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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

« La trisomie n’est pas une tare, la trisomie, c’est juste quelque chose en plus, un chromosome »

« La trisomie n’est pas une tare, la trisomie, c’est juste quelque chose en plus, un chromosome » L’enfant doit se rendre compte que certains de ses comportements sont inacceptables et son susceptible de provoquer la réprobation de l’éducateur spécialisé. Limiter l’enfant, c’est le ramener à la valeur de la vie et donc à la socialisation. Enfin l’éducateur est responsable du projet scolaire et voir professionnel du jeune atteint de trisomie 21. Il veille à la cohérence de celui-ci en fonction de l’évolution de l’enfant. Reste à l’éducateur la lourde charge d’insérer cet enfant atteint de trisomie 21 dans une société qui souvent le refuse, mais cela est un autre sujet indépendant de l’enfant.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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DDP en Centre de Soin et d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie

J'ai réalise mon stage dans la structure de *** qui fait partie du Centre de Soin et d'Accompagnement et de Prévention en Addictologie ( CSAPA). Ce centre prend en charge les personnes ayant une problématique d'addiction ou de consommation aux produits psychoactifs (substance qui modifie le fonctionnement normal du cerveau), ainsi qu'aux addictions sans substance. C'est donc une structure d'accueil de jour, où les personnes viennent pour recevoir du soin, des traitements, de l'écoute ou des conseils auprès de différents corps de métier qui composent l'équipe pluridisciplinaire. Le public accueilli est donc très diversifié  aussi bien au niveau des tranches d'âges, de situations sociales, de cultures et de nationalité. C'est un établissement public de la fonction hospitalière qui dépend du Centre Hospitalier Universitaire de ***, dans lequel les personnes peuvent venir et sont garanties d'avoir droit à la gratuité, l’anonymat, et la confidentialité  selon la loi de 1970 relative aux mesures sanitaires de lutte contre la toxicomanie.

Le centre doit répondre à plusieurs missions comme l'accueil, l'information, l'évaluation médicale, psychologique et sociale, l'accompagnement et l'orientation de la personne ou de son entourage. La réduction des risques associés à la consommation de substances est aussi une des missions. La structure peut donc proposer une prise en charge médicale, psychologique, sociale et éducative qui comprend le diagnostic, les prestations de soins, l'accès aux droits sociaux et l'aide à l'insertion ou à la réinsertion.

La socialisation

La socialisation est le processus par lequel la vie et l'activité humaines sont prises dans le réseau des interdépendances sociales. Au cours de ce processus, l'individu n'est pas simplement le lieu de réactions à des stimuli, mais un sujet qui accomplit une mise en forme des données de son expérience interne et externe. Par un processus d'influence mutuelle entre l'individu et son milieu, la socialisation opère une intériorisation des normes et des valeurs, une continuité entre générations. La socialisation assure aux individus une appartenance sociale stable en leur permettant de se situer dans les classements sociaux et aboutit à une régulation des comportements telle qu'elle puisse faire l'économie de sanctions externes.

Étude de population: les psychoses
Qu’est ce qu’un handicapé, si on se réfère à cette citation, un individu qui n’a pas réellement un statut d’être humain? Qui n’a pas accès à notre société ? Au nom de qui, de quoi ? Un individu où la notion d’handicap est constitutive de sa personne ? Pour répondre à ces diverses interrogations, j’ai choisi d’étayer ce dossier grâce à mon premier stage de formation. Je l’ai effectué dans un Service d’Activités de Jour (SAJ) accueillant des adultes déficients intellectuels avec ou sans troubles associés, notamment des psychoses. J’ai choisi de cibler principalement les difficultés et potentialités des usagers du fait de leur psychose tout en me référant également aux conséquences de la déficience intellectuelle ayant un rôle majeur dans la compréhension de mon étude.
La violence carcérale
Les violences en prison sont des faits suffisamment mal connus pour être régulièrement surestimés ou complètement ignorés. Indépendamment de la personne des condamnés, c'est l'institution avec ses pratiques d'exclusion qui semble devoir endosser une partie de ces faits. Toutes les études et recherches réalisées sur la violence en prison butent sur un même constat : la difficulté à aller au-delà de la face émergée de l'iceberg et la résistance de la vie carcérale à son dévoilement. Pourtant, la réglementation pénitentiaire française donne obligation de porter à la connaissance des autorités administratives et judiciaires tout « incident grave » intervenant dans les établissements. Mais elle ne définit clairement ni ce qu'est un « incident » ni à partir de quel seuil il peut être qualifié de « grave ». Le Code de procédure pénale précise néanmoins qu'il s'agit de « ce qui porte atteinte à l'ordre, à la discipline ou à la sécurité ». Comment ces faits sont-ils connus ?

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