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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Travaux U.F. Assistant de service social

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Le mariage forcé insinue toute une vie de couple basée sur la force et la soumission. Dans ce type de relation la jeune fille mariée de force est soumise à des rapports sexuels contraints et lorsqu’elle exprime son refus, elle se heurte à des attitudes de violences physiques et verbales. Cette maltraitance est mise en œuvre sous l’assistance de sa famille qui a accepté l’union et qui ne peut plus rien pour l’enfant. Mais quelles sont les raisons qui poussent des communautés à pratiquer de telles unions ? Quels sont les recours peuvent être mis en œuvre pour venir en aide à ces jeunes filles qui ne sont encore que des enfants ? Comment vivent-elles ces situations ? Notre travail tâchera, non pas d’apporter des réponses, mais des explications à cela. Une première partie définira le mariage forcé, nous y ferons un état des lieux de l’existence de ces pratiques au niveau mondial, et nous nous intéresserons au positionnement de la France.
J'effectue mon stage au sein du service départemental de protection de l'enfance de T. C'est un des quatre pôles constituant l'aide sociale à l'enfance. Il est spécialisé dans le placement familial. Ce service se doit d'apporter un soutien matériel, éducatif et psychologique aux enfants et à leur famille. Les enfants que je rencontre au service ont malgré leur jeune âge (de 0 à 18 ans) déjà traversé d'éprouvantes épreuves dans leur vie. En effet, les problématiques à l'origine des accueils sont diverses (carence éducative, carence en soins, maltraitance physique ou psychique.) A cela vient s'ajouter toutes les difficultés relatives à un placement avec notamment la séparation de l'enfant de ses parents.
J’ai choisi d’effectuer mon Intervention Sociale d’Aide à la Personne (ISAP) lors de mon stage de 2ème année qui s’est déroulé dans un centre hospitalier de santé mentale. C’est un établissement public qui a pour mission la prise en charge des troubles de santé mentale. Il met à disposition de la population des services et équipements de prévention, de diagnostic, de soins et de suivis pour adultes, adolescents et enfants. L’hôpital est sectorisé en plusieurs pôles. Il se compose de 8 secteurs de psychiatrie adulte, 2 secteurs de psychiatrie infanto-juvénile et d’un secteur en milieu pénitentiaire. Chaque secteur dispose d'unités hospitalières à temps plein et de structures de soins extra hospitalières.
Dans le cadre de notre formation d’« assistant de service social », le stage à responsabilité professionnelle de 3ème année, s’avère être le plus long et le plus décisif. Il constitue pour nous un élément prépondérant dans le processus de professionnalisation et, parallèlement, un support pour l’élaboration d’un mémoire. C’est pourquoi il nous a semblé nécessaire d’établir une étude préalable à l’entrée en stage. Nous avons choisi de nous intéresser au thème de la santé, et plus particulièrement de mener une réflexion sur l’accès aux soins des personnes les plus démunis. Pour cela, nous avons abordé les concepts, les textes législatifs et les problématiques qui s’avéraient être les plus importantes.
Je reçois Madame Adam pour la première fois à la demande de la CPE. La jeune femme originaire du Sénégal est arrivée au lycée le 29 septembre, suite à un visa délivré tardivement, l’année scolaire ayant déjà débutée. L’intervention commence dès mon arrivée, début octobre. Madame Adam est âgée de 28 ans. Elle est scolarisée en BTS Productions Animales. Elle est demi-pensionnaire, les étudiants ne peuvent être internes. Elle habite à proximité du lycée en colocation avec deux autres étudiants également inscrits au lycée. Sa première demande concerne une aide dans l’accès à des ressources financières, quand au lycée, il exige son affiliation à la Sécurité Sociale et à une assurance (scolaire et responsabilité civile).
