Assistant de service social
L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.
Ethique et responsabilité
Le terme « éthique » vient du mot grec ethos ayant une double racine et un double sens : éthos « habitude, usage » ensemble des mœurs et des habitudes et êthos « séjour de la pensée » indiquant la vertu et l’esprit. L’éthique est la partie de la philosophie ayant pour objet les jugements d’appréciations lorsqu’ils s’appliquent à la distinction du bien et du mal. Sources : Nouveau dictionnaire critique d’action sociale.
Enfin, maintenant que nous connaissions cette information, nous ne pouvions pas la dissimuler, nous étions obligées de la mentionner dans notre rapport. Néanmoins nous avons décidé d’inscrire l’API dans le budget mais nous ne l’avons pas intégré à notre écrit. Il revenait au couple de s’expliquer, si le Juge demandait des informations complémentaires. Pour terminer, il était de la responsabilité de Mlle Y, de régulariser sa situation auprès de la CAF. Celle-ci nous écouta et raccrocha sèchement. Je compris à ce moment là, que la relation d’aide venait d’être rompue. Nous n’avons plus jamais eu de nouvelles de la famille.
| Catégorie: | Autre Assistant de service social |
| Type de fichier: | application/pdf |
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Documents associés
J’ai effectué mon stage de deuxième année en formation d’assistante de service social au Service pénitentiaire d’Insertion et de Probation. Après un temps d’adaptation et d’observation dans cette structure j’ai eu l’opportunité de mettre en pratique une intervention sociale d’intérêt collectif. Il s’agissait de mettre en place un système de formation professionnelle dans une maison d’arrêt. Du mois de décembre 2006 au mois de mai 2007 je me suis donc investie dans ce projet.
La mesure de la pauvreté est tributaire des définitions retenues. Une définition adoptée au niveau européen considère comme pauvres «les personnes dont les ressources matérielles, culturelles et sociales sont si faibles qu’elles sont exclues des modes de vie minimaux acceptables dans l’État dans lequel elles vivent ». Cette définition met l’accent sur trois caractères essentiels de la pauvreté. C’est un phénomène dont la définition est pour partie conventionnelle, dans la mesure où le concept de pauvreté identifie les individus désignés comme pauvres en fonction de critères élaborés à cet effet.
A ce jour, en France comme en Europe, force est de constater que le nombre de personnes âgées ne fait qu’augmenter et que les problématiques liées à cette catégorie de population conduisent à mobiliser la société en faveur des gens âgées au travers, notamment, des politiques sociales. Si la vieillesse apparaît comme un élément social, il est aisé de poser le postulat suivant : grand âge et maladie ne peuvent être assimilés (= ce n’est pas parce qu’on est âgé qu’on est malade).
J’effectue mon stage de troisième année dans un Centre Hospitalier Universitaire (CHU), au sein du service social des Urgences adultes. Pour contextualiser mon intervention, il me semble pertinent de présenter les missions de l’assistant de service social hospitalier et de préciser la spécificité de l’intervention sociale au sein d’un service d’urgence. Les conditions d’accueil aux urgences sont conditionnées par la loi du 18 décembre 2003 dite Loi organique relative aux lois de finances (LOLF) et surtout le « Plan Hôpital 2007 » instaurant la tarification à l’activité. Cela entraîne une «certaine obligation de rentabilité des soins et une moindre durée moyenne de séjour (DMS)». Les missions d’un service d’urgence sont d’accueillir les patients adultes de plus de 15 ans, de façon permanente sans distinction aucune.