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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Histoire de l'Education

Histoire de l'Education L’autorité axée sur la pédagogie: l'éducateur fait passer son autorité derrière l'organisation pédagogique et spatiale de l'environnement. Le respect des règles est exigé au nom de l'accomplissement de la tâche et de sa qualité. Ici, l'autorité n'est pas seulement affaire de personnalité, de stratégie d'attitude mais dépend plutôt de: Commandement axé sur des consignes claires sur la qualité et la quantité de l'acte à fournir. Une rigidité\souplesse pédagogique: l'exigence varie selon les capacités et réussites du jeune individuellement La pédagogie des explications est axée sur la clarté pour une meilleure compétence. On insiste sur les explications, les mises en situation, les répétitions, les interrogations sur leur compréhension, et l'application.
Catégorie: Travaux U.F. Moniteur-éducateur
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Documents associés

Vie quotidienne : La collation de dix-sept heures
Pour P. Gaberan (2004), le moniteur éducateur est « un organisateur de la vie quotidienne », en effet, même s’il intervient sur les différentes activités de jour de la personne accompagnée (temps scolaire, temps d’apprentissage ou temps de travail), ce professionnel accompagne tout autant le résident (enfant ou adulte) dans les temps du « avant et/ou après » les activités, ces temps libres qui peuvent être le lever, la toilette, les repas, les devoirs, les veillées, les week-ends, les vacances... et par cet accompagnement, l’éducateur partage le quotidien de l’usager. Lors de mon stage de première année, il y a un moment, un temps précis du quotidien du foyer et des résidents qui parallèlement faisait partie de mon propre quotidien : la collation de dix-sept heures. Dans un premier temps, je définirai la notion de « quotidien » et présenterai le moment de la collation au foyer de « la chaussée Haut » ; dans un second temps, j’analyserai la portée éducative de ce temps journalier, dans un troisième temps je rendrai compte du pourquoi et du comment de mon positionnement en tant que stagiaire durant cet instant et enfin, dans un quatrième temps, je démontrerai comment la notion de projet intercède dans le quotidien du foyer et des résidents. Le but de cet écrit est de pouvoir démontrer que ce temps du quotidien qu’est la collation de dix-sept heures n’est pas seulement un moment « banal » dans la vie de l’usager et de l’éducateur, mais est aussi véritablement un temps éducatif profitable aux deux. I) Le quotidien 1) Qu’est-ce que le « quotidien » ? Selon le Larousse, le quotidien est : « Qui se fait chaque jour, qui relève de la vie de tous les jours et n'a donc rien d'exceptionnel : Des tâches des plus quotidiennes » (1), cette définition nous renvoi à la description plutôt péjorative que Claude Javeau (2011) nous fait du quotidien en associant ce concept à tout ce qui est du « jour-le-jour » sans grand intérêt, voir même routinier ». D’après Joseph Rouzel, (1995) « Le quotidien est un espace de répétition de l’archaïque et en même temps un lieu d’intervention et de création, le lieu de la rencontre entre les humains. » « Lieu de la rencontre entre les humains », ce qui définit exactement ce temps du quotidien qu’est « la collation » de dix-sept heures.
DC1 - Atelier esthétique et bien-être

Un peu plus d’un an après mon arrivée dans l’institution, mon chef de service me demande si je souhaite participer à  un atelier.

L’idée me séduit car cela m’offre à ce moment-là une possibilité de découvrir les personnes accueillies sous un autre aspect. En effet, jusque là je m’occupe essentiellement des résidents lors des toilettes, des repas et des changes. Les côtoyer dans un autre cadre, en dehors du groupe et du quotidien reste pour moi l’occasion de les percevoir différemment et de rentrer en relation plus individuelle avec eux.

Me reste ensuite à faire le choix de l’atelier. Ayant acquis au cours de ma formation d’infirmière quelques notions de base concernant le maquillage et les massages, à travers des cours pratiques et théoriques, je décide d’opter pour l’atelier esthétique.

L'annonce du Handicap autour de la naissance

En première année de formation de Moniteur Educateur, nous avons eu un cours sur l’annonce du handicap. L’intervenante nous transmettait au travers ses 30 années d’expérience professionnelle combien la façon d'annoncer une naissance différente  a pu évoluer. Elle nous expliquait qu’au début de sa carrière, il n’était pas rare que les médecins proposent  aux parents d’abandonner leur bébé disant même "Vous en ferez un autre", ne prenant absolument pas en considération l’enfant qui venait de naître, ni la douleur que pouvait ressentir les parents. 

Sans doute fallait-il y voir beaucoup de maladresse mais aussi  la peur que pouvait susciter une telle naissance. Henri Jacques Stiker écrit dans un texte intitulé l’infirmité est le miroir de notre monde : "la rencontre avec le handicap est violente, elle bouscule notre narcissisme, l’idée de ce que nous voulons être, de ce que nous sommes, elle n’est jamais indifférente".

Cela soulève donc la difficulté pour les professionnels de nommer l'arrivée de cet enfant "pas comme les autres" mais aussi pour les parents d'admettre une telle vérité

Quoi qu’il en soit, nous savons aujourd’hui que cette annonce est déterminante pour les relations futures des parents avec leur enfant, et des efforts considérables ont été fait pour que les parents rencontrent d'abord un enfant et non un handicapé.

Quel travail s'attache t-on alors  à réaliser auprès de ces parents pour qu'ils puissent dépasser le choc et accueillir leur enfant ?  

Un meurtre de corbeau S.Benson - Note de lecture

Roland Vidal, veilleur de nuit dans une institution pour handicapés mentaux, découvre lors d’une de ses rondes, le corps inanimé de Katia, petite trisomique, en travers de la route. Plus tard c’est le corps sans vie d’Armand, un autre résident, qu’il découvre dans son lit.

Pour le veilleur de nuit, il va de soi qu’il a affaire à des meurtres et que cela ne peut qu'être le fait d'un membre du CAT (centre d’aide par le travail).

Pour le capitaine de la gendarmerie, Roland, ex-peintre reconnu et surtout ex-toxicomane, est le coupable idéal d’autant plus que le directeur du CAT, Jean-Pierre émet des suppositions quand à sa culpabilité.

Pour Roland il ne fait aucun doute qu’il est la victime d’une manipulation et que quelqu’un veut le faire tomber.

Il va alors entreprendre une course effrénée pour tenter de prouver son innocence.

Pour cela, il va devoir rouvrir de vieilles blessures de son passé, partir à la recherche de souvenirs enfouis et surtout tenter de comprendre les trous noirs qui constituent une partie de sa vie.

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