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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Le travail social face au surendettement

Le travail social face au surendettement Nous intervenons sur un secteur difficile avec une population paupérisée aux multi problématiques : enfance, hébergement d’urgence, bénéficiaires de minima sociaux, risque d’expulsion, ainsi que les situations de surendettement… En effet, j’ai pu constater qu’un nombre important d’usager du secteur se trouve en situation de surendettement. d’après le code de la consommation, le surendettement est la situation dans laquelle se retrouve des personnes physiques qui se caractérise par l’impossibilité pour le débiteur de bonne foi de faire face à l’ensemble de leurs dettes non professionnelles exigibles ou à échoir .

Pour conclure, le surendettement est une problématique récurrente sur notre territoire. Cette problématique complexe peut cacher d’autres réalités, et peut dépasser la gestion, la dimension économique. Peut cacher une souffrance Saisir la commission de surendettement n’est pas un acte anodin et ne doit pas contribuer à déresponsabiliser l’usager. Pour pallier le déficit du partenariat : réflexion autour d’une action collective (prévention, information du public)
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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Documents associés

éthique et écrits professionnels

J’effectue mon stage de formation de 2ème année au service social du personnel du Ministère de l’Intérieur. Au cours de mon stage, j’ai l’occasion de rédiger plusieurs types d’écrits professionnels dans le cadre des missions spécifiques de l’assistant social du Ministère de l’Intérieur. Ainsi, je suis amenée à rédiger des rapports de situation sociale pour appuyer une demande d’aide financière, une demande de prêt social, une demande de mutation à caractère dérogatoire, pour appuyer le recrutement d’un conjoint de fonctionnaire de police décédé en service ou l’adaptation au poste de travail d’un agent handicapé. Je suis également amenée à rédiger des comptes-rendus d’enquête sociale à la demande de l’Administration lorsqu’un fonctionnaire de police fait l’objet de sanctions disciplinaires. J’instruis plusieurs types de dossiers (demande de prêts, de prestations du Ministère de l’Intérieur, dossier de pension pour les retraités du MI ou les veufs (ves), dossier COTOREP, dossier de surendettement,…) Enfin, je rédige des courriers divers à l’attention des partenaires internes et externes au MI, aux usagers, aux créanciers,…

Analyse de territoire
Après avoir fait connaissance de la structure, de son public, de ses missions, j’ai pu constater la présence importante de familles monoparentales sur le quartier. J’ai donc, tout d’abord, cherché à définir ce qu’étaient exactement les familles monoparentales. La notion de famille monoparentale est d’abord apparue dans les pays anglo-saxons sous l’appellation « one parent family » au milieu des années 60. Les sociologues féministes l’ont importé en France quelques années plus tard. Elle est utilisée pour désigner les ménages où des personnes vivent sans conjoint avec un ou plusieurs enfants. L’Institut National de la Statistique et des Etudes Economiques (INSEE) l’utilise, pour la première fois, en 1981, et selon lui, une famille monoparentale comprend un parent isolé et un ou plusieurs enfants célibataires (n'ayant pas d'enfant).
Note réflexive : Que signifie pour vous « accompagner » dans une intervention sociale ?
I. La relation d’aide : Une posture professionnelle : La posture professionnelle peut se définir par le savoir-être, le savoir-faire et le positionnement professionnel. Elle est personnelle et se nourrit de l’expérience personnelle, professionnelle et des interactions de son environnement social. Elle n’est donc pas figée et s’adapte aux situations. Ainsi, pour proposer un accompagnement au travers d’une relation, un travail sur soi est nécessaire. En effet, je pense qu’il est important de connaître ses propres représentations et « son propre système d’interprétation de la réalité, avec sa « grille de lecture » personnelle » . C’est pourquoi, je crois que l’assistante sociale est une interface entre l’institution, qui via un cadre d’intervention et des missions permet d’offrir un accompagnement, et la personne. Aussi, le professionnel qu’est l’assistante sociale doit faire preuve d’adaptabilité face à la singularité de chaque personne et des difficultés qu’elle rencontre, afin d’être facilitateur. Cela peut se faire grâce à l’expertise que chaque professionnel acquiert, au cours des années de formation (cours et terrain de stage) et une fois en poste. En ce qui me concerne, j’ai pu constater sur mon terrain de stage de deuxième année (Carsat ) que d’une part la spécialisation en santé est un atout pour accompagner un public particulier et que d’autre part grâce aux connaissances particulières dans le domaine de la santé, les assistantes sociales sont en mesure d’adapter leur plan d’aide selon les différentes situations rencontrées et de mettre en œuvre une méthodologie d’action (individuelle ou collective).

Je pense que le fondement de l’accompagnement est la relation à autrui et qu’au-delà de la fonction du professionnel, c’est bien en tant que personne que je m’engage dans cette situation relationnelle. Par conséquent, en tant que professionnelle, je dois me mettre au service de l’accompagné, en m’assurant de ne jamais me substituer à lui et en respectant sa singularité. Ceci demande de la vigilance, un travail sur soi et une analyse réflexive de sa pratique et de son rapport à l’autre. En somme, les postures professionnelles doivent s’adapter aux situations ainsi qu’aux différents moments rencontrés dans l’accompagnement. Et comme le dit G. LE BOUEDEC « on n’accompagne jamais en son nom propre mais toujours au nom d’une institution . » C’est donc cette institution qui peut donner à chaque professionnel un cadre de sécurité, qui va permettre d’instaurer une relation de confiance
Insertion socio-professionnelle des jeunes
Jusqu’en 1970, on a distingué deux modèles d’entrée dans la vie de la jeunesse, influencés par leurs origines sociales. La jeunesse étudiante et bourgeoise bénéficiait d’un soutien familial important et avait accès à des formations longues. Le cadre social étudiant leur permettait de se construire socialement, de s’insérer professionnellement. La jeunesse populaire, elle, accédait précocement au monde du travail. Leur insertion sociale se construisait par leur insertion professionnelle. Ce modèle leur permettait de gagner en expérience de la vie et en maturité sociale. Nous avons choisi de nous concentrer sur les politiques sociales œuvrant actuellement pour l’insertion socioprofessionnelle des jeunes âgés de 16 à 25 ans. L’emploi que nous ferons du terme « jeune » correspondra donc à cette tranche d’âge.

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