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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

L'enfant en miettes : Pierre Verdier

L'enfant en miettes : Pierre Verdier

En choisissant le thème « Protection de l’enfance », j’ai voulu avoir la possibilité d’étudier un sujet apriori intéressant pour moi mais totalement inconnu jusqu’alors. Cette méconnaissance m’est apparue flagrante dès les premières pages. En effet, je savais en quoi consister les placements des enfants mais je n’avais pas véritablement conscience des impacts extrêmes pesant sur l’enfant placé.

Au contraire, je voyais en cette disposition une chose tout à fait bénéfique pour l’enfant : on lui redonnait un cadre sain et familial correct pour qu’il puisse se construire en toute quiétude. Mais j’ai pu connaitre d’autres alternatives au placement qui peuvent se révéler moins néfastes pour l’enfant. Tout au long, l’auteur ne cherche pas à nous faire part de ses convictions personnelles mais bien au contraire, il nous guide vers une réflexion axée sur l’enfant et ses attentes, sur sa famille d’origine et ses besoins…

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
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L’émeute de novembre 2005 : Mauger Gérard

Gérard Mauger tente, dans ce livre, de faire une sociologie de l’actualité en s’intéressant à l’émeute de novembre 2005. L’élément déclencheur trouve son origine le 27 octobre 2005, alors que deux jeunes - Zyed Benna et Bouna Traoré- sont morts électrocutés dans un transformateur EDF à Clichy sous-bois alors qu’ils tentaient d’échapper aux forces de police. Ce fait divers va très vite susciter colère et indignation des proches des victimes qui dénoncent ces « morts pour rien ».

Mais l’évènement est inédit car cette indignation va s’étendre à l’ensemble du territoire français. Gérard Mauger va ainsi s’appuyer sur diverses ressources pour relater les faits. Il va décortiquer la presse, les propos rapportés des magistrats et de la police -tout en n’ayant pas accès aux archives policières- il va également mobiliser des discours politiques ou encore des ouvrages sociologiques. Cependant, G.Mauger s’aperçoit très vite que les versions livrées par les différents protagonistes ne concordent pas forcément voire, sont contradictoires ce qui fait « de l’évènement une affaire ambiguë »

Le déni des cultures : LAGRANGE Hugues

Paru en 2010, « Le déni des cultures » a fait polémique. D’aucun ont contesté les chiffres de l’ouvrage en parlant « d’approximation » et « d’une volonté de grossir le problème », tandis que d’autres déploraient une « tentative de lynchage médiatique » dirigée contre Lagrange. Ceux-là ont salué « la réflexion nuancée, étayée, éclairante, pragmatique, dépourvue de toute idéologie péremptoire » de l’auteur

« Ni putes Ni Soumises » De Fadela Amara

Chose alors impensable pour Fadela Amara, le 8 mars 2003, plus de 30000 personnes, dont beaucoup venaient de banlieues, défilaient derrière le slogan « Ni putes ni Soumises ». Après des années de luttes féministes, quelques filles de cités parvenaient à mobiliser les principaux acteurs de la société française. Ce mouvement de protestation débuta par un tour de France des villes de ce pays à la rencontre des élus, des habitants et via des conférences de presse. Le but : dénoncer les tournantes et les violences masculines ! A l’origine de cette marche, deux événements : le meurtre de Sohanne, brûlée vive, le 4 octobre 2002, dont sa sœur Kahina dénonça la violence.

Le livre de Samira Bellil, paru quelques mois plus tôt, et intitulé « Dans l’enfer des tournantes », décrivait l’histoire de ces filles violées pour n’avoir pas caché ce qui en elle reflétait leur féminité. Mais la pression exercée dans les cités les vouait au silence et enfermait le quartier dans le tabou. Pourtant, Samira n’excusait pas mais parvenait à comprendre ces jeunes hommes.

Cœur de banlieue codes, rites et langages de David Lepoutre

L’ouvrage Cœur de Banlieue: codes rites et langages a été créé à partir des observations de David Lepoutre pendant la période où il enseignait comme professeur d’histoire-géographie dans un collège situé en ZEP (Zone d’Éducation Prioritaire). David Lepoutre est issu d’un milieu bourgeois il est surpris par la nature des relations interpersonnels des jeunes collégiens entre eux : violence physique, violence psychologique mais aussi violence du langage.

Ce milieu est une découverte pour lui, la majorité des élèves fréquentant ce collège est issu du grand ensemble situé à côté du collège, la cité des Quatre Mille. David Lepoutre s'est surtout servit de la méthode qualitative, on peut le voir notamment avec les extrait de son carnet de bord qui nous relate des expériences qu'il a vécu durant ses années à la Courneuve, il nous fournis ainsi des descriptions de ce qu'il a vu mais aussi des échanges de conversation. David Lepoutre a réaliser son livre avec une méthode ethnographique, c'est à dire qu'il s'est immergé dans la banlieue en y habitant, en travaillant et même durant son temps libre en pratiquant un sport de combat. Il a aussi réalisé des entretiens formels et informels avec les jeunes, qu'il a rapporté dans son journal de bord mais aussi à l'aide d'un enregistreur. Lepoutre a eu recours à une bibliographie portant sur la sociologie de la jeunesse, la violence, l’urbanisme, le sport, le rap…

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