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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Rapport de stage en MECS

Rapport de stage en MECS Il me semble nécessaire de ne pas se référer uniquement au cahier de liaison. Il est évident que les informations transmises de vive voix, lors des réunions d’équipes ou d’échanges moins formels, ont plus d’impacts, peuvent être développées, réexpliquées. Comme a pu le montrer la situation de Chloé, il y a des pertes dans la retransmission des informations. Je pense notamment aux rendez-vous avec l’instituteur et à notre difficulté, à l’éducatrice présente et à moi, à faire part au reste de l’équipe des difficultés de Chloé, des aménagements qu’il était utile de faire pour la faire avancer. Il est donc indispensable d’échanger le plus possible au sein d’une équipe.
Catégorie: Rapport de stage Moniteur-éducateur
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Documents associés

Rapport de stage dans un FAM:
Marie, âgée de 63 ans est accueilli au FAM depuis le 19 janvier 2007. Marie est une personne autonome dans les actes de la vie quotidienne, mais nécessite d'être accompagner pour son hygiène. Elle a un contact facile avec le personnel éducatif mais plus complexe avec les autres résidents, soi elle est en retrait, soit envahissante. Sa forme de communication est limitée à la sphère de ses intérêt, elle sait se faire comprendre, mais comprend et accepte difficilement les limites. Marie est atteinte d'un handicap mental et d'un trouble bipolaire. Ce dernier engendre chez Marie des épisodes d'état de dépression qui se caractérise entre autre, par un cycle où elle dort beaucoup C'est une personne qui passe d'un état de dépression qui se caractérise entre autre, par un manque d'appétit et une somnolence, à un état d'euphorie exagéré où Marie est pleine d'énergie permanente et démesurée. Elle a vécu 25 ans dans un hôpital psychiatrique. Je débute ma journée à 8h en ce lundi matin, je me rends dans la salle où les résidents prennent leur petit déjeuner. Marie me sollicite pour que je l'accompagne à la toilette. Je fis part de sa demande à une éducatrice qui était présente dans la salle. Celle-ci accepte. Nous nous rendons dans le couloir qui donne sur les chambres des résidents et donc sur sa chambre comprenant sa douche. Dans ce couloir se trouve les corbeilles à linge pour y déposer le linge sale des résidents après la douche. Marie est devant moi dans le couloir en direction de sa chambre quand cette dernière enlève sa chemise de nuit pour la mettre dans la corbeille à linge sale. Elle se retrouve donc en petite culotte au milieu du couloir. Je lui demande alors de remettre sa chemise de nuit tout en lui disant que quelqu'un pourrait la voir nue et que l'on n'enlève pas sa chemise de nuit à cet endroit mais dans sa chambre. Marie ne m'a pas écouté et a continué de marcher jusqu'à sa chambre. Questionnement et thème : Je me demande d’où vient le manque de pudeur de Marie, l'a t-elle toujours eu ou a t-elle perdu ce sentiment en institution. Ou alors ne lui a t'on pas appris à l'avoir, ne l'a t'elle pas correctement assimilé à cause de son handicap ? J'ai ainsi pu constater cette problématique chez plusieurs résidents. Cette question m'a amené à me demander si ce n'est pas la vie en collectivité qui engendrerai le manque de ce sentiment.. En ce qui concerne l'accompagnement à la toilette, pour ceux qui le souhaite, je constate que les résidents sont amenés à se montrer non seulement nus mais à être accompagné à la douche avec différents professionnels. Serait-ce devenu une habitude, le fait de se montrer nue quotidiennement devant différent membre de l'équipe, ce constat n’induirait-il pas le fait ne plus avoir peur de s’exhiber devant leurs camarades ? Leur handicap n’altérerait-il pas ce sentiment? Ne serait-il pas également à cause de l'absence de conscience de schéma corporel que l'on retrouve chez certaines personne en situation de handicap mental ? A la suite de cette situation qui m'a amenée à ces multitudes questions, il me semblerait pertinent de traiter le sujet de la pudeur, ce sentiment que