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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Le travail peut-il nous tuer?

Le travail peut-il nous tuer? Le suicide au travail ne relève pas d'une problématique spécifique à telle ou telle entreprise. On le voit, les cas se multiplient, mois après mois : France Télécom, HSBC, Renauld, BNP Paribas, La Poste, EDF, Sodexho, Ed, IBM... Aucun secteur d'activité n'est épargné. Toutes les tailles d'entreprise sont concernées. Cela tend à démontrer qu'on est en présence d'un phénomène de société, plus large et plus complexe qu'un dysfonctionnement isolé de tel service ou tel atelier.
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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Les différents minimas sociaux
Les différents minimas sociaux Selon l’INSEE (INSTITUT NATIONAL DE LA STATISTIQUE ET DES ETUDES ECONOMIQUES), « les minimas sociaux visent à assurer un revenu minimal à une personne (ou à sa famille) en situation de précarité. Ce sont des prestations sociales non contributives, c'est-à-dire qu'elles sont versées sans contrepartie de cotisations. Le système français de minima sociaux comporte divers dispositifs dont un spécifique aux départements d'outre-mer. » Qu’est-ce qui est pris en compte ? Pour percevoir ces aides sociales, plusieurs critères sont pris en compte, notamment, le niveau de revenu de la personne, sa situation familiale, personnelle, son statut de salarié ou de chômeurs, si son emploi est précaire ou non, etc… Ceux-ci alimentent le phénomène de non recours, cela signifie que la personne peut bénéficier de l’aide mais qu’elle n’en bénéficie pas car administrativement c’est trop compliqué. Il existe actuellement dis types de minimas sociaux : - RSA (Revenu de solidarité active) - RSO (Revenu de solidarité d’outre-mer) - AAH (Allocation adulte handicapé) - ASPA (Allocation de solidarité pour les personnes âgées) - ATA (Allocation temporaire d’attente) - ASI (Allocation supplémentaire d’invalidité) - ASS (Allocation de solidarité spécifique) - AV (Allocation veuvage) - PTS (Prime transitoire de solidarité) - ADA (Allocation pour les demandeurs d’asile)
Le travail social face au surendettement
Nous intervenons sur un secteur difficile avec une population paupérisée aux multi problématiques : enfance, hébergement d’urgence, bénéficiaires de minima sociaux, risque d’expulsion, ainsi que les situations de surendettement… En effet, j’ai pu constater qu’un nombre important d’usager du secteur se trouve en situation de surendettement. d’après le code de la consommation, le surendettement est la situation dans laquelle se retrouve des personnes physiques qui se caractérise par l’impossibilité pour le débiteur de bonne foi de faire face à l’ensemble de leurs dettes non professionnelles exigibles ou à échoir .
Homoparentalité
Notre choix s’est porté sur le thème de la famille. Nous souhaitions au départ travailler sur les différents types de familles mais rapidement nous nous sommes aperçus que ce thème était trop vaste. Etant tous issus de structures familiales différentes, il nous a paru intéressant de traiter la situation familiale ne concernant aucun d’entre nous: la famille homoparentale. Au sein du groupe certains d’entre nous avaient des préjugés sur l’homosexualité et l’homoparentalité. Nos confrontations d’idées et nos recherches nous ont permis d’avancer sur nos perceptions premières et de mettre en réflexion nos a priori.
ICAF : Comment améliorer l’orientation des usagers aux restos bébé ?
Mes observations m’ont permis de constater que la grande majorité des parents utilisent le coin café mis à leur disposition que cela soit avant ou après avoir reçu leur colis. Durant ce temps, aucun bénévole ne reste réellement disponible pour discuter (les bénévoles parlent dans un coin entre eux), par conséquent certains bénéficiaires parlent entre eux mais plus d’une quarantaine par jour (sur environ une soixantaine reçus) restent isolées (c’est-à-dire assis seule dans un coin) ou ne s’attardent pas. Par ailleurs, en m’intéressant de plus près aux comportements des bénéficiaires, j’ai pu remarquer qu’il n’est pas rare qu’ils demandent davantage de matériel ou qu’ils posent des questions sur l’alimentation, la santé ou le développement psychomoteur de leur enfants et autres.

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