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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Rapport de stage Assistant de service social

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La relation d’aide s’est axée tout d’abord sur l’écoute, le soutien consacré au récit du vécu. La jeune femme avait besoin d’être rassurée et reconnue dans sa souffrance. Il était important de nouer le dialogue dans un climat de confiance ce qui a permis à madame X d’exprimer sa demande. Mon rôle a été de l’entendre, de la soutenir et de respecter ses choix. Parallèlement, il convenait de l’informée de ses droits et des démarches possibles.

Dans un premier temps, compte tenu de l’urgence de la situation et dans un souci de protection, j’ai orienté mon intervention sur la recherche de solution d’hébergement hors du département.

Tout d’abord, je vais tenter d’analyser la demande de l’intéressée selon la grille d’Amiguet et Julier. En effet, il est important de bien comprendre la demande d’aide de la personne car notre intervention se basera principalement sur celle-ci. Dans le souci de respecter le secret professionnel, j’ai décidé d’appeler la bénéficiaire Madame Dupont.

Madame Dupont, âgée d’une trentaine d’années, s’est rendue à la permanence de ma référente de stage afin de solliciter l’aide du C.P.A.S dans le cadre de l’aide médicale urgente. Cette bénéficiaire parle le français avec quelques difficultés, cependant, elle arrive tout de même à suivre une conversation. Le CPAS devrait intervenir en faveur de Madame et de son fils atteint d’une maladie au cœur.

Étudiante en formation d’assistant de service social, j’ai effectué mon stage de deuxième année au sein du Conseil départemental de la Drôme. J’ai été accompagnée d’une assistante sociale exerçant en polyvalence de secteur. Pendant mon stage, j’ai eu l’occasion d’assister à différents entretiens avec plusieurs orientations possibles. J’ai pu observer les multiples problématiques rencontrées par le public qu’accueille l’équipe du Centre Médico-Sociale (CMS). Une des plus prégnantes concerne la violence conjugale.

En effet, durant les réunions d’équipe beaucoup de situations de violences sont abordées. Elles concernent principalement des femmes qui subissent des violences de la part de leurs conjoints/concubins. De par les entretiens que j’ai réalisé seule ou en binôme avec ma référente concernant cette problématique, un aspect m’a tout particulièrement interpellé. J’ai constaté que l’accompagnement de la violence conjugale auprès des femmes dont les origines culturelles sont différentes de celle de notre pays, m’embarrassait beaucoup. Ces femmes parlent de cette violence subie comme d’une évidence, d’un geste anodin de la part de leurs maris. 

L'écriture de ce dossier a été l'occasion de se questionner, tout au long du stage, sur l'organisation institutionnelle de la structure dans laquelle nous étions, la législation qu'elle se devait d'appliquer et les multiples acteurs avec lesquels elle interagissait. Ainsi, en lien avec les compétences du domaine de formation 4, intitulé « dynamiques institutionnelles, interinstitutionnelles et partenariales », ce stage de six semaines en relais assistants maternels m'a notamment permis de prendre conscience de la méthodologie à suivre pour monter un projet.

La prise en compte des exigences budgétaires est nécessaire, ainsi que le contexte et l'environnement dans lesquels se trouve la structure. De plus, pour certaines actions, il est essentiel pour une structure de savoir mutualiser ses moyens avec d'autres acteurs, permettant ainsi la mise en commun et le renforcement des compétences de chacun. 

L’accompagnement est un concept qui sous-entend à la fois une idée de mouvement et d’action : c’est donc une notion d’évolution positive. Le rôle de l’accompagnateur est de permettre à la personne qu’il accompagne de trouver les clés nécessaires à l’acquisition de son autonomie en utilisant l’ « être avec » et en évitant le « agir à la place de ». Lorsque l’on utilise le terme d’accompagnement, sa signification paraît évidente. Pourtant, les seules personnes ayant cette fonction peuvent l’expliquer. La notion d’accompagnement est présente dans tous les milieux et dans tous les domaines (médias, enseignement, entreprises avec le tutorat et les maîtres de stage).