Le stage long que j'ai effectué s'est déroulé dans le secteur de l'insertion. Pour moi, l'insertion dans sa globalité, est le fait de bénéficier d'une place centrale au sein de la société. Ceci inclut une certaine stabilité au niveau de l'emploi, du logement, de la famille... Afin d'illustrer le développement proposé tout au long de mon dossier, je vais faire le parallèle avec le concept de désinsertion sociale défini par Vincent De Gaulejac. En effet, cet auteur met l'accent sur le vécu de l'exclu. Pour lui, ce qui caractérise l'exclusion est la perte d'emploi, une absence de ressources qui prive l'individu de réseaux de solidarité matérielle et de soutien psychologique. « Aujourd'hui, la crise du monde du travail, une certaine fragilisation des liens sociaux, et la déconstruction progressive des systèmes de normes et des identités, semblent être les principaux vecteurs de la nouvelle vulnérabilité sociale ». De même, la stigmatisation sociale impose aux individus une image négative d'eux-mêmes qu'ils ne peuvent éluder. Ils perdent ainsi leurs attaches et la société porte un regard stigmatisant sur eux.
L’entretien que j’ai observé est un 1er entretient demandé par Monsieur. A, lors de la permanence de l’ASS, qui nous à contacté par téléphone sans préciser sa demande. La seule chose que nous savions c’est qu’il ne venait pas pour une demande de Revenu de Solidarité Active (RSA) Mais l’ASS connait la fille de Monsieur, elle avait fait une Information Préoccupante (IP) car on suspecté des violences sur sa fille et une mesure d’Aide Educative en Milieu Ouvert (AEMO) avait été prise il y a quelques années.
L'idée générale est donc adoptée par tous et on parlera, à partir de ce moment là, de « nouveaux modes alternatifs de voyage: les réseaux d'hospitalité ». La notion d'hospitalité et d'échanges culturels et non marchands, sont les points centraux du phénomène que nous souhaitons étudier. En effet, cela nous apparaît relever un intérêt certain, ne serait-ce que parce que nous sommes aujourd'hui au coeur d'une société prônant le bonheur par l'acquisition de biens matériels, et où l'individualisme prend largement le pas sur le partage, d'autant plus avec des inconnus... Il nous semble donc pertinent d'approfondir cette tendance actuelle opposée dont les voyages alternatifs sont une illustration parmi d'autres (consommation responsable, retour aux sources,...). Pour conclure, nous pouvons dire qu'au sein de ce groupe de treize personnes, l'échange a été riche, que chacun a pris la parole et que pourtant l'accord sur le choix du thème a été rapide et unanime.
Le choix d'effectuer l'étude de territoire sur la ville de Bihorel est de plusieurs natures. Bihorel, ancien quartier de Bois guillaume se situe au cœur de l'agglomération Rouennaise et se compose de trois quartiers : Village, Plateau des Provinces et Domaine du Chapitre . Cette commune de 9 053 habitants possède une zone d'activités technologiques regroupant plusieurs entreprises, des écoles, ainsi qu'un tissu associatif important. Elle possède un centre d'aide social : service et aide à la personne, un centre médico-social ainsi que deux maisons d'enfants à caractère social. Elle est composée d'une population qui semble socialement hétéroclite. Bihorel est une commune faisant partie de la CREA elle a une population de 8656 H ( 2007) source INSEE
 Les personnes en situation irrégulière sont parfois surnommées les « sans-papiers » ou les « clandestins ». Il est possible d’être dans cette situation au regard de l’entrée en France (entrée illégale sur le territoire) : lorsqu’une personne entre sans les documents nécessaires ou lorsque les autorités ont refusé l’entrée en France et que la personne est tout de même entrée ou encore lorsque la personne est entrée alors qu’elle était sous le coup d’une interdiction du territoire ou d’une expulsion. Il est également possible d’être dans cette situation au regard du séjour en France (90% des étrangers en situation irrégulière sont dans cette situation contrairement à l’image donnée dans les médias qui traitent la situation irrégulière sous l’angle d’une entrée illégale de masse) : lorsque la personne demeure sur le territoire après expiration de la durée de validité du titre de séjour ou après un refus de l’administration de renouveler leur titre de séjour.
