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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

ISAP au sein d'un Conseil Général, en polyvalence de secteur

ISAP au sein d'un Conseil Général, en polyvalence de secteur J'ai rencontré le couple trois fois sur une durée de trois mois. Chaque rencontre m'a permis de baliser les objectifs fixés avec le couple. Et à chaque rencontre, nous pouvions voir ensemble l'évolution de la situation. Initialement, la demande concernait uniquement une facture GDF. Au fil des mois, j'ai pu creuser et voir que derrière cette facture, d'autres éléments d'inquiétudes amenaient le couple à me rencontrer: l'accouchement thérapeutique, le besoin d'être rassuré dans leurs tâches éducatives avec Julien, l'inscription de Julien au centre social afin que les parents se retrouvent après cet accouchement. Par ailleurs, la manière dont nous avons gérer le budget de la famille suite à cette facture, a permis au couple de maintenir un équilibre familial. J'ai pu également faire le lien avec le médecin PMI qui organise les bilans à l'école maternelle des enfants âgés de 4 ans. Nous avons pu faire le point sur l'évolution de Julien, qui était tout à fait positive.
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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La traversée des parents face au handicap de leur enfant, comment les aider lorsque la quête de normalité est omniprésente?
La traversée des parents face au handicap de leur enfant, comment les aider lorsque la quête de normalité est omniprésente? tel sera l’objet de cet écrit. Dans le cadre des missions de l’assistante sociale, j’ai pu rencontrer de nombreux parents au cours de rencontres individuelles et avec l’équipe pluridisciplinaire. Je me suis alors aperçue que des questions et des propos de parents étaient récurrents tel que « quand mon fils pourra-t-il réintégrer une école normale ? », « peut-on prescrire un traitement médical pour le guérir ? », « j’aimerais qu’il soit comme tous les autres », ou au contraire, « il n’a pas besoin de traitement », « il n’est pas fou » etc. Autant de questions et de propos qui m’ont interrogé sur l’image que portaient ces parents sur le handicap de leur enfant. Les mots « normal », « guérir », « comme les autres » dénotent, à mon sens, d’une recherche de normalité des parents pour leur enfant, du mythe de l’enfant idéal.
Fiche DC4 - Politiques sociales : Toxicomanie

Programme de prévention

Objectifs :

- considérer l’addictologie comme une spécialisation,
- organiser, créer et optimiser l’offre de soins,
- repérer la dépendance, l’abus, le plus précocement possible,
- donner des réponses thérapeutiques diversifiés et de qualité,
- expérimenter des méthodes de prise en charge novatrices.

Projet de prévention auprès des jeunes :

- sensibiliser les jeunes aux risques sanitaires liés à la consommation de cannabis,
- fournir une prise en charge adaptée à la situation du jeune et de la famille, la place des parents
...

Note réflexive : Que signifie pour vous « accompagner » dans une intervention sociale ?
I. La relation d’aide : Une posture professionnelle : La posture professionnelle peut se définir par le savoir-être, le savoir-faire et le positionnement professionnel. Elle est personnelle et se nourrit de l’expérience personnelle, professionnelle et des interactions de son environnement social. Elle n’est donc pas figée et s’adapte aux situations. Ainsi, pour proposer un accompagnement au travers d’une relation, un travail sur soi est nécessaire. En effet, je pense qu’il est important de connaître ses propres représentations et « son propre système d’interprétation de la réalité, avec sa « grille de lecture » personnelle » . C’est pourquoi, je crois que l’assistante sociale est une interface entre l’institution, qui via un cadre d’intervention et des missions permet d’offrir un accompagnement, et la personne. Aussi, le professionnel qu’est l’assistante sociale doit faire preuve d’adaptabilité face à la singularité de chaque personne et des difficultés qu’elle rencontre, afin d’être facilitateur. Cela peut se faire grâce à l’expertise que chaque professionnel acquiert, au cours des années de formation (cours et terrain de stage) et une fois en poste. En ce qui me concerne, j’ai pu constater sur mon terrain de stage de deuxième année (Carsat ) que d’une part la spécialisation en santé est un atout pour accompagner un public particulier et que d’autre part grâce aux connaissances particulières dans le domaine de la santé, les assistantes sociales sont en mesure d’adapter leur plan d’aide selon les différentes situations rencontrées et de mettre en œuvre une méthodologie d’action (individuelle ou collective).

Je pense que le fondement de l’accompagnement est la relation à autrui et qu’au-delà de la fonction du professionnel, c’est bien en tant que personne que je m’engage dans cette situation relationnelle. Par conséquent, en tant que professionnelle, je dois me mettre au service de l’accompagné, en m’assurant de ne jamais me substituer à lui et en respectant sa singularité. Ceci demande de la vigilance, un travail sur soi et une analyse réflexive de sa pratique et de son rapport à l’autre. En somme, les postures professionnelles doivent s’adapter aux situations ainsi qu’aux différents moments rencontrés dans l’accompagnement. Et comme le dit G. LE BOUEDEC « on n’accompagne jamais en son nom propre mais toujours au nom d’une institution . » C’est donc cette institution qui peut donner à chaque professionnel un cadre de sécurité, qui va permettre d’instaurer une relation de confiance
Le travail peut-il nous tuer?
Aujourd’hui, si le travail peut-être une source de joie et d’épanouissement, dans certains cas il peut aussi se révéler à l’origine d’un mal-être profond. Conflits sociaux et relation au travail sont souvent cités dans les facteurs de risque du suicide. Le suicide étant l'acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. En présence d’un suicide, la mort doit être l’intention de l’acte et non simplement une de ses conséquences. Après Renault, La Poste et la Police nationale… les suicides sur les lieux de travail se développent dans la morosité ambiante d’un grand nombre d’entreprise et d’organisations professionnelles dans un quasi-anonymat. En France, les suicides pour cause de conditions de travail sont estimés par le Conseil économique et social à 1 mort par jour (300 à 400 suicides par an pour raisons professionnelles). Causes personnelles, causes professionnelles ? Il est difficile de connaitre les origines exactes. Qu’est-ce qui peut pousser un individu à mettre fin à ses jours sur son lieu de travail ?

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