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BTS ESF

Le BTS ESF – Economie sociale et familiale s’effectue en deux ans après un bac de préférence. C’est un diplôme de niveau bac + 2 qui se prépare en formation initiale mais aussi en alternance dans des établissements publics et privés. C’est un diplôme d’Etat de niveau III délivré par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

La sensibilisation des adolescents aux economies d'eau

La sensibilisation des adolescents aux economies d'eau On parle de stress hydrique en deçà de 1,3millions de litres par an et par habitant, en France les habitants disposent de près de 3 millions de litres par an et par habitant cette estimation bien que rassurante est calculé au niveau global or certaines régions comme la gironde sur exploitent ces réserves d'eau issues des nappes phréatiques il faut alors trouver d’autres moyens pour fournir de l'eau potable à ces habitants.
Catégorie: Autre BTS ESF
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Documents associés

EP : Les déchets encombrants
En France, ce qui concerne l’ensemble de la population, relève culturellement du service public. Il en est ainsi en matière de gestion des déchets. Si la loi du 15 juillet 1975 instaure le principe du « pollueur payeur » qui rend chaque producteur de déchets responsable de leur élimination, elle prévoit également que les communes se substituent aux ménages dans leur responsabilité. Les déchets concernés sont les déchets municipaux qui sont composés des déchets des ménages (ordures ménagères, déchets encombrants), des déchets des communes produits par les services municipaux (entretiens des espaces verts, bâtiments communaux) ainsi que des déchets des artisans et des commerçants.
EP: déplacements en autonomie d'adultes handicapés
Les établissements sociaux et médico-sociaux accueillant des personnes handicapées, n’ont pas toujours eu l’assentiment de l’opinion populaire. La mise en évidence régulière d’affaires de maltraitance active dans certaines structures à certainement jouer un rôle non négligeable quant à cette réserve ; on peut citer par exemple, le cas de maltraitance sexuelle par la direction de l’APAJH d’Auxerre, gérant un foyer DDASS, sur de jeunes orphelins handicapés dans les années 90 . Cependant, évitons les conclusions hâtives et ne généralisons pas à l’ensemble de ces institutions les comportements méprisables d’une minorité. On leur reproche parfois également, de maintenir les personnes handicapées dans un cercle trop fermé, presque uniquement constitué de déficients du même type, excepté le personnel encadrant ; de pratiquer une maltraitance passive (repas servis froids, indifférence et désintéressement à l’égard des usagers,…) ou encore d’inconsciemment se positionner en êtres supérieurs face à ce public. C’est donc pour éviter ce genre de dérives que le contexte institutionnel vise à régulariser ce secteur.
EP en CHRS pour femmes battues
Les personnes hébergées en CHRS sont en grandes difficultés sociales. Elles sont admises sur demande et après entretien avec un des personnels de l’équipe éducative. Elles sont engagées dans un projet qui leur permet d’accéder et de retrouver une autonomie sociale et personnelle. Les raisons de leur venue sont diverses mais il s’avère souvent que les femmes en demande d’hébergement à la Charade sont victimes de violence conjugale. Ce CHRS est réputé pour accueillir ces personnes en proie à cette violence. Avec d’autres centres tel que l’Auvent, le Mail, ils tentent d’aider ces femmes en étant des lieux d’étapes pour qu’elles se ressourcent le temps nécessaire.
ICAF : adopter des gestes favorisant la diminution de la consommation énergétique
La médiatrice énergie et la responsable de la structure ont remarqué que certains clients réapparaissaient régulièrement dans la liste des clients en difficulté de paiement. Ces clients avaient souvent bénéficié d'une aide FSL sans que cela ne règle leur problème de facture liée à la consommation d’énergie et se retrouvaient de nouveau en difficulté de paiement. Les consommations en énergie étaient supérieures à la moyenne en comparaison à un logement identique et composition du foyer identique. Cependant la difficulté était de savoir si leur surconsommation était liée à leurs habitudes domestiques ou si elle était la conséquence d'un logement vétuste et mal isolé. Phase de validation du besoin : élaboration d’un outil d’investigation Dans un premier temps, afin de savoir si les habitudes de consommation étaient à l'origine de la surconsommation j’ai établi un questionnaire (annexe 1) qui abordait plusieurs thèmes : • Le logement (superficie, nombre de pièce, année de construction…) • Le type de logement et son isolation • La composition du foyer • L'équipement électrique • Les habitudes des membres du foyer. • La facture et sa compréhension La forme du questionnaire associe questions fermées et questions à choix multiples afin de limiter le temps passé à remplir le questionnaire et que cela ne représente pas une difficulté pour les usagers que nous recevons. La médiatrice énergie m’a apportée ses compétences en matière de connaissance des publics accueillis pour rédiger le questionnaire. Le questionnaire a été rempli avec elle au cours des entretiens de médiation, l’usager avait aussi la possibilité de le faire seul si il le souhaitait. Nous avons pu constater que souvent la surconsommation était lié aux habitudes, aux équipements mais également au manque d'isolation du bâtiment. 45% des personnes interrogées présentaient des problèmes dans les gestes quotidiens et de la qualité du bâtiment. 25% des personnes n’avaient pas ouvert leurs droits aux tarifs sociaux de l’énergie (tarif première nécessité pour l’électricité et tarif spécial de solidarité pour le gaz) 30% connaissaient les gestes adaptés aux économies d’énergie et présentaient une surconsommation liée aux bâtiments mal isolés. Lorsque les raisons de la surconsommation sont surtout liées à l’état du logement, nous nous mettons en lien avec un dispositif existant sur la commune de Bordeaux, le SLIME pour qu’un technicien se déplace au domicile de la personne afin d’effectuer un diagnostic complet de l'habitation et de l’équipement. Ensuite, le SLIME se met en contact avec le propriétaire afin de l’informer des besoins en termes de travaux et des aides financières existantes (Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat…). Le but est de trouver une solution qui permette au locataire de gagner en confort et qui soit supportable financièrement pour le propriétaire. Le résultat de l’enquête menée nous montre qu’un atelier sur les gestes quotidiens en lien avec la consommation d’énergie serait pertinent.

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