Afin de répondre à cette question, nous allons tout d’abord définir les termes principaux, à savoir la science et la psychologie. Puis, dans un second temps, nous comparerons les critères de scientificité avec les composants de la psychologie. Dans le dictionnaire, nous pouvons trouver la définition suivante : les sciences sont un ensemble méthodologiquement organisé de connaissances précises avec un objet reconnu et une méthode propre. Plus précisément, ces connaissances doivent être articulées par déduction logique et susceptibles d’être vérifiées par l’expérience. Quant à la psychologie, elle étudie les faits psychiques c’est-à-dire les faits qui concernent l’esprit, la pensée ou la vie mentale. Etymologiquement, ce terme signifie étude de l’âme. Plus généralement, il s’agit d’études des comportements individuels ou d’une population plus globale mais aussi et surtout des facteurs qui déclenchent telle ou telle conduite.
Actuellement, nous effectuons notre stage de troisième année d’assistant de service social dans des hôpitaux spécialisés en santé mentale, et, nous avons axé notre travail de recherche sur les maladies psychiques et la notion de réinsertion. En effet, cette notion semble être une préoccupation centrale dans la pratique quotidienne de l’assistant de service social, qu’elle partage avec l’équipe pluridisciplinaire de l’hôpital psychiatrique (psychiatres, infirmiers, psychologues etc.). Ainsi, nous avons voulu, dans un premier temps, présenter la santé en France à travers son organisation territoriale, et une présentation de l’hôpital général. Nous aborderons ensuite l’hôpital spécialisé en santé mentale, ainsi que le public pris en charge et les pathologies. Plusieurs thèmes qui aboutiront aux différents concepts et notions (stigmatisation, isolement, réhabilitation, réadaptation) relatifs à la réinsertion sociale du patient.
D’après une étude de la DREES (Direction de la recherche, des études, de l’évaluation et des statistiques) parue en novembre 2009, 46% des agents hospitaliers ont ressenti une hausse des contraintes du rythme de travail entre 2003 et 2006. Ceci n’est pas négligeable et montre bien que le secteur hospitalier est un secteur confronté à divers problèmes relatifs à la sécurité des travailleurs (problèmes notamment liés à l’hygiène, l’environnement, mais aussi aux comportements des usagers). De plus, les métiers du secteur hospitalier sont en constante évolution, la hiérarchie doit donc s’adapter. Il est donc nécessaire de se demander s’il est possible de contrer ces risques dans le secteur hospitalier. Comment peut-on améliorer la sécurité des agents dans le secteur hospitalier ? Pour cela, il est utile d’étudier la notion d’environnement de travail, pour ensuite s’intéresser aux divers moyens de prévention possibles.
Suite à un signalement du service social départemental, le Procureur de la République a été saisi, concernant la situation de cette famille. Le rapport social abordait les difficultés du couple dans la prise en charge de leurs trois filles (absence de suivi médicaux, difficultés à poser un cadre éducatif, problème d’hygiène chez les enfants …). Il évoquait également leur complexité à gérer le budget familial et des dettes de loyers. A la connaissance de ces éléments, le Procureur de la République saisit le juge des enfants, qui ordonne une mesure d’enquête sociale au profit de la famille. L’enquête sociale se définit comme « un moyen d’investigation à la disposition du magistrat pour aider sa décision ».
Ainsi, l’intervention sociale d’intérêt collectif sur laquelle j’ai travaillé est un travail social de groupe. Le travail social de groupe est « une méthodologie d’intervention qui a pour but d’aider chaque membre, mis en relation au sein d’un groupe constitué à cet effet, à développer un système d’aide mutuelle pour faire face à ses propres besoins et problèmes, à concrétiser ses possibilités par l’exercice de différents rôles utiles pour assumer ses responsabilités ». J’ai choisi de présenter cette ISIC que je trouvais fortement intéressante. Participer à ce groupe de parents était une expérience enrichissante. Etant moi-même parent, je me sentais concerné. Participer à ce groupe m’a permis en tant que future assistante de service social de travailler (dans le respect des droits des usagers), sur le développement de leurs compétences et de leurs faire acquérir de l’autonomie dans la prise en charge quotidienne des enfants.
