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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Travaux U.F. Assistant de service social

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Les lois sur l’avortement en France sont le résultat d’un long processus. Pendant très longtemps, les femmes avortaient en toute clandestinité risquant leur vie avec des techniques barbares et étaient sévèrement réprimées par la société, ainsi que les personnes qui les aidaient à avorter. L’avortement était vu comme un crime, dans une société religieuse qui encourageait les familles nombreuses.
L’origine de notre système de protection sociale est issue du compagnonnage du Moyen-Âge et de l’émergence des sociétés de secours mutuels ensuite. A la fin du XIXème siècle des systèmes d’assistance privés gérés par les employeurs et une législation sociale se développent. En 1930, la création des premières assurances sociales permet de protéger les salariés contre certains risques : maladie, maternité, invalidité, vieillesse et décès. C’est la première fois que certaines catégories de la population sont protégées légalement contre ces risques.
Le handicap : diminution de l’intégrité physique ou mentale d’un individu, passagère ou définitive, congénitale ou acquis (due à un accident, à une maladie, ou à l’âge) qui en tout état de cause compromet l’autonomie de la personne. Mental : déficiences psychiques ou intellectuelles Physique : - Moteur (touche l’appareil locomoteur : paraplégie, hémiplégie, tétraplégie…) - Sensoriel (déficiences auditives, visuelles…) - Organique (ou viscérales : insuffisances cardiaques, respiratoires, mucoviscidose…)
La période d’après-Seconde Guerre mondiale jusqu’au début des années soixante-dix constitue pour la France une période de reconstruction et de plein emploi. Toutefois, le choc pétrolier de 1973 a entraîné un ralentissement de la croissance économique et de la productivité et, de ce fait, a favorisé l’essor du chômage entre les années 1973 et 1975. La rupture du rythme de la croissance économique et la montée du chômage ont fait naître la politique de l’emploi qui peut se définir comme « une intervention de nature structurelle sur le marché du travail, avec l’objectif soit d’augmenter le niveau d’emploi dans l’économie et/ ou d’améliorer le fonctionnement du marché du travail, soit de corriger les effets négatifs du chômage sur le bien être .»
Loi 1889 : née dans le but de réprimer les abus de l’exercice de la puissance paternelle : compétence du juge pour déchoir l’un des deux parents de l’autorité parentale en cas de mauvais traitement. Dans ce cas les enfants peuvent être confiés à l’assistance publique ou à une œuvre charitable. Loi 1898 : sanction pénale contre les parents coupables de sévices ou de violences sur leurs enfants mineurs. Le système actuel de protection de l’enfance a pris essence en même temps que le dispositif de l’action sociale en 1945.
Notre travail d’analyse d’un dispositif porte sur l’Allocation Personnalisée d’Autonomie (APA). Cette allocation est destinée aux personnes âgées en perte d’autonomie. Nous avons fait le choix d’étudier ce dispositif car chacun d’entre nous avons été en contact avec des personnes âgées sur nos lieux de stage, effectués dans différentes structures réparties sur trois départements, le Gard, l’Hérault et l’Aveyron. Les personnes âgées faisaient partie du public que nous avons rencontré et, pour la plupart, nous étions confrontés à la problématique de la perte d’autonomie.
L’assistante de service social du service de psychiatrie adulte a pour mission de travailler avec les patients et leurs familles sur la résolution des problèmes sociaux qu’ils rencontrent. Elle accompagne les patients dans les démarches administratives, l’accès au droits et instruits des dossiers d’orientation, d’aides financières etc. L’objectif est principalement de favoriser l’autonomie de la personne et facilité leur insertion.
Etant actuellement étudiante en seconde année de formation d’Assistant(e) de Service Social, cette formation me permet d’enrichir ma culture et ma pensée en m’apportant des connaissances théoriques reposant principalement sur les sciences humaines et sociales. Car, en effet, le travail social repose sur le côté humain, sur les relations à l’autre avec ses origines, son identité, sa subjectivité, et sa pensée. D’où l’importance d’apports théoriques pour pouvoir mieux appréhender l’autre dans l’altérité. Ces éléments théoriques permettent également, selon moi, de pouvoir penser sa pratique en tant que professionnelle en devenir, tout en déconstruisant mes représentations et en élaborant un travail réflexif sur son agir professionnel.
Le choix de mon sujet de mémoire s’est orienté et précisé lors de mes première et deuxième années de formation d’Assistant de Service Social et notamment grâce aux stages effectués durant ces deux années. En effet, lors de mon stage de première année au sein d’un Institut Thérapeutique Éducatif et Pédagogique et d’un Institut Médico-professionnel , j’ai pu observer l’importance pour les différents professionnels des institutions; éducateurs, assistant social, infirmière, médecin psychiatre, psychologue, de travailler ensemble autour des situations des enfants.
