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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Historique de la sécurité sociale

Historique de la sécurité sociale L’origine de notre système de protection sociale est issue du compagnonnage du Moyen-Âge et de l’émergence des sociétés de secours mutuels ensuite. A la fin du XIXème siècle des systèmes d’assistance privés gérés par les employeurs et une législation sociale se développent. En 1930, la création des premières assurances sociales permet de protéger les salariés contre certains risques : maladie, maternité, invalidité, vieillesse et décès. C’est la première fois que certaines catégories de la population sont protégées légalement contre ces risques.

En 1944, Monsieur Pierre LAROQUE, est chargé d’élaborer un plan de sécurité sociale. En juin 1945 celui livre un projet largement inspiré du rapport Beveridge (haut fonctionnaire anglais chargé de procédé à la mise en place du système anglais de protection sociale) Ordonnance du 4 octobre 1945 est mise en place sur l’organisation de la sécurité sociale (Organisation destinée à garantir les travailleurs et leurs familles contre les risques de toutes natures susceptibles de réduire ou de supprimer leur capacité de gain, à couvrir leurs charges de maternité et les charges de famille qu’ils supportent.)
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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La traversée des parents face au handicap de leur enfant, comment les aider lorsque la quête de normalité est omniprésente?
La traversée des parents face au handicap de leur enfant, comment les aider lorsque la quête de normalité est omniprésente? tel sera l’objet de cet écrit. Dans le cadre des missions de l’assistante sociale, j’ai pu rencontrer de nombreux parents au cours de rencontres individuelles et avec l’équipe pluridisciplinaire. Je me suis alors aperçue que des questions et des propos de parents étaient récurrents tel que « quand mon fils pourra-t-il réintégrer une école normale ? », « peut-on prescrire un traitement médical pour le guérir ? », « j’aimerais qu’il soit comme tous les autres », ou au contraire, « il n’a pas besoin de traitement », « il n’est pas fou » etc. Autant de questions et de propos qui m’ont interrogé sur l’image que portaient ces parents sur le handicap de leur enfant. Les mots « normal », « guérir », « comme les autres » dénotent, à mon sens, d’une recherche de normalité des parents pour leur enfant, du mythe de l’enfant idéal.
Le dossier de surendettement
La nature du surendettement a muté ces dernières années. Alors qu'il n'y a pas si longtemps, les ménages ne contractaient des crédits que pour des fins précises (achats immobiliers, voyages, achats automobiles, etc.) Aujourd'hui, le surendettement ou « surendettement passif » (expression apparue dans les années 1990), est souvent lié à un accident de la vie. Ils représentent environ 70% des dossiers déposées à la Banque de France. Les individus sont sujets à une diminution brutale des ressources qui ne leur permettent plus de faire face à leurs charges. Le manque de plus en plus fréquent de patrimoine ne joue plus le rôle d'assurance. En effet, la précarisation des emplois, la baisse du niveau de vie des ménages, l'évolution des familles (familles monoparentales, ruptures familiales plus fréquentes etc.), l'apparition de notre société de consommation fragilisent les populations. Le pouvoir d'achat diminue tandis que les revenus stagnent. Nous observons une paupérisation du niveau de vie où les crédits contractés occupent une place davantage de revenus réguliers que de sommes d'argent supplémentaires ponctuelles.
DPP dans un CCAS

Ce dossier de pratique professionnelle regroupe une intervention social d'intérêt collectif, une intervention sociale d'aide à la personne ainsi qu'une note d'auto évaluation que j'ai présente à l'examen final du DEASS. 

L'Intervention Sociale d’Aide à la Personne (ISAP) que je présente est issue d’un stage de profes-sionnalisation d’une durée de 24 semaines réalisé auprès d’une Assistante de service social (ASS) réfèrente en gérontologie d’un Centre Communal d’Action Sociale (CCAS). Le territoire d’intervention se situe dans une commune d’environ 40 000 habitants1. Cet établissement public administratif communal est présidé de plein droit par le maire de la ville. Selon l'article L.123-5 du Code de l'Action Sociale et des Familles, le CCAS « anime une action générale de prévention et de développement social dans la ville en liaison avec les institutions publiques et privées ».

Dans les missions obligatoires, le CCAS est tenu de procéder aux domiciliations et aux demandes d'aides sociales. Au titre des missions facultatives, le service social peut attribuer des aides alimentaires et financières ponctuelles et spécifiques de différentes natures selon le décret de 1995. L’établissement s'articule autour de cinq pôles : ressources, petite enfance, animation et communi-cation, action sociale handicap et senior. Je travaille sous l’autorité de la direction du pôle senior. Il se compose d’un Service des Soins Infirmiers à Domicile (SSIAD), de Foyers Logements et Foyers Restaurants et d’un service social où je suis affectée avec deux ASS réfèrentes en gérontologie.

Elles ont pour missions d’accompagner les personnes retraitées dans leurs démarches de maintien à do-micile, sociales, administratives, juridiques et financières et ce, en étroite collaboration si possible avec l’entourage ainsi qu’en partenariat avec les acteurs du territoire et professionnels du champ de la gérontologie.

Le concept de stigmatisation
« La stigmatisation recouvre l’ensemble des procédés et des énoncés revenant à disqualifier des individus ou des catégories d’individus ou encore, des appellations, au départ neutres, progressivement chargées de connotations dévalorisantes (« jeunes des cités », SDF, bobos) » (1). Le terme stigmate vient des Grecs, qui l’inventèrent, pour « désigner des marques corporelles destinées à exposer ce qu’avait d’inhabituel et de détestable le statut moral de la personne ainsi signalée » (esclave, criminel, ou traitre). Au temps du christianisme, ce terme se rapportait aux marques laissées sur le corps par la grâce divine (plaies éruptives), mais aussi sur le plan médical, aux signes corporels d’un désordre physique.

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