L'isolement social des bénéficiaires RSA

De la distance ou proximité dans le travail associatif Une relation de proximité voire de promiscuité est favorisée par la démarche d’aller vers, dans l’environnement direct des personnes (hors cadre), avec un public souvent hors conventions sociales. Les personnes peuvent être dans des attitudes de rejet, d’intimidation, de revendication, de provocation, d’impudeur, de maladresse, de familiarité, de plaisanterie. Pouvant embarrasser, déstabiliser, elles testent, mettent à l’épreuve les relations. Par leurs comportements elles viennent questionner, plus ou moins explicitement, les enjeux de la relation, la démarche de l’association, des bénévoles et leur posture, mais aussi globalement les rapports sociaux.

Dossier : Le handicap Selon l’INSEE, en 2011, 9.6 millions de personnes en France étaient en situation de handicap. Le terme de handicap peut se définir grâce à trois concept-clés utilisés par l’Organisation Mondiale de la Santé : déficience, incapacité et désavantage. Ces 3 dimensions sont les éléments constitutifs du handicap, un lien existe entre eux mais celui-ci n’est pas linéaire ni systématique. Ainsi, des déficiences n’entraînent pas forcément des désavantages.

ICAF : l’insertion sociale par la culture C’est donc dans ce contexte que s’inscrit mon action d’ICAF de seconde année de BTS en économie sociale et familiale, menée au sein du Centre d’Hébergement et de réinsertion sociale (CHRS). Ce dernier traite donc du thème suivant : l’insertion sociale par la culture : mise en place d’une sortie concert à l’E, salle de musiques actuelles, pour les résidents du CHRS.

ICAF : mise en place d'un jeu de société sur les accidents domestiques envers les enfants de 3 à 10 ans Les accidents domestiques désignent les accidents qui surviennent dans une habitation mais aussi dans ses abords immédiats à caractère privatif (jardin ou cours). Ils se traduisent par un dommage physique immédiat ou retardé se traduisant par des séquelles, bénignes (coupures, égratignures), graves (facture, plaie profonde) ou même mortel. Ces accidents peuvent être évités si nous possédons une bonne connaissance du développement de l’enfant et de sa personnalité. En effet, vers l’âge de 3-4 ans, période de l’autonomie et de l’exploration de l’environnement, il y’a un risque plus important de coupures, a partir de 4 ans, l’enfant progresse dans l’autonomie, il acquiert de nouveaux jeux, gagne en rapidité de déplacement et en mobilité, il prend alors le goût du risque et les dangers augmentent. A partir de 6 ans, les frontières entre le réel et l’imaginaire sont encore imprécises et l’enfant a l’impression de pouvoir réaliser sans limite tous ces désirs, il s’affirme et confirme sa personnalité, tantôt en imitant son entourage, tantôt en s’y opposant. C’est à cet âge que peuvent commencer à se développer des comportements agressifs et violents.