Dans le domaine du social, la fonction d’accompagnant couvre des champs très vastes. En effet, selon l’institution dans laquelle le professionnel officie, son rôle se fera de différentes manières (hébergement, accueil de jour, emploi, logement). Là où les problématiques varient d’une personne accompagnée à l’autre, les accompagnements eux aussi sont multiples. C’est donc une notion imprécise ce qui lui permet d’être pratiquée dans des domaines aussi différents que l’hébergement ou l’entreprise.

J’ai effectué mon stage dans un service éducatif de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ), un lieu unique en France. J’ai choisi de réaliser le Journal d’Etude Clinique en m’appuyant sur mes observations dans ce service car l’équipe était pluriprofessionnelle et intervenait dans une institution particulière. De plus, c’est le premier stage où j’ai observé une réelle dynamique d’équipe. Le Journal d’étude clinique implique de comprendre les termes. Le terme journal peut s’entendre comme un recueil d’observations qui se déroulent dans le temps de la gestion d’un problème rencontré par l’éducateur et dont les solutions sont à construire collectivement.

Le terme étude quant à lui signifie que cela implique un travail de réflexion qui s’appuie sur des outils conceptuels d’un ou plusieurs champs de discipline. Enfin, clinique doit être comprise comme ce qui se fait dans le temps de l’intervention socio-éducative, mais aussi comme le souci de « faire avec ce qui nous affecte ».

Afin de forger ma propre identité professionnelle, il a été important pour moi de m’interroger, de prendre connaissance de l’Histoire de la profession d’Assistant de service social. L’apprentissage des politiques sociales au cours de mes trois années de formation m’a enrichie autant professionnellement que personnellement.

En effet, cela m’a permis de faire le lien avec l’évolution la société mais aussi de l’évolution dans le temps de ma future profession. Le principe de veille sociale a eu une réelle résonance pour moi. Au-delà de faire partie du référentiel de formation, la veille sociale est à la fois une richesse et le moyen de mieux comprendre les ressorts de la politique sociale sur l’évolution sociale et sociétale.


Le rapport à l'humain n'est pas facile à gérer. Quelle distance adopter ? Comment rester professionnel tout en ne paraissant pas totalement détaché de la situation de la personne reçue en entretien ? Comment réagir lorsqu'une personne vit une situation qui nous touche plus particulièrement ? Comment rester impartial lorsque le Conseil Général refuse une demande d'aide que l'on pensait nécessaire ?

Comment continuer à être professionnel lorsque les personnes que nous recevons ont un comportement nous agaçant particulièrement ? Il est difficile d'expliquer exactement comment « savoir » réagir d'une façon et non pas d'une autre. Mais c'est un apprentissage qui passe par l'observation et qui consiste dans le respect de l'autre, de l'institution, des valeurs de la société mais aussi de nos propres valeurs. 

Concernant le travail même de l’assistante social et ses missions, le milieu rural est à prendre en compte. En effet, l’accompagnement dans ce milieu-là doit prendre en considération la problématique liée à la mobilité des usagers (pas de permis et un réseau de transport public peu développé), ou d’emplois peu présents sur le secteur.

L’assistante sociale doit avoir une bonne connaissance de son secteur et dans tous les domaines (logement, santé, emploi,…) pour être efficace. Une des fonctions de l’assistante sociale étant l’écoute, l’assistante sociale doit également savoir prendre de la distance avec les propos des usagers et des situations. Elle doit apprendre à ne pas intérioriser les situations et savoir en échanger avec ses collègues. Sur le territoire, l’analyse de la pratique a un rôle important puisque 3 groupes ont été mis en place. 

