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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Atelier Makaton et atelier découverte

Atelier Makaton et atelier découverte Les séances se dérouleront le mardi après-midi de 13h30 à 15h15 au groupe scolaire dans la salle du fond côté classe IMPro. Un temps de préparation de 30 minutes est nécessaires pour un bon déroulement de la séance, les jeunes adultes seront dans la même salle et analyseront les pictogrammes. Après ce temps de préparation, nous passerons par différents ateliers : -Signer et vocaliser -Mise en lien pictogrammes et signes et inversement -Mise en place de différents jeux (lotos, lecture d’images, memory, jeux de familles, jeux d’observation,…) -Mise en place d’outils MAKATON (porte clé pictogramme, planning à la semaine, planning journée…) Dans le cadre de l’atelier, j’ai mis en place un cahier où nous avons traduit en pictos des chansons, des recettes de cuisines, des photos des phrases qu’ils avaient produit… En lien avec le projet individualisé de chaque jeune, un semainier ainsi que des portes clé pictogrammes ont été confectionnés. J’ai fléché en picto les différents lieux importants orthophonistes, sous-traitance, mini entreprise…
Catégorie: Travaux U.F. Moniteur-éducateur
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Documents associés

DC3 : Stage dans une résidence mère-enfants
Lors de ce stage, je me suis questionné sur les attendus, les projets des mères accueillies. Qu’attendaient-elles de la structure et des personnes qui y travaillent ? Qu’est-ce qu’elles souhaitaient pour elles et leurs enfants ? Que comprenaient-elles de ce que l’institution attendait d’elles ? Qu’étaient- elles en mesure de changer dans ce qui les avait conduites à intégrer la structure ? L’observation que j’ai pu faire a mis en évidence que les résidentes de la structure se montraient le plus souvent peu intéressées par le projet mis en place à leur arrivée et formalisé par la signature d’un contrat. Ainsi, après vous avoir présenté le cadre institutionnel de mon lieu de stage ainsi que le cadre du travail en équipe, j’ai pris appui sur les constats réalisés.
Histoire du conte
L’histoire que je vais vous raconter s’est passée il y a peu de temps. J’avais choisi, pour cette semaine de détermination, le conte. Tout à commencer lorsque j’ai ouvert la porte de la salle 101 ce lundi 28 novembre. Je ne savais pas encore que je m’embarquais pour un voyage aussi loin, avec à bord un groupe de huit personnes plus l’intervenante. Nous sommes partis au brésil pour sauver les pingouins en voie de disparition, nous sommes devenus des fourmis, des papillons, des atomes, des géants…
DC 1 : A la rencontre de l'ennui
Au long de mes deux stages, j’ai pu constater que la vie en institution pouvait être aliénante. Le rythme de vie est institutionnalisé, soit en lien avec l’emploi du temps des professionnels, soit en lien avec les attentes qu’ont les familles ainsi qu’avec le projet individualisé des usagers. Celui de chaque résident est organisé par des prises en charge de soins physique et/ou psychique, d’ateliers, de sorties, de loisirs, de sports... Cet accompagnement me semble nécessaire, afin de permettre à la personne d’avancer dans ses démarches de soins, de socialisation, de projet professionnel. Cependant, des instants qui pourraient permettre aux usagers de se retrouver seuls, me semblent importants. Serait-il nécessaire de dégager des temps libres, de façon institutionnelle, afin que les personnes puissent prendre des moments pour eux ? Je me suis beaucoup interrogée sur les temps libres dont disposent les personnes accueillies. Ils ne sont pas réfléchis de la même manière, selon ce qui a amené à cet accueil, l’institution, le public et l’âge. Comment peut-on préserver leur intimité lorsque l’institution ne laisse que peu de place à ces moments ? Mais alors, que se passe-t-il durant ces moments ? Comment dans une institution, où chaque minute est organisée, ces personnes peuvent-elles faire face à elles-mêmes ? D'après mes observations, ces personnes étaient rapidement envahies par l’ennui. Celui-ci, souvent perçu comme négatif « est synonyme de désoeuvrement, pouvant parfois être mortifère, sur son versant « positif », l’ennui permet à l’enfant de développer son imaginaire, sa créativité et de penser. Mais pour que celui-ci soit constructif, il s’avère nécessaire que l’enfant ait « appris » à s’ennuyer très tôt et qu’il puisse trouver dans son environnement de quoi y pallier par lui-même2 ». Dès lors, comment l’équipe et moi-même pouvons nous le travailler avec les personnes accueillies, et lui laisser la place dans la construction de l’être ?
DC3 - Grandir et se construire avec la télévision

Je travaille sur un poste de coordination des équipes d’animation au sein du pôle jeunesse dans un centre social. La structure accueille des familles du territoire et propose des activités de loisirs et des ateliers pratiques comme supports d’un accompagnement global. Au sein du pôle jeunesse, nous proposons des accueils de loisirs pour les enfants de 3 à 9 ans et de l’accompagnement scolaire du lundi au vendredi pour des jeunes du CP à la 3ème.

En 2013, suite à un constat partagé avec la référente parentalité, nous avons travaillé avec les familles autours de la thématique des jeux vidéo violents. Lors d’ateliers sur les séances d’accompagnement scolaire, à travers le témoignage des enfants, l’équipe a mis en évidence qu’audelà des problématiques que peuvent poser les jeux vidéo, les enfants passent beaucoup de temps devant la télévision. Des élèves de primaire nous ont parlé de films visionnés après 22h, d’autres racontaient leur rendez-vous quotidien avec une émission, certains parents admettaient ne pas toujours savoir ce que regardent leurs enfants. Ces témoignages m’ont amenée à me questionner, à en discuter avec les animateurs. Lors des discussions quotidiennes, les animateurs de l’accueil de loisirs ont posé des questions aux enfants dès 3 ans sur leurs pratiques télévisuelles, des réponses similaires que sur les ateliers AS ont été données. Même si une certaine exagération de certains enfants a été mise en évidence (« moi je regarde la télé toute la nuit »), il apparait que la télévision est une pratique très ancrée dans le quotidien des familles, quel que soit l’âge des enfants.

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