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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Les jeunes en errance

Les jeunes en errance Ce travail avec Stéphanie n'est pas un échec. Comme je l'ai souligné, il ne faut pas précipiter les choses, car le véritable échec est là, lorsque nos envies prennent le dessus sur les envies de ces jeunes. L'éducateur est un acteur de changement, en amenant aux personnes la possibilité de penser, de passer progressivement du rejet au projet et qu'elles deviennent actrice de leurs propres évolutions.
Catégorie: Mémoire Moniteur-éducateur
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Documents associés

Réflexion sur l'expérience éducative
Dans une première partie, je parlerais du jeu d'un point de vue théorique, notamment autour des définitions possibles ainsi que le jeu dans le développement de l'enfant. Ensuite, j'exposerais pourquoi les enfants ont besoin de jouer, selon D.W Winnicot particulièrement. Puis, nous verrons ce que le jeu apporte en terme de socialisation et comme support relationnel. Je m'interrogerais également sur la necéssité de l'éducateur à être présent lors de jeux. Dans une seconde partie, j'exposerais trois situations qui m'ont permis de « penser » le jeu de différentes façons, en faisant une analyse et un lien entre la théorie et ma pratique.
Les enjeux de la vie en communauté de la relation entre individue aux régles de vies du quotidien

Les situations évoquées ici sont issues de mon stage long en IEM (Institution d’Éducation Motrice), établissement géré par l'APF (Association des Paralysés de France). L'IEM se donne pour mission d'accueillir et d'accompagner des enfants et adolescents âgés de 4 à 18 ans présentant une déficience motrice avec ou sans troubles associés. Il propose trois formes d'accueil : internat, semi-internat et accueil temporaire. Les accompagnements regroupent  les soins et les rééducations, l'éducation spécialisée, la scolarité et l'inclusion scolaire, l'accompagnement de la famille et la préparation des orientations successives. Au cours de ce stage, j’ai pu m'inscrire dans l'équipe éducative reliée à la SEHA (Section d’Éducation avec Handicap Associés) des « moyens » (jeunes de 10 à 16ans), composée d'une coordinatrice, d'éducateurs spécialisées, de moniteurs éducateurs, d'aides médico-psychologiques,  d'aides soignants et de veilleurs de nuit. (Précision nombre à venir). Ce SEHA à pour objectifs : le développement de l'autonomie, la poursuite de la structuration de la personnalité et les apprentissages. Je me suis intéressé particulièrement à la vie en communauté de ces enfants  dans le sens où  leurs actes et leur comportement m’ont semblé en être parfois étroitement dépendants. De l'assimilation des règles de vie à  la gestion de conflits au quotidien, je vais tenter de développer mon implication dans ce projet éducatif,  d’abord de par les postures que j'ai adoptées selon les situations, ensuite par le biais d'une activité que j'ai mises en place avec deux jeunes ,sur le thème des règles de vies.

Image du corps, hygiène et désocialisation

Le corps prend une place prépondérante dans notre société moderne. Siège de notre individualité, il se trouve également à la croisée des chemins entre cette individualité et la société qui juge sa présentation. Justement, l’apparence corporelle occupe une position privilégiée dans l’établissement des rapports sociaux et elle est l’objet de soins et d’attentions tout à fait particuliers qui se rattachent à l’hygiène corporelle. L’immense diversité des produits de toilette que l’on peut trouver dans les magasins ou encore les modes vestimentaires toujours changeantes poussent à dire que, de nos jours, le corps et son image sont l’objet d’un surinvestissement. On observe qu’un temps et des ressources considérables leurs sont quotidiennement consacrés. Sans même aborder des pratiques liées à des privations ou à des souffrances notoires (régimes alimentaires sauvages, piercings, etc) on constate que tout un chacun a le souci de son image corporelle et se dote de moyens pour la maîtriser. Le corps est alors lavé, soigné et paré. Or, au cours de mes expériences professionnelles au samu social, j’ai constaté que, fréquemment, les personnes accueillies délaissaient totalement leur apparence. Elles arrivaient sales, habillées de vêtements élimés et, souvent, une odeur forte les suivait. Pourtant elles ne semblaient pas s’en soucier le moins du monde, et même parfois refusaient de profiter de la salle de bain mise à leur disposition. Pendant deux ans, j’ai accompagné nombre de ces gens considérés comme de « grands exclus », ou plus populairement, comme des clochards. Plus tard, lors d’un stage dans un CHRS, j’ai remarqué que, là aussi, certains des hébergés délaissaient également leur apparence, bien que dans des proportions moindres. Peu à peu, j’ai pensé que, peut être, le délaissement de l’apparence faisait partie intégrante des parcours de désocialisation et que l’hygiène devrait faire l’objet d’un suivi éducatif à part entière dans un travail plus vaste de réinsertion sociale. Cette simple question en amena d’autres, dont une surtout nous intéresse ici. Selon quelles modalités ce suivi éducatif peut il être mis en place ?

Les carences affectives
Dans le cadre de notre formation de moniteur éducateur, nous sommes amenés, dans le domaine de compétence 3 (D.C.3) intitulé « travail en équipe pluri-professionnelle » à rédiger un dossier thématique. Plusieurs thèmes ont été proposés. Nous sommes cinq à avoir retenu celui des « CARENCES AFFECTIVES » car nous sommes régulièrement confrontées sur nos terrains professionnels à ce sujet qui est pour nous source de questionnement. En effet quel accompagnement doit-on offrir à un public souffrant de carences affectives ? Quelle relation éducative devons-nous adopter avec un enfant présentant des carences ? Comment peut-on répondre à leurs attentes et à leurs besoins ? Quelles sont les conséquences d’une carence affective chez un enfant ? De quels outils disposons-nous pour les sécuriser affectivement ?

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