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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Les rites d'interaction : Erving GOFFMAN

Les rites d'interaction : Erving GOFFMAN

Il y développe la métaphore théâtrale, considérant les personnes en interaction - et non en tant qu'individu - comme des acteurs qui mènent une représentation. En 1974, il publie 'Les Cadres de l'expérience', consacré à l'étude de différents registres de la communication interpersonnelle, tant au niveau du langage que des attitudes corporelles. Erving GOFFMAN se remarie en 1981 et meurt un an plus tard.

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
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Dans cet ouvrage, Judith Migeot-Alvarado fait une étude de la relation école–famille à travers des témoignages d’enseignants, d’élèves et de parents, ponctués de références à des textes officiels. L’auteur se réfère aux représentations, attitudes éducatives, rapport à la loi et savoir des familles. Elle rend compte aussi de la participation des parents au fonctionnement des établissements de second degré. Elle met en avant les tensions qui existent entre l’école et la famille et qui rendent complexe la relation entre les deux. A travers un survol historique, l’auteur essaie de nous montrer les origines de ce « malentendu » entre les deux parties et fait le point sur les problèmes actuels.

Migrations, Interculturalité et Démocratie de J.M. BREUVART et F. DANVERS

Dans l’introduction de l’ouvrage, M. Blanc et J.M. Breuvart ont choisit de définir le concept d’interculturalité, en partant de sa naissance, puis en s’interrogeant sur ce qu’il représente aujourd’hui. Tout commence réellement au dix-huitième siècle. L’esprit des Lumières a provoqué de grands changements avec, entre autre, la création de la république française laïque, et prônant l’égalité et la fraternité. Cette philosophie insiste sur la reconnaissance des droits de l’homme, et de sa liberté de penser et d’agir, tout en respectant l’autre.

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Les grands courants de la mystique juive : Scholem

Le sujet de la mystique juive parait vaste et compliqué, en effet beaucoup d’auteurs ont écrits sur le sujet et aucun ne se ressemble. On sait d’une part que ce courant s’est développé sous le nom de kabbale et de hassidisme. Et d’autre part que la mystique juive coïncide avec la période de l’apparition de l’ère chrétienne. Pour donné une définition simple de la mystique ce serai ce qui concerne les mystères de la religion. De nombreuses critiques et changement de point de vue ont été faits autour de cette mystique. On peut dire alors que nous n’avons pas une véritable connaissance de la religion, malgré tout cette doctrine continue à jouer un rôle important sur l’histoire juive. On peut alors ce demander sur quoi sont basées les différentes explications de cette doctrine?

La violence faite aux hommes : Yvon DALLAIRE

Avant d’être physique, la violence se manifeste souvent de manière psychologique et/ou de manière verbale. Il existe un tabou profondément ancré dans notre société : la femme violente et l’homme victime. Toute violence féminine est alors interprétée comme de la légitime défense ou comme une manifestation incontrôlée de réactions physiologiques. On dénie à l’homme la possibilité que, lui aussi, puisse réagir en légitime défense. Il est censé avoir appris à contrôler ses réactions émotives et agressives, lui.

On rend donc l’homme responsable de toute la violence conjugale. Combien d’hommes ont passé une nuit en prison sur simple allégation de violence de la part d’une femme ? Un policier d’un corps de police d’une ville très importante du Québec confirmait qu’ils « embarquaient » l’homme même s’ils soupçonnaient la femme d’être la réelle initiatrice de la violence. « Nous avons reçu comme directive implicite de séparer l’homme de la femme en l’amenant, lui, au poste et en l’enfermant ».

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