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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Le deuil après un suicide

Le deuil après un suicide Autrefois les temps du deuil étaient codifiés ; il s'agissait d'usages sociaux conventionnels. Aujourd'hui les pratiques et les rituels tendent à disparaître et le deuil en est rendu plus difficile à vivre. Beaucoup de familles souhaitent trouver leur propre démarche. Laissons du temps au temps.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

Travail en partenariat et en réseau dans une MECS
J'ai pu observer ce travail en partenariat et en réseau lors de mon stage de deuxième année de formation d'éducateur spécialisé à la MECS. Après avoir brièvement présenté l'institution, je tâcherais de donner une explicitation de ces deux termes que sont « réseau » et « partenariat ». Puis je décrirais la façon dont est pratiqué ce travail par les éducateurs de la MECS. À partir de ce constat, je dégagerais une question autour du travail en partenariat dans cette structure. Ensuite, la synthèse de la rencontre de deux partenaires me permettra de faire émerger les apports et les limites du travail en partenariat et en réseau. Enfin je proposerai une action afin d'améliorer ce partenariat.
L’accueil d’une personne en EHPAD
J’ai effectué mon stage de première année auprès de personnes âgées. Mon questionnement de début de stage était le suivant : je me demandais comment les individus s’adaptaient à l’arrivée en institution. Il y avait, et il y a toujours, pour moi une absurdité dans cette réalité de la vie. Que ce soit une entrée en institution choisie ou contrainte (solitude, dépendance, précarité), les individus doivent s’adapter à des nouvelles règles de vie en collectivité. Cécile Delamarre parle dans cette situation d’une « autre planète »1 que la personne âgée fragilisée doit investir. D’une certaine façon, l’accueil en institution pourrait être considéré comme un dernier rite de passage de la personne. Dans ce stage, ces questions ont eu une influence sur ma pratique. J’ai notamment eu pour mission de passer du temps avec des personnes nouvellement entrées et de les aider à s’intégrer aux autres résidents pour leur épanouissement personnel. Je l’ai fait par de l’orientation, des dialogues, des créations d’activités. En marge de cela, j’ai voulu participer au moment de l’entrée en institution, l’admission. Je me suis présenté à trois admissions, ce qui sur l’ensemble du stage ne représente que peu de temps. A posteriori, je souhaitais étudier ces moments d’accueil, qui je pense sont des moments cruciaux pour la vie de l’établissement et de la personne accueillie.
Dossier travail en partenariat et réseau (DC4)
J’ai effectué mon stage d’Action Sociale et Développement (A.S.D.) en trinôme, au secteur prévention d’un C.C.A.A. , antenne départementale de l’Association Nationale de Prévention en Alcoologie et Addictologie (A.N.P.A.A.). Le stage, d’une durée de douze semaines, a pour objectif principal de développer un réseau et des activités en partenariat afin de contribuer à des pratiques de développement social territorialisé. Suite à des besoins constatés, un projet en partenariat doit être élaboré. Il doit s’inscrire dans une logique institutionnelle et territoriale, afin de construire une réponse avec les acteurs locaux. J’ai choisi d’axer ma démarche d’élaboration et de mise en œuvre d’un projet avec pour objectif de créer du contact avec des associations qui interviennent dans les quartiers de la ville de S*, ainsi qu’avec les jeunes qui y sont adhérents.
La parole face à la violence
Pour définir le terme violence j’ai retenu les définitions de J. BERGERET et H. GARAT parce qu’elles ont été révélatrices pour moi. Auparavant, je prenais la violence comme souvent gratuite, en réponse à une provocation ou pour se confronter à l’autre. Aujourd’hui je me rends compte qu’elle a un sens, une symbolique, peut être en lien avec une souffrance, une difficulté d’expression verbale… C’est pourquoi je pense que la violence verbale et physique des jeunes en Mecs est une force de vie qui s’exprime en réponse au cadre que l’éducateur tente de mettre en place et qui représente une menace pour le jeune. La parole est quand à elle, non seulement un moyen de communiquer, d’échanger, mais offre également la possibilité d’exprimer et de verbaliser des ressentis, des pensées, d’expliquer des comportements. Ce qui lui donne sa valeur, c’est le sens qu’on lui donne, elle permet aux jeunes d’accéder à la symbolisation de leurs actes. Il est important que les jeunes puissent mentaliser leurs actes (violences physiques et verbales), pour réfléchir, s’interroger intérieurement, tenter de comprendre la cause de leur mal être et les conséquences de leurs comportements. La place de l’adulte est importante. L’éducateur doit instaurer des espaces de communication afin que les jeunes puissent exprimer leurs maux par des mots et surtout leurs permettre de donner du sens. Ce n’est que par le sens qu’on lui donne, que la parole a une valeur essentielle de contrôle des pulsions, de la violence, permettant ainsi l’accès à la socialisation.

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