propres transformations. A l’occasion de mon premier stage en service social de polyvalence, j’ai pu vérifier cette réalité. Dès lors, le soutien et l’accompagnement des parents dans l’éducation de leurs enfants permettaient de mettre en place un certain nombre d’actions visant à dépister, prévenir les risques de mauvais traitements, à prendre en charge et soutenir le mineur et sa famille quand cela est nécessaire.

Les jeux d'argent et de hasard des casinos: quand rien ne va plus...

Ce mémoire a été réalisé dans le but de sensibiliser le domaine du travail social aux risques liés à la pratique des jeux d’argent et de hasard des casinos. Nous avons vu dans ce mémoire que le jeu pathologique en France est un vrai problème social et un problème de santé publique. Cette dépendance affecte le joueur, sa famille et son milieu de vie et peut entraîner un risque d’exclusion sociale. Dans les autres pays (Canada, Suisse, Belgique,…), le jeu pathologique est l’objet d’étude de nombreux médecins et travailleurs sociaux.

Dans ces pays, le jeu pathologique est considéré comme un véritable fléau social car les machines à sous sont autorisées dans tous les cafés (contrairement en France où elles constituent le monopole des casinos).

le harcèlement moral au travail : quelle pratique professionnelle pour les assistants de service soc

J’ai choisi comme thème de mémoire, le harcèlement moral au travail pour plusieurs raisons. Il s’agit d’une forme de maltraitance particulièrement destructrice pour l’identité de la personne, son équilibre psychique, sa vie familiale, et son insertion professionnelle. En tant que professionnels, nous sommes chargés de pallier ou de remédier aux processus d’exclusion, c’est pourquoi nous pouvons être amenés aussi bien dans un service social du personnel qu’en polyvalence de secteur à rencontrer des situations de harcèlement moral. Cette forme de maltraitance au travail tend à se développer et à devenir un fait de société. H.LEYMANN1, psychosociologue, a été le premier à parler de « mobbing » au travail.

Mais c’est le livre de M.F HIRIGOYEN2 dont les ventes se sont envolées à sa sortie, qui a mis à jour et un nom sur une souffrance au travail qui a toujours existé mais qui demeurait cachée, vécue dans la honte par les victimes et ignorée des pouvoirs publics. Ce livre a permis une prise de conscience auprès des responsables politiques qui, suite à un rapport effectué par le Conseil Economique et Social en 2001, ont décidé de légiférer afin de combler un vide juridique. Cette loi votée le 17 janvier 2002 est une reconnaissance du harcèlement moral et a donné une définition légale à cette réalité. Or en dépit de tous ces faits, mes lectures et mon enquête exploratoire auprès des assistants de service social du personnel, semblent montrer que le problème du harcèlement moral au travail était peu évoqué. Comment expliquer ce paradoxe ?

Les assistants de service social du personnel semblaient rencontrer peu de situations de harcèlement moral dans leur pratique, ma problématique partant de cette interrogation. A partir de là des questions se posaient : qu’est ce que le harcèlement moral ? Comment pouvait-on en expliquer les causes ? Quelles en étaient les manifestations et les conséquences en particulier psychiques et médico-sociales ? Comment se faisait-il que les assistants de service social soient si peu sollicités ? Quels étaient les obstacles qui rendaient difficile la prise en charge ?

La culture sourde un moyen de se faire entendre

Il y a six ans, lorsque j'étais animatrice en centre aéré sans hébergement j'ai rencontré Théo. Il avait dix ans et était sourd profond. Au bout de deux jours, il était totalement intégré parmi les autres enfants et communiquait parfaitement avec nous mais nous non. Je m'explique, il se mettait à notre niveau, s'adaptait à notre ignorance de la langue des signes en trouvant mille moyens pour s'exprimer. Avec le recul, au bout d'une semaine, j'ai réalisé qu'aucun de nous ne communiquait réellement avec lui. En effet, la définition de la communication est "se mettre en relation".Dans le cas de Théo, il n'y avait aucune réciprocité, c'est lui qui s'adaptait à notre ignorance.

Cette rencontre m'a motivé pour apprendre la langue des signes, que j'apprends depuis un an maintenant. J'ai alors découvert un autre monde, une autre façon de voir les choses, de les appréhender au contact des membres de cette association et de mon professeur. Plus généralement je me suis dirigée vers la formation d'assistant de service social notamment parce que il est important pour moi de mettre du lien. Je ne le posais pas encore dans ces termes mais c'était respecter chacun dans ses différences. Etre face à quelqu'un de différent c'est toujours se remettre en question mais c'est aussi pour le travailleur social faire reconnaître ces différences à l'ensemble de la société.

Etre en contact avec les sourds pour un entendant c'est entré en communication avec quelqu'un dont en ne possède pas la langue. Notre profession repose sur la communication et savoir dépasser les obstacles que nous pouvons rencontrer dans ce cadre est une des questions qui m'interroge. Cette expérience et la relecture du "Cri de la mouette" d'Emmanuelle Laborit m'ont amené à m'interroger sur un terme qu'emploie souvent les sourds, "la culture sourde". Par culture, il est entendu depuis le XIX ème siècle, quelque chose qui s'enrichit et ne se rapporte plus seulement au développement intellectuel de l'individu . Au sens large, elle est l'ensemble des caractères propres à une communauté.

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