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BTS ESF

Le BTS ESF – Economie sociale et familiale s’effectue en deux ans après un bac de préférence. C’est un diplôme de niveau bac + 2 qui se prépare en formation initiale mais aussi en alternance dans des établissements publics et privés. C’est un diplôme d’Etat de niveau III délivré par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

EP en CHRS pour femmes battues

EP en CHRS pour femmes battues En effet, de part la solitude subie des usagers qui peut être néfaste pour ces femmes, et le projet de la Charade il était indispensable de concevoir des moments formels pour créer du lien social entre les protagonistes du lieu de vie. La notion de lien social signifie l'ensemble des appartenances, des affiliations, des relations qui unissent les gens ou les groupes sociaux entre eux. Le lien social représente la force qui lie, par exemple, les membres d'une famille entre eux, ou les membres d'une communauté. Il est indispensable pour que l’individu se sente appartenir à la société.
Catégorie: Autre BTS ESF
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Documents associés

EP dans un foyer logement
La France compte environ 13,11 millions de personnes de plus de 60 ans dont plus d’un million en perte d’autonomie (INSEE 2007). Selon les projections de l’INSEE, leur nombre pourrait doubler d’ici 2050. Des prévisions grandissantes qui s’expliquent par de nombreux facteurs notamment économiques, technologiques, démographiques…. En effet, ce public occupe une part importante au sein de notre société, et exprime de plus en plus de besoins face à leur perte d’autonomie. Il sera alors important de tenir compte du vieillissement de la personne et non pas de son âge. Les personnes âgées sont aujourd’hui répertoriées en deux catégories : le 3ème âge qui sont les « jeunes retraités » et le 4ème âge qui intègre les personnes en perte d’autonomie.
EP : économie d'énergie
Le diagnostic s’étant effectué à la même période que mon stage, nous avons pu inclure dans le courrier que j’assisterai à la visite. La visite de chaque logement s’effectue même si les résidents ne sont pas présents dans le logement, puisque lors de la signature de leur contrat avec la structure, il est spécifié dans celui-ci que les diagnostics sont obligatoires, et les résidents donnent donc leur accord pour l’entrée dans leur logement, mais chaque résident est bien évidement prévenu de la date et de l’heure de la visite. Suite à une observation de tous les logements (annexe 4), j’ai pu en conclure que très peu d’entre eux essaie de faire des économies d’énergie de part leur quotidien.
ICAF : adopter des gestes favorisant la diminution de la consommation énergétique
La médiatrice énergie et la responsable de la structure ont remarqué que certains clients réapparaissaient régulièrement dans la liste des clients en difficulté de paiement. Ces clients avaient souvent bénéficié d'une aide FSL sans que cela ne règle leur problème de facture liée à la consommation d’énergie et se retrouvaient de nouveau en difficulté de paiement. Les consommations en énergie étaient supérieures à la moyenne en comparaison à un logement identique et composition du foyer identique. Cependant la difficulté était de savoir si leur surconsommation était liée à leurs habitudes domestiques ou si elle était la conséquence d'un logement vétuste et mal isolé. Phase de validation du besoin : élaboration d’un outil d’investigation Dans un premier temps, afin de savoir si les habitudes de consommation étaient à l'origine de la surconsommation j’ai établi un questionnaire (annexe 1) qui abordait plusieurs thèmes : • Le logement (superficie, nombre de pièce, année de construction…) • Le type de logement et son isolation • La composition du foyer • L'équipement électrique • Les habitudes des membres du foyer. • La facture et sa compréhension La forme du questionnaire associe questions fermées et questions à choix multiples afin de limiter le temps passé à remplir le questionnaire et que cela ne représente pas une difficulté pour les usagers que nous recevons. La médiatrice énergie m’a apportée ses compétences en matière de connaissance des publics accueillis pour rédiger le questionnaire. Le questionnaire a été rempli avec elle au cours des entretiens de médiation, l’usager avait aussi la possibilité de le faire seul si il le souhaitait. Nous avons pu constater que souvent la surconsommation était lié aux habitudes, aux équipements mais également au manque d'isolation du bâtiment. 45% des personnes interrogées présentaient des problèmes dans les gestes quotidiens et de la qualité du bâtiment. 25% des personnes n’avaient pas ouvert leurs droits aux tarifs sociaux de l’énergie (tarif première nécessité pour l’électricité et tarif spécial de solidarité pour le gaz) 30% connaissaient les gestes adaptés aux économies d’énergie et présentaient une surconsommation liée aux bâtiments mal isolés. Lorsque les raisons de la surconsommation sont surtout liées à l’état du logement, nous nous mettons en lien avec un dispositif existant sur la commune de Bordeaux, le SLIME pour qu’un technicien se déplace au domicile de la personne afin d’effectuer un diagnostic complet de l'habitation et de l’équipement. Ensuite, le SLIME se met en contact avec le propriétaire afin de l’informer des besoins en termes de travaux et des aides financières existantes (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat…). Le but est de trouver une solution qui permette au locataire de gagner en confort et qui soit supportable financièrement pour le propriétaire. Le résultat de l’enquête menée nous montre qu’un atelier sur les gestes quotidiens en lien avec la consommation d’énergie serait pertinent.
EP : les menus des Unités de Vie
Aujourd’hui, en France, 1,7 million de personnes sont déficientes visuelles, dont 207 000 non voyantes ou distinguant seulement les silhouettes. Environ 30% d’entre elles sont poly-handicapées. Les personnes ayant un handicap visuel n'ont pas toutes des gênes identiques. Selon le de-gré de sévérité de leur déficience visuelle, on parle de cécité ou de malvoyance. Les aveugles complets n’ont aucune perception visuelle, les malvoyants profonds ont une vision résiduelle limitée à la distinction des silhouettes, les malvoyants moyens ont une incapacité à reconnaître un visage à quatre mètres et une incapacité à lire et à écrire, et les malvoyants légers présentent quelques difficultés à reconnaître un visage à quatre mètres et quelques difficultés à lire et à écrire.

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