L’intérêt professionnel que j’entrevois à traiter ce sujet est l’émergence de diverses problématiques liées au développement d’une maladie d’Alzheimer chez le sujet jeune. En effet, les problématiques soulevées sont différentes de celles des plus de 60 ans. Cela en raison du contexte de vie des moins de 60 ans tel que le contexte familial: enfants en bas âge, enfants à charge, par rapport à la vie de couple, à la place du conjoint. Également par rapport au contexte professionnel car bien souvent les personnes de moins de 60 ans sont encore en activité professionnelle. Mais aussi par rapport au manque d’établissements d’accueil spécialisés quand le maintien à domicile devient impossible.
Avec la révolution industrielle, il se développe au 19ème siècle un nouveau type de pauvreté qui touche majoritairement la classe ouvrière .En effet, les ouvriers connaissent des conditions de travail très difficiles, des salaires bas, des problèmes de logements… La prise de conscience de cette nouvelle pauvreté donne naissance à ce que l’on appelle : « la question sociale ». L’Etat-providence est le fondement de l’action sociale et désigne l’Etat dans ses attributions de protection sociale. Celle-ci regroupe la sécurité sociale, les actions et l’aide sociale, le système d’indemnisation des citoyens victimes des aléas de la vie ( chômage, maladie accident, vieillesse , décès…). Mais également l’apport minimum des ressources et l’accès aux besoins essentiels (éducation, eau, nourriture, sécurité…)A cette époque l’Etat providence met en place en France : la sécurité sociale , l’assurance chômage etc
La situation que je vais vous présenter aujourd’hui est une situation vécue par une de mes amies, Carla. Elle a aujourd’hui 28 ans. Je l’ai connue lorsqu’elle en avait 26. Elle est sicilienne. A ses 18 ans, suite au décès brutal de ses parents, Carla dût venir vivre en France chez une de ses soeurs avec un titre de séjour. Au fil de notre amitié, elle me raconta les difficultés et obstacles qu’elle a rencontrées à son arrivée sur le territoire français. Tout d’abord, la barrière de la langue, puis les différences de comportement, de traditions ainsi que les habitudes.
Les relations entre l’école et les parents jouent un rôle déterminant dans le processus de scolarisation et de socialisation de l’élève. Au début du siècle, les relations école-parents étaient simples : l’école détenait le savoir et devait simplement le transmettre aux élèves. Les parents eux, devaient envoyer leurs enfants à l’école. Aujourd’hui ces relations ont beaucoup évoluées. Entre les parents et les enseignants, s'installent aujourd'hui, bien souvent, l'incompréhension, la suspicion, quand ce n'est pas la méfiance ou l'hostilité. Pourtant l'école et les élèves ne pourront progresser que si la communication et le travail en commun sont rétablis.
La traversée des parents face au handicap de leur enfant, comment les aider lorsque la quête de normalité est omniprésente? tel sera l’objet de cet écrit. Dans le cadre des missions de l’assistante sociale, j’ai pu rencontrer de nombreux parents au cours de rencontres individuelles et avec l’équipe pluridisciplinaire. Je me suis alors aperçue que des questions et des propos de parents étaient récurrents tel que « quand mon fils pourra-t-il réintégrer une école normale ? », « peut-on prescrire un traitement médical pour le guérir ? », « j’aimerais qu’il soit comme tous les autres », ou au contraire, « il n’a pas besoin de traitement », « il n’est pas fou » etc. Autant de questions et de propos qui m’ont interrogé sur l’image que portaient ces parents sur le handicap de leur enfant. Les mots « normal », « guérir », « comme les autres » dénotent, à mon sens, d’une recherche de normalité des parents pour leur enfant, du mythe de l’enfant idéal.
Nous intervenons sur un secteur difficile avec une population paupérisée aux multi problématiques : enfance, hébergement d’urgence, bénéficiaires de minima sociaux, risque d’expulsion, ainsi que les situations de surendettement… En effet, j’ai pu constater qu’un nombre important d’usager du secteur se trouve en situation de surendettement. d’après le code de la consommation, le surendettement est la situation dans laquelle se retrouve des personnes physiques qui se caractérise par l’impossibilité pour le débiteur de bonne foi de faire face à l’ensemble de leurs dettes non professionnelles exigibles ou à échoir .
