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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

UF 6 : En quoi peut-on considérer la psychologie comme une science?

UF 6 : En quoi peut-on considérer la psychologie comme une science? D'après le cours, le contre transfert désignerait l'ensemble des réactions affectives conscientes ou inconscientes de l'analyste vers son patient. En effet, je pense qu'avec cette dame s'est joué un effet de contre transfert. Cette dame me faisait penser certainement à ma mère (décédée lors de mes dix-sept ans). Sans aucun doute, cette dame a fait «écho en moi».En effet, en y réfléchissant avec du recul, je me suis aperçue que des traits physiques de Madame T, me rappelaient ceux de ma mère malade alors. Madame T avait le visage gonflé sans doute par l'alcool et peut être les médicaments...ma mère aussi..et je pouvais faire encore beaucoup d'autres analogies entre madame T et ma mère. Et puis cette souffrance qui s'exprimait si fort lors des entretiens avec Madame T, me renvoyait aussi à celle de ma mère à l'époque de sa maladie.
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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Insertion socio-professionnelle des jeunes
Jusqu’en 1970, on a distingué deux modèles d’entrée dans la vie de la jeunesse, influencés par leurs origines sociales. La jeunesse étudiante et bourgeoise bénéficiait d’un soutien familial important et avait accès à des formations longues. Le cadre social étudiant leur permettait de se construire socialement, de s’insérer professionnellement. La jeunesse populaire, elle, accédait précocement au monde du travail. Leur insertion sociale se construisait par leur insertion professionnelle. Ce modèle leur permettait de gagner en expérience de la vie et en maturité sociale. Nous avons choisi de nous concentrer sur les politiques sociales œuvrant actuellement pour l’insertion socioprofessionnelle des jeunes âgés de 16 à 25 ans. L’emploi que nous ferons du terme « jeune » correspondra donc à cette tranche d’âge.
Dossier sur l'intervention sociale
Il n’existe pas de définition légale ou officiellement reconnue et validée de l’intervention sociale. En effet, inscrire la notion « intervention sociale » dans un dictionnaire s’avère difficile, puisqu’elle ne peut être définie qu’en tenant compte des conceptions que la société a, selon les époques, des règles communes. Ainsi, sa définition et même sa dénomination sont en perpétuelle mutations, d’où l’impossibilité de lui donnée une définition figée dans le temps. Toutefois il est possible de comprendre cette notion en l’a décortiquant, c’est-à-dire en expliquant les mots « intervention » et « sociale ». Le mot intervention est composé d’une part de l’élément « inter », qui désigne l’espace, la répartition ou une relation réciproque. D’autre part, elle découle du verbe intervenir du latin « intervenire », qui est le fait de prendre part à une action, à une affaire en cours, ceci dans l’intention d’influer sur son déroulement. L’étymologie de ce mot indique donc qu’il peut revêtir deux sens. Tout d’abord, il peut faire référence soit au faite de s’interposer, de venir en travers, ou d’interrompre, soit le fait de s’entremettre, de cautionner, de prodiguer de bons offices ou encore de jouer un rôle de médiateur.

L’ambiguïté du sens du mot « intervention » génère ainsi pour son utilisateur, à savoir l’intervenant, une ambivalence de ses interventions, ainsi, il sera tantôt survenant, visiteur ou encore répondant ou garant, médiateur et assistant. En effet, on peut repérer de nombreux acteurs en position d’intervenant dans une organisation. Ainsi, est intervenante toute personne à qui l’on confie une responsabilité petite ou grande. Finalement, intervenir c’est mettre en place des dispositifs facilitant les échanges, la compréhension partagée des situations vécues, tout en débouchant sur un travail collectif aboutissant à revoir ses attitudes à changer ses méthodes. Il y a intervention quand on ne laisse pas faire le cours naturel des choses, soit pour prévenir, pour réparer et tirer des conséquences d’une situation passée ou à venir, en référence à une situation jugée normale. Qu’en est-il de la définition du mot « sociale » ?
Le travail peut-il nous tuer?
Aujourd’hui, si le travail peut-être une source de joie et d’épanouissement, dans certains cas il peut aussi se révéler à l’origine d’un mal-être profond. Conflits sociaux et relation au travail sont souvent cités dans les facteurs de risque du suicide. Le suicide étant l'acte délibéré de mettre fin à sa propre vie. En présence d’un suicide, la mort doit être l’intention de l’acte et non simplement une de ses conséquences. Après Renault, La Poste et la Police nationale… les suicides sur les lieux de travail se développent dans la morosité ambiante d’un grand nombre d’entreprise et d’organisations professionnelles dans un quasi-anonymat. En France, les suicides pour cause de conditions de travail sont estimés par le Conseil économique et social à 1 mort par jour (300 à 400 suicides par an pour raisons professionnelles). Causes personnelles, causes professionnelles ? Il est difficile de connaitre les origines exactes. Qu’est-ce qui peut pousser un individu à mettre fin à ses jours sur son lieu de travail ?
Les rapports entre les familles et l'école
Les relations entre l’école et les parents jouent un rôle déterminant dans le processus de scolarisation et de socialisation de l’élève. Au début du siècle, les relations école-parents étaient simples : l’école détenait le savoir et devait simplement le transmettre aux élèves. Les parents eux, devaient envoyer leurs enfants à l’école. Aujourd’hui ces relations ont beaucoup évoluées. Entre les parents et les enseignants, s'installent aujourd'hui, bien souvent, l'incompréhension, la suspicion, quand ce n'est pas la méfiance ou l'hostilité. Pourtant l'école et les élèves ne pourront progresser que si la communication et le travail en commun sont rétablis.

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