LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Histoire de l'Education

Histoire de l'Education L’autorité axée sur la pédagogie: l'éducateur fait passer son autorité derrière l'organisation pédagogique et spatiale de l'environnement. Le respect des règles est exigé au nom de l'accomplissement de la tâche et de sa qualité. Ici, l'autorité n'est pas seulement affaire de personnalité, de stratégie d'attitude mais dépend plutôt de: Commandement axé sur des consignes claires sur la qualité et la quantité de l'acte à fournir. Une rigidité\souplesse pédagogique: l'exigence varie selon les capacités et réussites du jeune individuellement La pédagogie des explications est axée sur la clarté pour une meilleure compétence. On insiste sur les explications, les mises en situation, les répétitions, les interrogations sur leur compréhension, et l'application.
Catégorie: Travaux U.F. Moniteur-éducateur
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Objectifs de stage
Aujourd’hui au sein de chaque établissement l’exercice des droits et libertés individuels est garanti à toute personne prises en charge. Des dispositifs sont mis en place afin de garantir l’exercice effectif de l’ensemble de ces droits. En effet, ils impulsent une dynamique institutionnelle dans laquelle j’ai pu m’inscrire durant mon stage de seconde année, en participant au diverses actions proposées dans le respect de la personne accueillie. J’ai effectué mon stage dans un foyer d’hébergement Cette structure fait partie de l’association « AVENIR-APEI », régie par la loi du 1er Juillet 1901.
DC2 : Le sceau d’un langage commun
A mon arrivée en stage, j'ai rapidement estimé que la pièce de vie commune était austère pour un public adolescent. Interrogeant mes collègues à ce sujet, j’ai appris que les précédentes décorations n'ont jamais perduré lors des renouvellements de groupes de jeunes. Ce constat m’a permis d’émettre l'hypothèse suivante. Si l'objet de décoration ne correspond pas aux mêmes codes culturels et qu'il ne suggère pas l'appartenance identitaire avec un certain attachement affectif ; il n'implique pas le respect de ce dernier. En l’occurrence, ces jeunes sont majoritairement influencés par le hip-hop, le rap et les tags. De ce fait, il m’apparaissait pertinent de proposer une activité autour de la pratique et des cultures issues du graffiti.
La violence dans les institutions
Chaque personne a des difficultés personnelles, mais lorsque ces personnes agissent ensemble le phénomène de toute puissance apparait. Par exemple, un professionnel ayant des difficultés peut mettre à mal le reste de l’équipe dans la mesure où cela se ressent sur son travail. Aussi, du côté des usagers, Jacques Danancier évoque les rassemblements d’enfants de 10-12 ans qui deviennent des groupes, de là, surviennent des violences où seul le rapport de force peut les arrêter.
Observation clinique dans un foyer d'action éducative
Après avoir roulé pendant plus d’une heure dans Paris, on arrive enfin à destination à savoir dans un hôtel formule 1 situé à SAINT DENIS dans le 93.Mais pour des raisons de sécurité nous sommes obligé de nous garer sur le parking d’un Macdonald situé juste à côté de l’hôtel. Florent et Nicole me demande alors si cela ne me dérange pas de rester avec les jeunes pendant qu’eux vont payer la réservation afin que l’on puisse rentrer le vanne, le déchargé et commencer le plus rapidement possible notre visite de Paris. Je réponds nom et j’accepte même avec plaisir car cela montre toute la confiance qu’ils m’accordent. Me voilà donc sur un parking avec six jeunes du foyer et pour tuer le temps nous décidons de fumer une cigarette et de parler du voyage notamment d’un jeune qui a ronflé tous le voyage. Quand subitement un des jeunes dont je sais qu’il est un consommateur régulier de cannabis me lancent sur une conversation en lien avec le shit. Il commence par me dire qu’il a une boulette sur lui et qu’il aimerait bien « rouler un petit joint ».

Sachant très bien qu’il me provoque pour me tester et pour alors rentrer dans jeux je lui réponds « sort ton matos et roule ton joint si tu as vraiment envie de fumer ton petit joint ».Déstabilisé par ma réponse, il finit par me dire qu’il n’a rien sur lui et qu’il voulait savoir qu’elle serait ma réaction. Ne sachant pas réellement s’il disait la vérité et n’ayant pas le choix que de le croire surtout après qu’il m’ait donné l’autorisation de le fouiller, je décide de me lancer dans un discours afin de lui faire peur et de le pousser ma me donner sa boulette si vraiment il en avait sur, lui ce dont j’étais incapable de savoir mais j’ai décidé de faire comme si c’était le cas. Pour cela je commence par lui faire un rappel à la loi mais ça n’a que très peu d’effet dans la mesure où il me répond qu’il connaît les sanctions aussi bien au niveau de la loi elle-même que du règlement du foyer. Ensuite je lui explique les risques qu’il prend aussi bien pour lui que pour tout le groupe en se promenant dans Paris avec du cannabis. En effet je tente de lui expliquer que les probabilités pour se faire contrôler dans Paris et surtout dans le métro sont beaucoup plus importantes que dans une petite ville comme Périgueux avec notamment la mise en place du plan vigie-pirate. Ne sachant pas ce qu’était le plan vigie-pirate je lui explique alors en quoi ça consiste. Et que si jamais il se faisait contrôler avec quelque chose sur lui nous risquions tous de finir au poste et qu’il prenait donc le risque de nous gâcher notre week-end. Et je dois dire que j’ai pu constater chez ce jeune une réel inquiétude et je pouvais affirmer à 95 pour-cent qu’il n’avait vraiment rien sur lui ou si c’était le cas qu’il ne prendrai pas le risque de se promener avec du cannabis dans Paris.

Connexion

Moniteur-éducateur

Abonnement

Recherche