K renvoie l'impression d'être en attente d'une sentence, dans une attitude de victime, ou, du moins, d'être dans l'attente de subir quelque chose. Elle en semble certaine. Par ailleurs, K se positionne comme étant sur le point de passer à l'attaque. Elle évoque l'affrontement en se plaçant bien en face du référent (adversaire), en le fixant, en répondant de manière laconique et en cherchant la moindre parole sur laquelle avoir une prise afin d'entamer une joute verbale visant à défaire le cadre, déstabiliser la relation ou, simplement, tourner les choses vécues à son avantage. Quel est-il? C'est ce qui mériterait d'être approfondi. En conclusion, K passe d'un état intimidé à un état intimidant, parfois sans changement perceptible entre les deux.
Jusqu’en 1970, on a distingué deux modèles d’entrée dans la vie de la jeunesse, influencés par leurs origines sociales. La jeunesse étudiante et bourgeoise bénéficiait d’un soutien familial important et avait accès à des formations longues. Le cadre social étudiant leur permettait de se construire socialement, de s’insérer professionnellement. La jeunesse populaire, elle, accédait précocement au monde du travail. Leur insertion sociale se construisait par leur insertion professionnelle. Ce modèle leur permettait de gagner en expérience de la vie et en maturité sociale. Nous avons choisi de nous concentrer sur les politiques sociales œuvrant actuellement pour l’insertion socioprofessionnelle des jeunes âgés de 16 à 25 ans. L’emploi que nous ferons du terme « jeune » correspondra donc à cette tranche d’âge.
J'ai effectué mon second stage au sein de la structure X à R. Il s'agit d'un lieu d'accueil, d'écoute et d'accompagnement pour les femmes du quartier de la M. Se situant dans l'un des immeubles de ce quartier, ce dispositif s'inscrit dans la Mission Politique de la Ville de R. La M est un quartier classé Zone Urbaine Sensible et qui bénéficie ainsi d'aides spécifiques via le Contrat Urbain de Cohésion Social (contrat entre l'État, la Région, la Ville...) qui permet ainsi, entre autre, de financer ce dispositif. Politique relative au champ de ce stage = La Politique de la Ville. C'est l'ensemble des actions de l'État qui visent à réduire les inégalités sociales entre territoires en revalorisant certains quartiers urbains défavorisés, à lutter contre les phénomènes d’exclusion, et à favoriser l’insertion professionnelle, sociale et culturelle des populations habitant dans ces quartiers. On est là dans une politique d'insertion/intégration. Ainsi mon lieu de stage actuel s'inscrit dans une volonté de favoriser le lien social entre les habitantes du quartier, en leur garantissant un espace de rencontre, et tenter de leur permettre de sortir de l'isolement.
Dans le cadre de l'étude de champ d'action sociale, j'ai choisi de m'associer aux travaux de recherche sur l'immigration. C'est un domaine que mon cursus professionnel, scolaire ou personnel ne m'a pas permis de découvrir jusqu'alors. En étudiant les enjeux de l'immigration et de la clandestinité en France, le concept de Liberté m'est apparu comme élément essentiel à mes réflexions. Il est, de plus, au centre des interrogations actuelles. Monsieur Luc BESSON, Ministre de l'immigration, vient de lancer la si engageante question « qu'est ce qu'être français ? » destinée à réaffirmer l'identité nationale et la fierté d'être français. En septembre 2009, un rapport du Haut Conseil de l'intégration a été remis au Ministère, où les valeurs de notre pays sont détaillées, expliquées. Ce rapport propose de ré-inscrire les symboles de la République tels que la devise « liberté, égalité, fraternité » dans l'enseignement des futurs citoyens. La réintroduction des symboles de la République dans les établissements publics n'est pas sans susciter des réactions opposées, passionnées ou partisanes.
Recueils de données: Il s'agit de Mr Y accompagné depuis plusieurs mois au sein du pôle insertion. Plusieurs éléments laissent penser que Mr rencontre un problème d'addiction. Mr ayant déjà par le passé était confronté à des problèmes de dépendance addictives. On peut remarquer chez lui des tremblements, un manque de cohérence dans ses propos, une hyperactivité. C'est pourquoi, j'ai convenu avec Mr de plusieurs rendez-vous à des heures différentes afin de confirmer ou d'infirmer mon hypothèse et de pouvoir par la suite aborder le sujet avec lui de manière plus sereine. Nous avons donc convenu ensemble que le prochain rendez-vous serait fixé à 9h00. Je pouvais observer cette fois encore des tremblements chez Mr Y. En plus des tremblements venaient s'ajouter une odeur de sueur « alcoolisée ». C'est pourquoi au bout de quelques entretiens le sujet de l'alcool a été abordé. Mr a confirmé qu'il était « alcoolisé » car le problème avait déjà était soulevé ultérieurement, par l'équipe.

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