Assistant de service social
L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.
Etat de nature ou société organisé, commentaire de hobbes
Dans cet extrait du chapitre X de son livre Le Citoyen, HOBBES essaie de répondre à la question suivante: Faut-il préférer l’état de nature ou la société organisée? Commençons par définir les termes précédents. Ce que l’on appelle l’état de nature est l’opposée d’une société organisée: c’est l’état dans lequel chaque individu jouit de toutes les libertés qu’il souhaite, agis à sa guise.
Enfin, il nous résume les inconvénients de l’état primaire et les avantages de la vie en société. Nous avons pu voir les difficultés de concilier la garantie de liberté avec la vie en société. En effet, l’Homme cherche toujours plus de libertés. Vivant en société, il apprend à restreindre sa liberté/ses libertés. Sans ordre, l’Homme a une vie animale, livrée au hasard. Il ne choisit pas véritablement sa vie. Par conséquence, la liberté ne va pas sans l’ordre, sans la connaissance du savoir de ce que l’on fait.
| Catégorie: | Autre Assistant de service social |
| Type de fichier: | application/pdf |
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Documents associés
L’intervention sociale d’aide à la personne (ISAP) que je souhaite présenter a été réalisée durant mon stage de troisième année au sein d’un service social hospitalier. L’hôpital est régit par un cadre juridique mais aussi revêt une dimension économique . En effet, la politique de santé en France s’appuie sur une transversalité de différents ministères. Le ministère de la santé, de la jeunesse, des sports et de la vie associative (décret n° 2007-1002 du 31 mai 2007) a autorité sur la direction générale de la santé (DGS) et la direction de l’hospitalisation et de l’organisation des soins (DHOS).
La préparation de cette intervention d’intérêt collectif m’a amenée à mesurer toute l’importance d’une démarche de co- construction. A chaque étape du projet, chacun a été amené à mettre ses connaissances et compétences au profit du groupe de travail constitué. Cet ouvrage a ainsi été le fruit d’une mutualisation des moyens mobilisables en interne et en externe et non pas le résultat d’une initiative individuelle. Mon positionnement au sein du groupe de travail a été facilité de par mon expérience quotidienne des jeunes au sein-même de la structure. Porteuse du projet auprès de l’équipe, j’ai pris soin de l’impliquer à toutes les étapes de la construction de ce projet, en l’associant à toutes les rencontres et en l’informant régulièrement de l’avancée de mes travaux, notamment durant les réunions de service. La transparence du projet a facilité son appropriation par l’équipe. Deux éducateurs ont par exemple souhaité s’investir n acceptant d’intégrer une formation à l’animation de groupe via l’outil « Kottabos ».
A ce jour, en France comme en Europe, force est de constater que le nombre de personnes âgées ne fait qu’augmenter et que les problématiques liées à cette catégorie de population conduisent à mobiliser la société en faveur des gens âgées au travers, notamment, des politiques sociales. Si la vieillesse apparaît comme un élément social, il est aisé de poser le postulat suivant : grand âge et maladie ne peuvent être assimilés (= ce n’est pas parce qu’on est âgé qu’on est malade).
L’aide sociale pour les personnes handicapées est réellement née dans les années 70 avec la loi du 30 juin 1975. En 1987, le législateur a voulu faciliter l’emploi des personnes handicapées. Mais cette loi s’est rapidement révélée comme inefficace et inadaptée. Ainsi, la loi du 11 février 2005, applicable au 1er janvier 2006, consacre une approche plus individualiste et donc plus adaptée du handicap, assurant ainsi une plus grande égalité des chances. Mais après quelques années d’application de cette loi, le bilan est plutôt mitigé. Aujourd’hui en France, on compte environ 12 millions de personnes handicapées.