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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Sens de l'activité (UF3)

Sens de l'activité (UF3)

Dans ma future profession « Monitrice-éducatrice », j’exercerai ma fonction auprès d’enfants, d’adolescents ou de personnes adultes inadaptées, handicapées ou en situation de dépendance. Je devrai adopter un accompagnement particulier au quotidien auprès de ces personnes pour instaurer, restaurer ou préserver leur adaptation sociale et leur autonomie. Je participerai à l’action éducative, à l’animation et à l’organisation de leur vie en liaison avec les autres professionnels de l’éducation spécialisée.

J’ai pu me rendre compte que le jeu peut être un repère dans une pratique éducative. Le jeu peut servir de médiateur en retraçant ce que l’enfant vit à la maison (ex : jeu de maman / bébé) ou la relation mère / enfant est mise en évidence. Le travailleur social pourra grâce à cela retravailler ce lien. Le jeu peut aussi dévoiler une situation de carence éducative, affective ou de maltraitance des parents. J’ai l’exemple ou les officiers de police se servent du jeu de poupée pour que l’enfant puisse raconter autrement que par la parole ce qu’il subissait.

Catégorie: Travaux U.F. Moniteur-éducateur
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DC 1 : A la rencontre de l'ennui
Au long de mes deux stages, j’ai pu constater que la vie en institution pouvait être aliénante. Le rythme de vie est institutionnalisé, soit en lien avec l’emploi du temps des professionnels, soit en lien avec les attentes qu’ont les familles ainsi qu’avec le projet individualisé des usagers. Celui de chaque résident est organisé par des prises en charge de soins physique et/ou psychique, d’ateliers, de sorties, de loisirs, de sports... Cet accompagnement me semble nécessaire, afin de permettre à la personne d’avancer dans ses démarches de soins, de socialisation, de projet professionnel. Cependant, des instants qui pourraient permettre aux usagers de se retrouver seuls, me semblent importants. Serait-il nécessaire de dégager des temps libres, de façon institutionnelle, afin que les personnes puissent prendre des moments pour eux ? Je me suis beaucoup interrogée sur les temps libres dont disposent les personnes accueillies. Ils ne sont pas réfléchis de la même manière, selon ce qui a amené à cet accueil, l’institution, le public et l’âge. Comment peut-on préserver leur intimité lorsque l’institution ne laisse que peu de place à ces moments ? Mais alors, que se passe-t-il durant ces moments ? Comment dans une institution, où chaque minute est organisée, ces personnes peuvent-elles faire face à elles-mêmes ? D'après mes observations, ces personnes étaient rapidement envahies par l’ennui. Celui-ci, souvent perçu comme négatif « est synonyme de désoeuvrement, pouvant parfois être mortifère, sur son versant « positif », l’ennui permet à l’enfant de développer son imaginaire, sa créativité et de penser. Mais pour que celui-ci soit constructif, il s’avère nécessaire que l’enfant ait « appris » à s’ennuyer très tôt et qu’il puisse trouver dans son environnement de quoi y pallier par lui-même2 ». Dès lors, comment l’équipe et moi-même pouvons nous le travailler avec les personnes accueillies, et lui laisser la place dans la construction de l’être ?
La sexualité chez les personnes handicapées : Cadre juridique
Peut-on imaginer aujourd’hui en France un accompagnement sexuel et érotique juridiquement encadré, balisé en amont par une formation, facilitant la vie des personnes très dépendantes… et des équipes qui les accompagnent ? Pour l’Organisation mondiale de la santé (OMS), toute personne a droit à une sexualité libre et respectée. Parmi la centaine d’articles de la loi française du 11 février 2005 pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, certains sont consacrés à l’intimité des personnes.
Les mineurs en milieu carcéral
La question est de savoir comment la société s’organise pour faire face à la délinquance des mineurs pour apporter une réponse. Il existe des mesures alternatives à l’incarcération telles que le contrôle judiciaire, le placement, le sursis avec mise à l’épreuve. Ces mesures à caractère éducatif sont prononcées prioritairement à l’encontre des mineurs délinquants. L’incarcération est le recours extrême, ultime, utilisé en dernier ressort suite à l’échec de différentes propositions éducatives. Il est nécessaire pour l’éducateur de travailler avec le mineur sur la prise de conscience de ce dernier relative à l’acte qu’il a commis et à la sanction qui a été prononcée. Il est également important de revenir sur le passé du jeune, de le « décortiquer » afin de repérer des évènements, des différentes étapes qui ont marqué sa vie et son parcours et qui peuvent aider à comprendre le présent, tout en cherchant à éviter la récidive.
La violence dans les institutions
Chaque personne a des difficultés personnelles, mais lorsque ces personnes agissent ensemble le phénomène de toute puissance apparait. Par exemple, un professionnel ayant des difficultés peut mettre à mal le reste de l’équipe dans la mesure où cela se ressent sur son travail. Aussi, du côté des usagers, Jacques Danancier évoque les rassemblements d’enfants de 10-12 ans qui deviennent des groupes, de là, surviennent des violences où seul le rapport de force peut les arrêter.

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