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BTS ESF

Le BTS ESF – Economie sociale et familiale s’effectue en deux ans après un bac de préférence. C’est un diplôme de niveau bac + 2 qui se prépare en formation initiale mais aussi en alternance dans des établissements publics et privés. C’est un diplôme d’Etat de niveau III délivré par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

L'importance de l'animation en EHPAD

L'importance de l'animation en EHPAD L’animation en maison de retraite, et plus encore en EHPAD est encore trop souvent sous-estimée et reléguée au second plan après les soins. Les animations présentent au sein de la structure sont diverses mais elles ne correspondent pas toujours aux attentes et besoins des personnes âgées. En effet, elles ne prennent pas du tout en compte la personne elle-même et sont souvent ressenties par l’équipe comme uniquement occupationnelles. L’animation est souvent présentée en termes d’activité sans que soit posée la question de la concordance entre l’activité proposée et le souhait de la personne âgée. Il n’y a pas de personne ayant reçu une formation spécifique à l’animation qui puisse assurer une animation quotidienne.
Catégorie: Autre BTS ESF
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EP : les menus des Unités de Vie
Aujourd’hui, en France, 1,7 million de personnes sont déficientes visuelles, dont 207 000 non voyantes ou distinguant seulement les silhouettes. Environ 30% d’entre elles sont poly-handicapées. Les personnes ayant un handicap visuel n'ont pas toutes des gênes identiques. Selon le de-gré de sévérité de leur déficience visuelle, on parle de cécité ou de malvoyance. Les aveugles complets n’ont aucune perception visuelle, les malvoyants profonds ont une vision résiduelle limitée à la distinction des silhouettes, les malvoyants moyens ont une incapacité à reconnaître un visage à quatre mètres et une incapacité à lire et à écrire, et les malvoyants légers présentent quelques difficultés à reconnaître un visage à quatre mètres et quelques difficultés à lire et à écrire.
Le développement sensoriel par le biais de l'alimentation
Lors de l’annonce de la mise en place de l’action professionnelle, nous avions une idée précise du public avec qui nous avions envie de travailler, et nous souhaitions également relié notre action avec le thème de l’alimentation. Lors de notre première rencontre avec le directeur du foyer de vie M. M-R, nous lui avions demandé s’il avait des exigences particulières quant au thème à aborder, sa réponse étant négative nous lui avons directement exposé nos idées : nous voulions monter un projet sur le développement sensoriel par le biais de l’alimentation. Nos objectifs globaux étaient les suivants : • Réaliser un travail d’équipe • Nous sensibiliser à un nouveau public et donc acquérir des connaissances le concernant. • Avoir une approche du milieu professionnel, acquérir un relationnel avec les travailleurs présents • Prendre connaissance de l’ensemble des acquis, de notre public, sur l’alimentation en générale, en mettant à contribution leurs sens, et leur apporter des informations complémentaires. • Répondre aux besoins de la structure, qui à l’origine développe déjà la psychomotricité (le toucher, la vue.)
La prévention des chutes chez les personnes âgées en institution
La vieillesse est l'âge ultime de l’être humain, qui succède à l'âge mûr, appelé aussi, le « troisième âge ». Il n’y a pas réellement d’âge biologique de la vieillesse. Par contre, il y a une représentation de la vieillesse qui commence vers l'âge de soixante-cinq ans et correspond à une période de la vie où la plupart des personnes sont retirées de la vie active (retraite ou pension).
ICAF : adopter des gestes favorisant la diminution de la consommation énergétique
La médiatrice énergie et la responsable de la structure ont remarqué que certains clients réapparaissaient régulièrement dans la liste des clients en difficulté de paiement. Ces clients avaient souvent bénéficié d'une aide FSL sans que cela ne règle leur problème de facture liée à la consommation d’énergie et se retrouvaient de nouveau en difficulté de paiement. Les consommations en énergie étaient supérieures à la moyenne en comparaison à un logement identique et composition du foyer identique. Cependant la difficulté était de savoir si leur surconsommation était liée à leurs habitudes domestiques ou si elle était la conséquence d'un logement vétuste et mal isolé. Phase de validation du besoin : élaboration d’un outil d’investigation Dans un premier temps, afin de savoir si les habitudes de consommation étaient à l'origine de la surconsommation j’ai établi un questionnaire (annexe 1) qui abordait plusieurs thèmes : • Le logement (superficie, nombre de pièce, année de construction…) • Le type de logement et son isolation • La composition du foyer • L'équipement électrique • Les habitudes des membres du foyer. • La facture et sa compréhension La forme du questionnaire associe questions fermées et questions à choix multiples afin de limiter le temps passé à remplir le questionnaire et que cela ne représente pas une difficulté pour les usagers que nous recevons. La médiatrice énergie m’a apportée ses compétences en matière de connaissance des publics accueillis pour rédiger le questionnaire. Le questionnaire a été rempli avec elle au cours des entretiens de médiation, l’usager avait aussi la possibilité de le faire seul si il le souhaitait. Nous avons pu constater que souvent la surconsommation était lié aux habitudes, aux équipements mais également au manque d'isolation du bâtiment. 45% des personnes interrogées présentaient des problèmes dans les gestes quotidiens et de la qualité du bâtiment. 25% des personnes n’avaient pas ouvert leurs droits aux tarifs sociaux de l’énergie (tarif première nécessité pour l’électricité et tarif spécial de solidarité pour le gaz) 30% connaissaient les gestes adaptés aux économies d’énergie et présentaient une surconsommation liée aux bâtiments mal isolés. Lorsque les raisons de la surconsommation sont surtout liées à l’état du logement, nous nous mettons en lien avec un dispositif existant sur la commune de Bordeaux, le SLIME pour qu’un technicien se déplace au domicile de la personne afin d’effectuer un diagnostic complet de l'habitation et de l’équipement. Ensuite, le SLIME se met en contact avec le propriétaire afin de l’informer des besoins en termes de travaux et des aides financières existantes (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat…). Le but est de trouver une solution qui permette au locataire de gagner en confort et qui soit supportable financièrement pour le propriétaire. Le résultat de l’enquête menée nous montre qu’un atelier sur les gestes quotidiens en lien avec la consommation d’énergie serait pertinent.

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