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BTS ESF

Le BTS ESF – Economie sociale et familiale s’effectue en deux ans après un bac de préférence. C’est un diplôme de niveau bac + 2 qui se prépare en formation initiale mais aussi en alternance dans des établissements publics et privés. C’est un diplôme d’Etat de niveau III délivré par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

ICAF : adopter des gestes favorisant la diminution de la consommation énergétique

ICAF : adopter des gestes favorisant la diminution de la consommation énergétique La médiatrice énergie et la responsable de la structure ont remarqué que certains clients réapparaissaient régulièrement dans la liste des clients en difficulté de paiement. Ces clients avaient souvent bénéficié d'une aide FSL sans que cela ne règle leur problème de facture liée à la consommation d’énergie et se retrouvaient de nouveau en difficulté de paiement. Les consommations en énergie étaient supérieures à la moyenne en comparaison à un logement identique et composition du foyer identique. Cependant la difficulté était de savoir si leur surconsommation était liée à leurs habitudes domestiques ou si elle était la conséquence d'un logement vétuste et mal isolé. Phase de validation du besoin : élaboration d’un outil d’investigation Dans un premier temps, afin de savoir si les habitudes de consommation étaient à l'origine de la surconsommation j’ai établi un questionnaire (annexe 1) qui abordait plusieurs thèmes : • Le logement (superficie, nombre de pièce, année de construction…) • Le type de logement et son isolation • La composition du foyer • L'équipement électrique • Les habitudes des membres du foyer. • La facture et sa compréhension La forme du questionnaire associe questions fermées et questions à choix multiples afin de limiter le temps passé à remplir le questionnaire et que cela ne représente pas une difficulté pour les usagers que nous recevons. La médiatrice énergie m’a apportée ses compétences en matière de connaissance des publics accueillis pour rédiger le questionnaire. Le questionnaire a été rempli avec elle au cours des entretiens de médiation, l’usager avait aussi la possibilité de le faire seul si il le souhaitait. Nous avons pu constater que souvent la surconsommation était lié aux habitudes, aux équipements mais également au manque d'isolation du bâtiment. 45% des personnes interrogées présentaient des problèmes dans les gestes quotidiens et de la qualité du bâtiment. 25% des personnes n’avaient pas ouvert leurs droits aux tarifs sociaux de l’énergie (tarif première nécessité pour l’électricité et tarif spécial de solidarité pour le gaz) 30% connaissaient les gestes adaptés aux économies d’énergie et présentaient une surconsommation liée aux bâtiments mal isolés. Lorsque les raisons de la surconsommation sont surtout liées à l’état du logement, nous nous mettons en lien avec un dispositif existant sur la commune de Bordeaux, le SLIME pour qu’un technicien se déplace au domicile de la personne afin d’effectuer un diagnostic complet de l'habitation et de l’équipement. Ensuite, le SLIME se met en contact avec le propriétaire afin de l’informer des besoins en termes de travaux et des aides financières existantes (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat…). Le but est de trouver une solution qui permette au locataire de gagner en confort et qui soit supportable financièrement pour le propriétaire. Le résultat de l’enquête menée nous montre qu’un atelier sur les gestes quotidiens en lien avec la consommation d’énergie serait pertinent.
Catégorie: Autre BTS ESF
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le tri des déchets

En ce début de XXIe siècle, l’environnement est une préoccupation forte de la société et occupe une grande place politique.

Dès 2002, Jacques Chirac déclarait :

"Notre maison brûle et nous regardons ailleurs. La nature, mutilée, surexploitée, ne parvient plus à se reconstituer et nous refusons de l'admettre. L'humanité souffre. Elle souffre de mal développement, au Nord comme au Sud, et nous sommes indifférents. La terre et l'humanité sont en péril et nous en sommes tous responsables."