C'est durant un stage de seconde année que j'ai élaboré ce projet d'Intervention Sociale d’Intérêt Collectif. Il répondait à un partenariat entre l'école et une institution. Celle-ci ayant repéré une problématique, passait commande pour proposer un plan d'action et l'appliquer auprès de ses usagers. J'ai décidé de m'impliquer dans la clarification de la notion de référent d'une Maison d'Accueil Spécialisée (MAS) dans le handicap psychique. La notion de "référence" y était présentée par la direction comme mal définie, sur ou sous investie, par les résidents. Cette question a également suscité l’intérêt de trois étudiants éducateurs spécialisés (ES), formant ainsi notre équipe de travail.

Ce sujet d'étude m'a interpellée car j'avais déjà observé, en institution, l'isolement des personnes en situation de handicap et la nécessité de repères sécurisants. La M.A.S. s'appuie, pour assurer ses missions, sur divers textes législatifs et rapports, notamment le rapport Charzal, rendu en 2002, qui fait un état des lieux des capacités de prise en charge des adultes vieillissants en situation de handicap psychique. L'établissement est aussi encadré par la loi 2002-2 rénovant l'action sociale et médico-sociale, définissant ainsi ses missions obligatoires et l'utilisation de certains outils. La M.A.S. trouve son origine dans les lois du 30 juin 1975 mais plus encore dans celle du 11 février 2005, dite loi sur le handicap, qui reconnaît pour la première fois l'existence d'un handicap psychique. 

Comme souligné précédemment, il a été très complexe, pour la majorité de notre groupe, de faire du lien entre les postures de travailleurs et d'intervenants sociaux. Néanmoins, nous avons pu voir que le travail demandé pouvait être apparenté à un audit, tant les visions et les apports sont pluridisciplinaires. L'importance de chercher à entendre, et si possible à comprendre, les nombreux points de vues, qui peuvent être émis par tous les protagonistes, est un prérequis à un travail qui se veut plus objectif, bienveillant et efficient.

C'est aussi dans cette optique que nous avons compris la volonté de l'I.R.T.S. de proposer ce stage en groupe pluridisciplinaire, afin que nous puissions expérimenter la confrontation aux représentations de chacun et la spécificité du travail d'équipe, qui sont des piliers de nos futurs métiers. Nous avons voulu mettre en avant aussi la particularité de la position d'intervenant social qui peut s'apparenter sur certains points à celle de coordinateur, dans le sens de la prise de distance qui doit s'opérer face aux enjeux institutionnels et personnels. Nous avons souhaité faire du lien avec la refonte de nos diplômes qui va nous amener à adopter des pratiques différentes des représentations que nous avons pu avoir lors de notre entrée en formation. 

Bien entendu, mes référents de stage attendaient également plusieurs choses de ma part. Pour commencer, il était important pour eux que j’apporte un certain intérêt au travail à réaliser. Etre interpellée, oser poser mes questions, faire part de mes craintes ainsi que de mes idées étaient des éléments essentiels durant cette période de stage. De plus, mes référents souhaitaient que je m’intègre à l’équipe et que je devienne autonome au fil des semaines.

Ensuite, certaines compétences comme mener un entretien, rédiger un rapport social, respecter le secret professionnel devaient être acquises à mi-stage. Selon l’école cette fois, il était important que nous soyons capables d’acquérir trois grandes compétences professionnelles : pouvoir clarifier, diagnostiquer et évaluer une situation sociale ; intervenir dans un contexte réel et évaluer l’intervention ; et établir et gérer des relations professionnelles avec les usagers, les collègues et les partenaires institutionnels. A travers ce travail, j’ai décidé de me centrer sur le thème des personnes en séjour illégal mais également des demandeurs d’asile. Pour quelles raisons ai-je choisi de travailler ce sujet plus en profondeur ?


