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Assistant de service social

L'assistante de service social, qui est parfois spécialisé (drogue, alcoolisme, santé scolaire, enfance en danger…), apporte aide et soutien à des personnes, familles ou groupes en difficulté, en les aidant à s'insérer socialement ou professionnellement.

L’insertion des patients au sein de la société : les unités de resocialisations.

L’insertion des patients au sein de la société : les unités de resocialisations.

Lorsque le projet de sorti s’associe à un désir d’appartement autonome, l’équipe va alors devoir se centrer sur les capacités du patient, et sur une recherche motivée de développer son autonomie. Un maintien durable sur l’extérieur semble nécessiter un partenariat avec les structure extérieurs, favorisant ainsi l’insertion du patient tant sur le plan relationnel que géographique. Le soutien de la famille, représente notamment un appui considérable dans la réalisation d’un projet de sortie.

Dans une recherche d’insertion sociale, quelle est la place de l’assistant de service social ? Jusqu’où peut-elle accompagner le patient dans ses projets ? Peut-elle avoir un rôle de médiation entre l’équipe, le patient et l’extérieur ? Le lien entre l’hôpital et l’extérieur est-il assez présent pour permettre un travail partenarial et le maintien dans le temps d’une vie en dehors de l’hôpital ?

Catégorie: Mémoire Assistant de service social
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La sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence, association dans laquelle j’ai effectué mon stage, représentait pour moi, la possibilité de pouvoir me mettre en relation avec les différentes problématiques liées à l’Enfance en Danger. Après avoir effectué mon stage de première et de deuxième année dans le secteur de l’aide aux Personnes Agées, j’ai souhaité , dans le cadre de mon expérience professionnelle de troisième année, découvrir un nouveau public. J’ai donc été confronté à la fois aux jeunes enfants et aux adolescents, ce qui représentait pour moi, une population intéressante avec laquelle je voulais évoluer durant ces cinq mois. l’I.S.S.H.A. offrant la possibilité aux étudiants d’effectuer leur stage à l’étranger, j’ai choisi d’orienter mon choix vers la ville de Grenoble. Originaire du Nord de la France, je voulais découvrir une des grandes villes françaises.

C’est donc au sein de l’équipe de la Sauvegarde de l’Enfance et de l’Adolescence du département de l’Isère que j’ai accompli mon travail d’assistante sociale. J’ai été amenée à rencontrer des familles au sein desquelles il existait un contexte de danger pour l’enfant. Bien que multiples, les raisons du danger encourues par l’enfant sont fréquemment liées à la souffrance que celui-ci manifeste face à la séparation de ses parents, séparation souvent conflictuelle. Les situations pour lesquelles j’ai été amenée à intervenir régulièrement me confrontaient à cette dure réalité. Interpellée par la souffrance, la détresse de ces enfants, j’ai décidé d’orienter mon travail de fin d’études sur cette problématique m’a particulièrement interpellée. 

Grandir sans maison… Quel avenir pour les enfants sans domiciles ?

La pauvreté n’a pas de saison, elle n’a pas d’âge non plus. Souvent il est question d’homme, mais ils peuvent être aussi des femmes, des enfants. C’est de ces derniers dont traite ce mémoire d’initiation à la recherche. Les enfants pauvres sont de plus en plus nombreux, mais au-delà de l’enjeu politique qu’ils peuvent représenter qu’advient-il de ces jeunes qui commencent leur parcours de vie dans ces conditions ? Comment le vivent-ils ? Qu’est-il mis en place pour eux ? Quelles répercussions sur leur avenir ?

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Parmi elles, 100 000 seraient considérées comme « errantes » sur la voie publique et 100 000 seraient pris en charge par des structures d’hébergement hors centres d’hébergement d’urgence. En prenant en compte ces derniers, le chiffre des personnes qui sont accueillies en centre d’hébergement s’élèverait à 600 000 . Les autres bénéficieraient d’hébergement en chambre d’hôtel ou dans des abris de fortune ou encore hébergés par des tiers dans des conditions difficiles. Quelques soient les situations, elles ont comme point commun l’absence de logement autonome. Ce public, dont la typologie a évolué avec le temps, a été diversement qualifié selon les périodes. Appelé après la seconde guerre mondiale « sans-abri », puis en 1954, « sans-logis », il est communément nommé aujourd’hui : Sans Domicile Fixe (SDF).

L'alcool en entreprise et les réponses institutionnelles

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