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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Les rapports entre les familles et l'école

Les rapports entre les familles et l'école Pour conclure, l’on peut dire que les relations parents- enseignants ne sont en soit pas obligatoire, mais reste cependant indispensable pour la réussite et l’épanouissement scolaire de l’élève qui est avant d’être élève un enfant. Ces relations, parfois chaotiques ne sont en fait que le reflet d’une société en « malêtre ». L’institution scolaire continue de faire des efforts pour intégrer les parents dans le cursus scolaire de leurs enfants ; mais on peut se demander pourquoi et surtout quel intérêt il y a-t-il à vouloir que les familles s’impliquent lorsque qu’aucunes études ne prouvent que les enfants réussissent mieux à l’école si les parents sont présents? Et surtout est ce bien utile ?
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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Retranscription et analyse d'un entretien
Dans le cadre de nos visites mensuelles nous avons rencontré Mme S à la clinique nord (pavillon du CHS) où elle était hospitalisée et nous lui avons parlé des dommages constatés dans son logement par le propriétaire et l’équipe soignante du CMP. Pendant cet entretien nous lui avons émis la possibilité de faire intervenir une aide ménagère du Centre d’intercommunal d’action sociale (CIAS) pour l’aider à entretenir son appartement mais Mme S s’est montrée défavorable à cette proposition. Huit jours après sa sortie nous la contactons par téléphone pour l’informer d’une prochaine visite et des raisons qui nous amène à venir la visiter chez elle. Lors de cette conversation téléphonique Mme S s’empresse de nous dire que « tout est propre » et qu’elle a tout nettoyé. Nous lui fixons un rendez-vous l’après-midi même.
En quoi peut-on considérer la psychologie comme une science ?
Afin de répondre à cette question, nous allons tout d’abord définir les termes principaux, à savoir la science et la psychologie. Puis, dans un second temps, nous comparerons les critères de scientificité avec les composants de la psychologie. Dans le dictionnaire, nous pouvons trouver la définition suivante : les sciences sont un ensemble méthodologiquement organisé de connaissances précises avec un objet reconnu et une méthode propre. Plus précisément, ces connaissances doivent être articulées par déduction logique et susceptibles d’être vérifiées par l’expérience. Quant à la psychologie, elle étudie les faits psychiques c’est-à-dire les faits qui concernent l’esprit, la pensée ou la vie mentale. Etymologiquement, ce terme signifie étude de l’âme. Plus généralement, il s’agit d’études des comportements individuels ou d’une population plus globale mais aussi et surtout des facteurs qui déclenchent telle ou telle conduite.
Note réflexive : Que signifie pour vous « accompagner » dans une intervention sociale ?
I. La relation d’aide : Une posture professionnelle : La posture professionnelle peut se définir par le savoir-être, le savoir-faire et le positionnement professionnel. Elle est personnelle et se nourrit de l’expérience personnelle, professionnelle et des interactions de son environnement social. Elle n’est donc pas figée et s’adapte aux situations. Ainsi, pour proposer un accompagnement au travers d’une relation, un travail sur soi est nécessaire. En effet, je pense qu’il est important de connaître ses propres représentations et « son propre système d’interprétation de la réalité, avec sa « grille de lecture » personnelle » . C’est pourquoi, je crois que l’assistante sociale est une interface entre l’institution, qui via un cadre d’intervention et des missions permet d’offrir un accompagnement, et la personne. Aussi, le professionnel qu’est l’assistante sociale doit faire preuve d’adaptabilité face à la singularité de chaque personne et des difficultés qu’elle rencontre, afin d’être facilitateur. Cela peut se faire grâce à l’expertise que chaque professionnel acquiert, au cours des années de formation (cours et terrain de stage) et une fois en poste. En ce qui me concerne, j’ai pu constater sur mon terrain de stage de deuxième année (Carsat ) que d’une part la spécialisation en santé est un atout pour accompagner un public particulier et que d’autre part grâce aux connaissances particulières dans le domaine de la santé, les assistantes sociales sont en mesure d’adapter leur plan d’aide selon les différentes situations rencontrées et de mettre en œuvre une méthodologie d’action (individuelle ou collective).

Je pense que le fondement de l’accompagnement est la relation à autrui et qu’au-delà de la fonction du professionnel, c’est bien en tant que personne que je m’engage dans cette situation relationnelle. Par conséquent, en tant que professionnelle, je dois me mettre au service de l’accompagné, en m’assurant de ne jamais me substituer à lui et en respectant sa singularité. Ceci demande de la vigilance, un travail sur soi et une analyse réflexive de sa pratique et de son rapport à l’autre. En somme, les postures professionnelles doivent s’adapter aux situations ainsi qu’aux différents moments rencontrés dans l’accompagnement. Et comme le dit G. LE BOUEDEC « on n’accompagne jamais en son nom propre mais toujours au nom d’une institution . » C’est donc cette institution qui peut donner à chaque professionnel un cadre de sécurité, qui va permettre d’instaurer une relation de confiance
Le concept de stigmatisation
« La stigmatisation recouvre l’ensemble des procédés et des énoncés revenant à disqualifier des individus ou des catégories d’individus ou encore, des appellations, au départ neutres, progressivement chargées de connotations dévalorisantes (« jeunes des cités », SDF, bobos) » (1). Le terme stigmate vient des Grecs, qui l’inventèrent, pour « désigner des marques corporelles destinées à exposer ce qu’avait d’inhabituel et de détestable le statut moral de la personne ainsi signalée » (esclave, criminel, ou traitre). Au temps du christianisme, ce terme se rapportait aux marques laissées sur le corps par la grâce divine (plaies éruptives), mais aussi sur le plan médical, aux signes corporels d’un désordre physique.

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