Il est vrai que notre planète va mal. Les dérèglements climatiques, dû en partie aux activités humaines, sont désormais reconnus comme une menace planétaire. L'eau se raréfie et est polluée. Les sols aussi sont pollués. Les déchets toxiques se répandent. Les forêts ont diminué de 2,4% depuis 1990. La faune s'appauvrit.

L’enjeu est aujourd’hui d’intégrer l’environnement aux comportements individuels, notamment grâce à une meilleure information des consommateurs.

Avec l’adoption de la Charte de l’environnement, la Constitution française affirme désormais les valeurs du développement durable. Elle reconnaît à chacun le droit de vivre dans un environnement équilibré et le devoir de prendre part à sa préservation et son amélioration.

A l'initiative du président de la République, le Grenelle de l’Environnement a réuni pour la première fois l’Etat et les représentants de la société civile afin de définir une feuille de route en faveur de l’écologie, du développement et de l’aménagement durables.

La première phase est consacrée au dialogue et à l’élaboration des propositions au sein de six groupes de travail nationaux.

Dossier : Les associations
L’avènement de la liberté d’association, acquise le 1er juillet 1901, a été favorisé par plusieurs évolutions dont les origines remontent à la fin du Second Empire. À la prohibition traditionnelle de toute coalition depuis le vote de la loi Le Chapelier du 14 juin 1791, a succédé une tolérance de plus en plus grande à l’égard des regroupements organisés de personnes. Ainsi, la loi du 25 mai 1864 abolit le délit de coalition, permettant aux ouvriers de faire grève sans violence, ni attentant à la liberté du travail. Un pas important est franchi avec la loi du 24 juillet 1867. Ce texte légalise en effet les sociétés ouvrières de production. Ces organismes voient officiellement reconnus leur existence et leur rôle au sein du monde ouvrier. Leur tâche consistait à gérer des commerces de produits de première nécessité, et à investir les bénéfices réalisés dans des activités d’assistance aux plus nécessiteux. La loi du 6 juin 1868 autorise les réunions publiques sous condition de déclaration préalable. Par ailleurs, les pouvoirs publics, sous le Second Empire, encouragent fortement la création de sociétés de secours mutuels.
EP : Communiquer sur les aides et les services à domicile pour les plus de 60 ans
Participant à une activité bénévole au Secours Populaire de Crozon, j’ai de nombreux contacts avec des personnes retraitées de plus de 60 ans, bénéficiaires ou adhérentes. Lors de discussions informelles concernant ma formation et mon futur lieu de stage au C.L.I.C, je me suis rendue compte que les retraités avaient peu de connaissance des services et des aides existant sur la Presqu’Ile pour le maintien à domicile pour leurs proches ou pour eux-mêmes. Ainsi, en posant quelques questions aux personnes de la même tranche d’âge dans mon entourage familial, j’ai constaté des réponses similaires. Différentes hypothèses peuvent être émises concernant ce manque de connaissance pour le maintien à domicile. En effet, il peut être lié à un seul facteur ou à l’accumulation de plusieurs, c’est à dire : - à une difficulté par rapport au territoire - à un désintérêt des personnes concernées - à un désengagement des institutions - à un manque d’information.
Gestion du tabac dans une maison de retraite
Le tabagisme est actuellement au coeur de l’actualité avec le décret n° 2006-1386 du 15 novembre 2006, fixant les conditions d’application de l’interdiction de fumer dans les lieux affectés à un usage collectif. Depuis le début des années 90 (vote de la loi Evin en 1991), les bases scientifiques de la démonstration des effets sur la santé du tabagisme passif se sont considérablement renforcées. Différentes études ont montré que les liens statistiques entre l’exposition au tabagisme passif et la survenue de certaines pathologies sont des liens de cause à effet, établis selon des critères scientifiques. Ainsi, la fumée des autres ne constitue pas seulement une gêne pour le non fumeur, mais un risque sanitaire. Le tabagisme est donc un problème de santé publique.

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