« Soumis à droits et devoirs », le bénéficiaire doit se mobiliser dans les démarches d’insertion sociale ou professionnelle selon son orientation. Le diagnostic de territoire a pu mettre en exergue trois freins aux démarches d’insertion des bénéficiaires du RSA majoré qui résident sur la commune de Falaise, communs à la fois au public et au territoire : l’absence d’un mode de garde, la mobilité et la vie professionnelle. J’ai choisi de traiter dans le cadre de l’ISIC le premier frein, c’est-à-dire l’absence d’un mode de garde, car certains professionnels se sont interrogés sur des difficultés liées à la séparation mère-enfant.

• Questionnement : Avant l’entrée en maternelle, les bénéficiaires peuvent prétendre à des aides permettant de financer un mode de garde. Il y a plus de 80 assistantes maternelles agrées sur la commune de Falaise. Pourtant, aucune bénéficiaire n’a fait appel à une assistante maternelle pour faire garder son enfant. Certaines ont d’ailleurs spécifié ne pas vouloir confier son enfant à un « étranger ». Au regard de ces éléments, je pose le questionnement suivant : en quoi la crainte de confier son enfant à une assistante maternelle révèle t-il une différence dans l’exercice de la parentalité ? • Éléments manquants : 

Au sein de la Clinique, l’assistante de service social est la seule personne représentative du secteur social. Elle accueille toutes les personnes hospitalisées qui souhaitent la rencontrer. Elle a pour missions l’accès aux soins de tous ainsi que l’accès aux droits sociaux. De plus, elle lutte contre l’exclusion des personnes hospitalisées, favorise l’autonomie et l’insertion socioprofessionnelle. Concernant ses fonctions, elle conseille, oriente et soutient les patients ainsi que leurs familles.

De plus, l’assistante de service social apporte son concours à toute action susceptible de prévenir les difficultés sociales ou médico-sociales rencontrées par les patients ou d’y remédier. Elle assure la coordination avec d’autres institutions ou services sociaux ou médico sociaux. Puis, elle met en œuvre les droits aux prestations (ouverture de droits, CMU, demande de mutuelle, dossier MDPH…) et elle fournit une assistance administrative et juridique comme par exemple la mise sous protection (sauvegarde de justice, curatelle, tutelle).


La première difficulté a été l’absence de rencontre avec le professionnel qui assurait les permanences. Pour pallier à cette difficulté je me suis référé aux écrits professionnels, de façon à garder le sens de la démarche. A mon sens, l’accompagnement que je devais proposer devait s’inscrire dans une continuité de service sans créer de ruptures brutales. Je me suis saisit de la convention signée entre l’association et la résidence sociale. Ce support m’a permis de cerner mon champ d’intervention et d’identifier les différents partenaires potentiellement mobilisables. Ces outils m’ont permis de repérer les actions à mener.

Il ne me restait plus qu’a accueillir le public. La venue des usagers à la permanence est basée sur le volontariat. L’accompagnement proposé est fait de façon ponctuelle. Lors de ma prise de fonction le jour et l’heure de ma présence ont été modifié. Il était nécessaire que les personnes puissent m’identifier au sein de leur lieu de vie. 

Dans le cadre de ma première année de DEASS j’ai effectué un stage du 29 février au 15 avril 2016, sur sept semaines. Le DEASS, est un diplôme professionnalisant qui comprend en tout une totalité de 26 semaines de stage. Ce stage de première année, a pour objectif de comprendre la profession d’assistant de service social, et de mesurer les écarts de la réalité du terrain et ses propres représentations personnelles. Tout ceci ayant le but de confirmer mon propre choix professionnel.

Pour ma part, j’ai fait ce stage au sein de l’Institut Médicaux Educatif de M. et du Foyer d’Accueil Médicalisé de M. Ces deux services sont localisés au même endroit. Ils font parti de la même association, cependant ils n’ont pas le même fonctionnement, et ne relèvent pas de la même unité de gestion d’intervention sociale. J’ai donc choisi de rédiger mon rapport de stage sur le Foyer d’Accueil Médicalisé afin qu’il n’y ait pas de confusion entre les deux structures distinctes. 

