LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Aider à vivre, propos sur le travail social. Catherine de Béchillon

Aider à vivre, propos sur le travail social. Catherine de Béchillon

Catherine de Béchillon assistante de service sociale (A.S.). Elle a travaillé 25 ans à la SNCF, puis a dirigé pendant 14 ans un centre psychothérapique. Elle a participé à l’un des premiers groupes (avec Myriam DAVID) qui a introduit l’aide psychosociale individualisé ( le case-work ) en France. Elle a aussi suivi une formation à la supervision à l’union nationale des caisses d’allocation familiales pour ensuite effectuer un travail de superviseur et de consultant à l’Union Départementales des Affaires Familiales (UDAF) des Pyrénées atlantiques dans les services d’AEMO et de contrôles judiciaires. Elle a enfin participé à des actions de réflexion et de formation sur le travail social et sur les multiples ponts qu’ils tentent de construire entre les personnes et leur vie. Ce document a était produit au terme d’une demande qui lui avait été faite, d’exposer ce qu’est la fonction de l’A.S. et ce qui se joue autour de ce métier, de « cet art d’aider »

Le choix de faire ma fiche de lecture sur un livre aussi empirique traitant du métier d’AS est loin d’être anodin. Nous avons tous notre parcours de vie plus ou moins développé dans le secteur social. Pour ma part malgré les -quelques- entretiens que j’ai effectué et qui m’ont permis de connaître un peu ce que représenter le métier d’A.S., il restait une part trop obscure à ma connaissance pour pouvoir continuer et vivre pleinement cette formation. Et comme le dit un proverbe chinois « L’ignorance est la nuit de l’esprit et cette nuit n’a ni lune, ni étoile ». Je comprends maintenant le véritable sens du choix de ce livre. Il aurait été inutile ou du moins sans réel impact de lire un autre livre qui aurait parlé d’un sujet plus phénoménologique de l’aide sociale.

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
Type de fichier: application/pdf
Historique du document:

0

Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Conduire le développement social : Philip Mondolfo

Philip Mondolfo avait fait l’hypothèse de deux évolutions de l’action sociale : une, qui se recentrerait sur les services traditionnels et une autre, qui inciterait les professionnels à de nouvelles pratiques et notamment le développement social. Aujourd’hui, il affirme que la deuxième hypothèse : le développement social, devient une nécessité. Nous n’avons plus le choix si nous voulons survivre à la crise du travail social, et à sa dévalorisation. Il faut non seulement intégrer le développement social dans les pratiques, mais également en prendre la tête : la conduire.

Les règles de la vie : Janusz Korczak

Dans un premier temps l’auteur part du constat que les enfants se plaignent souvent de l’école, qu’ils jugent trop ennuyeuse, difficile, et exigeante. Pour y répondre, Janusz Korczak en appelle à une ouverture d’esprit et à une prise de recul des enfants, qui doivent pouvoir réaliser que l’école n’a pas toujours été aussi agréable que la leur, et qu’elle ne l’est pas partout : « Il me semble que si les écoliers savaient comment étaient les écoles autrefois, et comment elles sont ailleurs, ils cesseraient de se plaindre et aimeraient davantage leur école »

Le deuil à vivre : Marie-Frédérique BACQUE

Toutes les civilisations sauf la nôtre ont apporté des réponses qui aidaient au deuil. Les mourants et leurs proches restent les plus souvent seuls, désorientés, désarmés, dans une société qui refuse la douleur, qui valorise le plaisir, la jeunesse et la performance. Au moment où les religieux et les rites s’effacent, où la communauté se disjoint, Marie Frédérique BACQUE montre qu’il est de notre devoir d’inventer les moyens de faire face à l’écoulement du temps et aux drames qui accompagnent le mouvement même de la vie.

La violence faite aux hommes : Yvon DALLAIRE

Avant d’être physique, la violence se manifeste souvent de manière psychologique et/ou de manière verbale. Il existe un tabou profondément ancré dans notre société : la femme violente et l’homme victime. Toute violence féminine est alors interprétée comme de la légitime défense ou comme une manifestation incontrôlée de réactions physiologiques. On dénie à l’homme la possibilité que, lui aussi, puisse réagir en légitime défense. Il est censé avoir appris à contrôler ses réactions émotives et agressives, lui.

On rend donc l’homme responsable de toute la violence conjugale. Combien d’hommes ont passé une nuit en prison sur simple allégation de violence de la part d’une femme ? Un policier d’un corps de police d’une ville très importante du Québec confirmait qu’ils « embarquaient » l’homme même s’ils soupçonnaient la femme d’être la réelle initiatrice de la violence. « Nous avons reçu comme directive implicite de séparer l’homme de la femme en l’amenant, lui, au poste et en l’enfermant ».

Connexion

Assistant de service social

Abonnement

Recherche