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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Etude de textes philosophiques

Etude de textes philosophiques Etant actuellement étudiante en seconde année de formation d’Assistant(e) de Service Social, cette formation me permet d’enrichir ma culture et ma pensée en m’apportant des connaissances théoriques reposant principalement sur les sciences humaines et sociales. Car, en effet, le travail social repose sur le côté humain, sur les relations à l’autre avec ses origines, son identité, sa subjectivité, et sa pensée. D’où l’importance d’apports théoriques pour pouvoir mieux appréhender l’autre dans l’altérité. Ces éléments théoriques permettent également, selon moi, de pouvoir penser sa pratique en tant que professionnelle en devenir, tout en déconstruisant mes représentations et en élaborant un travail réflexif sur son agir professionnel.

Elaborer ce travail de lecture philosophique n’a pas été aisé pour moi. En effet, n’ayant jamais abordée concrètement la philosophie avant mon entrée en formation, cela m’a mise en difficulté. Malgré tout, j’ai conscience des apports enrichissants que la philosophie peut apporter à mon processus de professionnalisation. Concernant les difficultés que j’ai rencontrées au cours de la réalisation de ce travail, celles-ci reposent par exemple sur un problème de compréhension des textes. En effet, les textes philosophiques que j’ai du étudier étaient selon moi très complexes et denses au niveau de leur contenu. J’ai donc pris le temps de faire plusieurs relectures pour pouvoir dégager les thèses de chaque auteur.
Catégorie: Travaux U.F. Assistant de service social
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Le stage long que j'ai effectué s'est déroulé dans le secteur de l'insertion. Pour moi, l'insertion dans sa globalité, est le fait de bénéficier d'une place centrale au sein de la société. Ceci inclut une certaine stabilité au niveau de l'emploi, du logement, de la famille... Afin d'illustrer le développement proposé tout au long de mon dossier, je vais faire le parallèle avec le concept de désinsertion sociale défini par Vincent De Gaulejac. En effet, cet auteur met l'accent sur le vécu de l'exclu. Pour lui, ce qui caractérise l'exclusion est la perte d'emploi, une absence de ressources qui prive l'individu de réseaux de solidarité matérielle et de soutien psychologique. « Aujourd'hui, la crise du monde du travail, une certaine fragilisation des liens sociaux, et la déconstruction progressive des systèmes de normes et des identités, semblent être les principaux vecteurs de la nouvelle vulnérabilité sociale ». De même, la stigmatisation sociale impose aux individus une image négative d'eux-mêmes qu'ils ne peuvent éluder. Ils perdent ainsi leurs attaches et la société porte un regard stigmatisant sur eux.
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La nature du surendettement a muté ces dernières années. Alors qu'il n'y a pas si longtemps, les ménages ne contractaient des crédits que pour des fins précises (achats immobiliers, voyages, achats automobiles, etc.) Aujourd'hui, le surendettement ou « surendettement passif » (expression apparue dans les années 1990), est souvent lié à un accident de la vie. Ils représentent environ 70% des dossiers déposées à la Banque de France. Les individus sont sujets à une diminution brutale des ressources qui ne leur permettent plus de faire face à leurs charges. Le manque de plus en plus fréquent de patrimoine ne joue plus le rôle d'assurance. En effet, la précarisation des emplois, la baisse du niveau de vie des ménages, l'évolution des familles (familles monoparentales, ruptures familiales plus fréquentes etc.), l'apparition de notre société de consommation fragilisent les populations. Le pouvoir d'achat diminue tandis que les revenus stagnent. Nous observons une paupérisation du niveau de vie où les crédits contractés occupent une place davantage de revenus réguliers que de sommes d'argent supplémentaires ponctuelles.
UF 6 : En quoi peut-on considérer la psychologie comme une science?
Définitions des termes suivants : science, psychologie, psychique . La science (en latin scientia qui veut dire la connaissance), est d'après Le Robert «ce que l'on sait pour l'avoir appris , ce que l'on tient pour vrai au sens large. L'ensemble des connaissances, d'études d'une valeur universelle, caractérisée par un objet d'étude (domaine) et une méthode déterminée et fondées sur des relations objectives vérifiables». Pour Le Petit Larousse illustré, «c'est un ensemble cohérent de connaissances relatives à certaines catégories de faits, d'objets au phénomènes obéissant à des lois et vérifiées par les méthodes expérimentales». Ce sont aussi des «disciplines ayant pour objet l'étude des faits, des relations vérifiables. Sciences dures, ou exactes : qui utilisent le calcul et l'expérimentation par opposition aux sciences molles qui sont les sciences humaines en général. Les sciences humaines ont pour l'objet l'homme et ses comportements individuels et collectifs, passés et présents.

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