J’ai réalisé mon stage de 1ère année au CHRS le T du 29 février au 15 avril 2016. Ce CHRS se situe à T, en centre-ville, près de la station de métro Palais de Justice. Les objectifs principaux de ce stage de première année étaient d’appréhender concrètement les fonctions et les activités de la profession et de confronter les représentations que j’avais du métier avec la réalité du terrain. Ce stage m’a permis de confirmer mon choix professionnel. Durant ce stage, j’ai pu découvrir le métier d’Assistant de Service Social dans ce type d’institution.

Les activités que le professionnel réalise dans un CHRS sont très variées et touchent à de nombreux secteurs d’intervention. De plus, j’ai pu mieux comprendre les différents dispositifs d’hébergement. Je me suis sentie bien durant ce stage, que cela soit auprès de ma référente, auprès de l’équipe du CHRS ou au contact des résidentes. En effet, même s’il est parfois compliqué de tenir une place d’observateur, je pense avoir été dans le bon positionnement en tant que stagiaire.

Ce rapport de stage s’intéresse à une problématique issue de mon stage de 2ème année de formation d’assistant de service social. Ce stage a eu lieu dans une institution accueillant, sous différentes modalités , des personnes présentant une déficience intellectuelle avec ou sans troubles associés autres que moteurs.

Lors de mon premier jour de stage, il m’a été signifié que je devrai utiliser le « vous » pour m’adresser aux personnes accueillies. L’utilisation du tutoiement ne pouvait se faire que sur demande de l’usager. Cette précision m’a été faite car cette pratique s’applique à tous les professionnels de l’association. Elle s’inscrit dans un cadre de pratiques et de valeurs défendues par l’association. Avant même cet échange, il me semblait plutôt « évident » d’utiliser le vouvoiement comme lorsque l’on rencontre une personne pour la première fois, en dehors même de toute relation professionnelle.


Dans un premier temps j’ai assisté en doublure aux entretiens. Ensuite, lorsque je me suis sentie prête, j’ai reçu seule les femmes, en envisageant les solutions possibles les plus adéquates. Je soumettais mes hypothèses d’orientation à un membre de l’équipe, qui l’infirmait, la confirmait ou la complétait. A présent, je prends la responsabilité des orientations que je propose, mais il n’est pas rare que je sollicite l’avis de mes collègues, compte tenu de la complexité des difficultés rencontrées.

Au regard du nombre de femmes qui se déplacent, qui appellent, je constate la nécessité de lieux d’accueils inconditionnels comme la permanence. Cette possibilité donnée aux femmes d’être écoutées sans rendez-vous procure un dynamisme. Même s’il n’y a pas forcément de réponse, nous pouvons dédramatiser la situation, apporter l’affirmation d’une écoute attentive et compréhensive. 

La situation que je vous présente est une situation que j’ai rencontrée en début de stage de 2éme année. Je suis en stage au sein d’un SESSAD (Service de Soins A Domicile Spécialisé) situé en Seine-Saint-Denis avec une assistante de service sociale. C’est une structure qui accompagne des enfants et adolescents handicapés moteurs et polyhandicapés.

C’est lors d’une réunion de synthèse hebdomadaire, en présence de tous professionnels du SESSAD (Médecin, psychologues, ergothérapeutes, kinésithérapeutes, orthophonistes, éducatrices spécialisés), que j’ai pris connaissance de la situation de la famille de Sakib (c’est un faux nom pour que la famille reste anonyme).Il s’agit d’un enfant de 9 ans atteint de difficultés motrices et cognitives. Sakib est décrit par l’équipe comme un enfant qui présente quelques troubles, il est décrit comme un enfant très « égocentrique » et sur le plan psychique, il n’a pas d’affect et de relations sociales avec ses camarades. 

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