ces personnes n'ont visiblement pas ou mal acquis. J'ai voulu savoir ce qu’était la pudeur. Dans le contexte institutionnel, les professionnels se doivent d'accompagner les résidents à respecter les règles de vie collective, cela passe par un accompagnement vers une pudeur physique. A travers cette dernière, le professionnel tend vers un respect d'eux même et des autres ainsi qu'à favoriser une meilleure image de soi. Pour accompagner ces personnes vers ce sentiment tout en respectant leurs déficiences, leurs incapacités ainsi que leurs handicaps, il me semble judicieux de connaître quelques notions qui entourent la pudeur. A savoir : son histoire, son conditionnement mais également ce qui se passe d'un point de vue psychologique autour de ce sentiment. Ce sujet en englobe également d'autres ce qui rend ce thème complexe mais riche à la fois.
Stage dans un foyer d'hébergement
Quand les résidents reviennent du travail, après une journée à l'ESAT, ils sont fatigués, prennent un café, regardent la télé, font leur ménage. Donc mon rôle est de les accompagner durant leur temps libre. Les résidents du foyer organisent leur vie quotidienne seul .Le fait de « ne pas faire » me dérangeais je ressentais un sentiment proche de « la culpabilité, de n'avoir rien à faire » « Je n'étais plus dans le faire. La problématique qui m’amène à me questionner porte sur le fait que je ne comprenais pas bien mon utilité. Que pouvais-je leur apporter ? Ils faisaient tout eux-mêmes ! Je ne voyais pas de résultat immédiat à mes actions. Au début de mon stage il m'arrivait d'aider les résidents à la vaisselle, mais je me rendais compte que ce n'était pas apprécié. Ils étaient même vexés. Mon acte était pris comme un manque de confiance, comme si je sous-estimé leur capacités. Ils voulaient me montrer qu'ils savaient faire ! « On n’est pas des bébés m'a dit un résident » j'ai compris très vite que je ne devais pas toucher à leur domaine. Suite à ces remarques je me suis remis en question sur la façon dont je devais les accompagner. En partant de cette situation , je me dis que ma présence ne devait pas se limiter à une présence physique au moment du lever, coucher , toilette , vaisselle qui se résume par des gestes techniques , mécaniques .Pourtant je sais que l'accomplissement des tâches quotidiennes sont porteuses de sens . Derrière ces gestes ordinaires je comprends que je dois instaurer une relation avec l’usage et le reconnaître dans son rôle et de ce fait lui permettre d’exprimer et de faire des choix comme le stipule la loi du 11/02/2005.
Réflexion autour du soutien à la parentalité
De nombreuses mères accueillies au sein de l’association se trouvent parfois en difficulté dans la relation avec leur enfant. Il n’est pas toujours simple de rentrer en communication et de maintenir le lien lorsque elles mêmes se sentent profondément dévalorisées et en souffrance. Le regard des autres est omniprésent, l’œil inquisiteur et le jugement du groupe est redouté à chaque parole. J’ai pu me rendre compte à plusieurs reprises que certaines mères peuvent par moment perdre le contrôle. Il leur est difficile par la suite d’entendre un quelconque avis sur leur rôle et leur capacité à être, selon elles, une « bonne » mère à un moment présent.
L'accompagnement à l'hygiène corporelle
En effet, une des choses qui m'a le plus interpellée est le manque d'hygiène corporelle des enfants. Il m'est arrivé a plusieurs reprises de me sentir dépassée et de ne savoir comment leur faire prendre conscience de l'importance d'avoir une bonne hygiène corporelle. C'est pourquoi, au début de ma deuxième année de formation, après mûre réflexion, j'ai décidé d'en faire mon écrit de deuxième année, à savoir ma note réflexive. A travers cet écrit, je vous ferai part de mes observations, qui ont suscité différentes questions. De ces questionnements a découlé ma problématique, c'est à dire le sujet de ma réflexion. C'est au regard d'avis puisés dans différentes lectures et par l'accompagnement des enfants dans ce projet que j'ai mis en place, que je vais tenter d'y répondre.

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