Mon stage de deuxième année d'assistant de service social se déroule dans un Centre Communal d'Action Sociale (CCAS) d'une communauté urbaine de 220 000 habitants et plus particulièrement au sein du service logement et du service accompagnement individualisé. Le CCAS est un établissement public administratif communal qui anime une action générale de prévention, de développement social. A ce titre, il a de nombreuses attributions : domiciliation, instruction des demandes d'aide sociale, lutte contre les exclusions, analyse des besoins sociaux...Le CCAS accueille un public en grande précarité, bien souvent sans résidence stable (hébergement précaire et provisoire chez des amis, hôtels, squats...). La recherche d'un logement est, donc, une préoccupation et une problématique récurrente du public. Parfois, les usagers, las d'attendre un logement social et voyant leurs situations se dégrader, s'orientent vers le logement autonome dans le parc privé. Leur maintien dans le logement peut devenir rapidement périlleux faute d'accompagnement lié au savoir-gérer et au savoir-habiter.
« La stigmatisation recouvre l’ensemble des procédés et des énoncés revenant à disqualifier des individus ou des catégories d’individus ou encore, des appellations, au départ neutres, progressivement chargées de connotations dévalorisantes (« jeunes des cités », SDF, bobos) » (1). Le terme stigmate vient des Grecs, qui l’inventèrent, pour « désigner des marques corporelles destinées à exposer ce qu’avait d’inhabituel et de détestable le statut moral de la personne ainsi signalée » (esclave, criminel, ou traitre). Au temps du christianisme, ce terme se rapportait aux marques laissées sur le corps par la grâce divine (plaies éruptives), mais aussi sur le plan médical, aux signes corporels d’un désordre physique.
Monsieur et Madame Z. ont sollicité le service social départemental pour la première fois le 16/10/2010, au sujet d'une facture de gaz. Madame a 36 ans, et Monsieur a 32 ans. Le couple est marié depuis Juin 2010. Ensemble, ils élèvent Julien, 4 ans, issue d'une première union à Madame. Habituellement, le couple ne rencontre pas de difficultés financières particulières, ils ont réussi à maintenir un équilibre financier. Cependant, cette facture risque de déstabiliser le budget de la famille d'autant plus que le montant de la facture sera prélevé le lendemain de la paie sur le compte de Madame. Elle me confie que c'est sa mère qui va leur avancer l'intégralité de cette facture, mais qu'ils devront la lui rembourser, et resteront redevables de 500€.
Vingt ans jour pour jour après avoir créé le Revenu Minimum d’Insertion (R.M.I), le législateur a institué le 01 décembre 2008, un nouveau dispositif le Revenu de Solidarité Active (R.S.A). Ce choix de date d’anniversaire, volontairement symbolique, traduit la volonté de s’inscrire dans la continuité des dispositifs existants. Pour autant, la philosophie du R.S.A marque des changements en profondeur, voire une rupture avec les objectifs et principes prônés lors de la création du R.M.I. Cette note traitera, dans un premier temps, des caractéristiques générales du R.S.A. Ensuite il sera question d’aborder l’accompagnement des bénéficiaires, le rôle du référent unique sera détaillé. La troisième partie fera référence au rôle des C.I.A.S dans le dispositif ainsi que le partenariat mis en place.
Définitions des termes suivants : science, psychologie, psychique . La science (en latin scientia qui veut dire la connaissance), est d'après Le Robert «ce que l'on sait pour l'avoir appris , ce que l'on tient pour vrai au sens large. L'ensemble des connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisée par un objet d'étude (domaine) et une méthode déterminée et fondées sur des relations objectives vérifiables». Pour Le Petit Larousse illustré, «c'est un ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets au phénomènes obéissant à des lois et vérifiées par les méthodes expérimentales». Ce sont aussi des «disciplines ayant pour objet l'étude des faits, des relations vérifiables. Sciences dures, ou exactes : qui utilisent le calcul et l'expérimentation par opposition aux sciences molles qui sont les sciences humaines en général. Les sciences humaines ont pour l'objet l'homme et ses comportements individuels et collectifs, passés et présents.

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