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BTS ESF

Le BTS ESF – Economie sociale et familiale s’effectue en deux ans après un bac de préférence. C’est un diplôme de niveau bac + 2 qui se prépare en formation initiale mais aussi en alternance dans des établissements publics et privés. C’est un diplôme d’Etat de niveau III délivré par le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche.

Les courants de pensée de l'action sociale

Les courants de pensée de l'action sociale Objectif : comprendre l’évolution de l’action sociale et du travail social et s’interroger sur leurs perspectives L’action sociale, c’est à dire, l’ensemble des moyens par lesquels une société agit sur elle-même pour préserver sa cohésion, notamment par des dispositifs législatifs ou réglementaires et par des actions visant à aider les personnes et les groupes les plus fragiles à mieux vivre, à acquérir ou à préserver leur autonomie et à s’adapter au milieu social environnant définition donnée par loi du 2 janvier 2002 rénovant l’action sociale et médico-sociale apparaît comme une préoccupation ancienne, dont les conceptions et les pratiques n’ont cessé d’évoluer.

Aujourd’hui, critiqué comme générateur d’accoutumance des personnes bénéficiaires et financièrement trop lourd, l’Etat providence cède un peu le pas devant la demande d’un Etat social actif qui insisterait sur la prévention sociale , la responsabilisation et l’engagement de tout un chacun.
Catégorie: Autre BTS ESF
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L’espérance de vie de l’être humain est en constante progression, principalement grâce à l’avancée médicale. Les personnes âgées sont donc de plus en plus nombreuses et vivent de plus en plus longtemps. En 2007, 21 % de la population française ont plus de 60 ans, dont 8 % qui ont plus de 75 ans. Cet allongement de la vieillesse a entrainé la nécessité d’une plus grande attention à l’égard de cette catégorie de la population et d’une plus grande prise en charge. En France, 10 300 établissements hébergent plus de 600 000 personnes du 3ème et 4ème âge (source : revue de l’infirmière, février 2003).
Etude et projet - réaménagement d'une salle de pause dans un atelier de réinsertion professionnelle
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L’avènement de la liberté d’association, acquise le 1er juillet 1901, a été favorisé par plusieurs évolutions dont les origines remontent à la fin du Second Empire. À la prohibition traditionnelle de toute coalition depuis le vote de la loi Le Chapelier du 14 juin 1791, a succédé une tolérance de plus en plus grande à l’égard des regroupements organisés de personnes. Ainsi, la loi du 25 mai 1864 abolit le délit de coalition, permettant aux ouvriers de faire grève sans violence, ni attentant à la liberté du travail. Un pas important est franchi avec la loi du 24 juillet 1867. Ce texte légalise en effet les sociétés ouvrières de production. Ces organismes voient officiellement reconnus leur existence et leur rôle au sein du monde ouvrier. Leur tâche consistait à gérer des commerces de produits de première nécessité, et à investir les bénéfices réalisés dans des activités d’assistance aux plus nécessiteux. La loi du 6 juin 1868 autorise les réunions publiques sous condition de déclaration préalable. Par ailleurs, les pouvoirs publics, sous le Second Empire, encouragent fortement la création de sociétés de secours mutuels.

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