LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

Hannah Arendt : Considérations morales

Hannah Arendt : Considérations morales

Cet ouvrage m’a permis de réfléchir à ma future profession. En effet, je peux être amené à rencontrer des personnes ayant commis des actes graves. Le concept de la banalité du mal peut m’aider à comprendre leurs réactions, l’impossibilité pour eux de se rendre compte de leurs actes.

Pour conclure, H. Arendt démontre son concept de la banalité du mal. En effet H. Arendt a assisté au procès Eichmann. Pour elle, il n’est ni un homme méchant ni motivé mais il est incapable de pensé. Cette incapacité de penser ne lui a pas permis connaitre le rapport de soi à soi-même et donc Eichmann ne pourra jamais se rendre compte de ce qu’il a dit ou fait. Cependant l’incapacité de penser est présent en chacun de nous, Eichmann et coupable d’avoir arrêté de penser. Continuer de penser est la condition pour ne pas sombrer dans la banalité du mal.

Catégorie: Fiche de lecture Assistant de service social
Type de fichier: application/pdf
Historique du document:

0

Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

La soumission à l’autorité : Stanley Milgram

Cet ouvrage vient bouleverser les idées reçues dans la mesure où, selon l’auteur, l’autorité a des conséquences non négligeables, même inquiétantes sur les individus. En effet, un individu se soumettrait très facilement à l’autorité, et cette soumission altérerait en lui de nombreux aspects. Elle serait dans la capacité de transformer un individu jusqu’à tel point qu’il serait capable d’actes de grande cruauté, même si ces derniers provoquent chez lui un état de stress et d’anxiété très importants, un conflit entre la conscience et cette autorité, et une dissonance cognitive difficilement résolvable.

Vers de nouvelles pratiques participatives? Sous la direction de Aline Bingen et Mejed Hamzaoui

La revue Les Politiques Sociales a retenu huit articles pour approfondir les thèmes de l’intervention sociale et développement abordés au troisième congrès de l’AIFRIS l’Association Internationale pour la Formation, la Recherche et l’Intervention Sociale partenaire de la revue. Aline Bingen2, maître de conférence et Mejed Hamzaoui3, chargé de cours à l’Université Libre de Bruxelles ont assuré la coordination de ce numéro par des contributions de différents auteurs, professionnels, chercheurs.

Ces derniers au cours d’analyses, d’expériences à travers l’Europe et le monde ont relaté le concept des pratiques participatives dans le champ de l’intervention sociale afin de déployer le DPA. Le développement du pouvoir d’agir DPA, J. Rapaport4 définit cette notion comme « un processus, un mécanisme par lequel les personnes, les organisations et les collectivités développent un contrôle sur ce qui est important pour elles. Par conséquent ce processus prendra différentes formes selon les personnes, les organisations ou les contextes. » L’expression « pouvoir d’agir » des individus et des collectifs est initialement la traduction du concept d’origine nord-américaine « Empowerment ». 

Le ghetto français

Le début de ce chapitre est un début d’explication sur le pourquoi du comment la situation est ce qu’elle est aujourd’hui. On y observe aussi les différentes politiques de la ville qui son menées. On obtient ainsi une réponse partielle et donc un léger panel de ce qui est mis en œuvre pour répondre aux multiples problèmes que pose le séparatisme social.

Le modèle Espagnol

L’objet de cet ouvrage est de s’interroger sur le processus de construction identitaire des jeunes français et espagnols jusqu’à ce qu’ils acquièrent une autonomie et une indépendance totales à l’égard de leurs parents. Le moment de départ des jeunes de la maison familiale a reculé durant les trente dernières années en Europe. Cependant, entre l’Espagne et la France, proches géographiquement, culturellement et économiquement, il existe de grandes différences confirmées par les statistiques de l’INSEE : - En 1987, 49% des Espagnols de 25 à 29 ans et 14% des Français habitent chez leurs parents. - En 1996, 68% des Espagnols de 25 à 29 ans et 18% des Français habitent chez leurs parents.

Connexion

Assistant de service social

Abonnement

Recherche