LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Autre

« L’introduction à la psychanalyse » Sigmund Freud

« L’introduction à la psychanalyse » Sigmund Freud « L’introduction à la psychanalyse » qui est une édition des conférences données entre 1915 et 1917 par Sigmund Freud à un auditoire de médecins et de profanes des deux sexes, est publié en 1917, vers la fin de la première guerre mondiale, à la veille de la révolution d’octobre. L’auteur y fait le point sur les connaissances acquises depuis la création de la psychanalyse, dont on peut situer la naissance en 1895, à la date de la publication des « Etudes sur l’hystérie » .

Les concepts psychanalytiques qui, depuis l’édition de « L’introduction à la psychanalyse » ont évolués - y compris du vivant de Freud - s’agissant des instances du « Ça » du « Moi » et du « Surmoi », des mécanismes de défense, des pulsions de vie et de mort – et constituent les bases théoriques de la compréhension de son rapport à soi, à l’autre, et de la réciprocité de ce rapport.
Catégorie: Fiche de lecture
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Le rapport Condorcet
Ce rapport contient les idées fortes qui animent l’éducation populaire. Héritier du mouvement encyclopédiste, Condorcet considère que l’individu et l’espèce humaine sont perfectibles et que cette perfectibilité découle des progrès corrélatifs de l’instruction et des sciences. En outre, le progrès technique est censé libérer l’homme pour ses activités de formation. Ainsi il préconise la gratuité, la laïcité et l’égalité des sexes vis-à-vis de l’instruction.
La Société des Individus : Norbert Elias
Né en Allemagne dans une famille juive en 1897, mort aux Pays-Bas en 1990 à l’âge de 93 ans, Norbert Elias se forme à la sociologie après des études de médecine et de philosophie, puis il enseigne en Angleterre où, fuyant l'Allemagne nazie, il s'est réfugié avant la Seconde Guerre mondiale, après une vaine tentative d'installation en France. La réception de l'œuvre d'Elias fut brouillée par ces avatars de l'histoire : ce n'est qu'à partir de la fin des années soixante que ses ouvrages commencent à être traduits en français. Ils portent sur l'histoire de l'autocontrôle de la violence et l'intériorisation des émotions (dans des domaines aussi divers que les manières de table, le sport, la musique, les rapports entre les sexes ou la mort) ainsi que sur les conséquences d'une redéfinition des relations d'interdépendance (dans le rapport au temps, au groupe de référence ou à la situation) qui ouvre à une véritable “ révolution copernicienne” en sociologie
Ce que parler veut dire : Pierre Bourdieu
Pierre Bourdieu constate l’insuffisance du modèle linguistique proposé par de Saussure, en tant que code à la fois législatif et communicatif qui existe et subsiste en dehors de ses utilisateurs (« sujets parlants ») et de ses utilisations (« parole »), tout comme l’incomplétude du modèle proposé par Noam Chomsky en tant que compétence liée aux dispositions génératrices ; ni l’un ni l’autre ne peuvent en effet rendre compte de la langue comme réalité sociale tant qu’ils n’envisagent pas ses conditions sociales de production, de reproduction et d’utilisation.
« L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme » Max Weber
Dans « L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme », la question devient « le problème », soulevé par un constat statistique portant sur l’occupation de postes professionnels, le niveau de qualification et d’instruction des habitants du pays de Bade. Ce constat révèle que ce sont majoritairement les protestants les plus hauts placés dans ces trois domaines. La question qui est posée pourrait l’être sous cette forme : « Quel est le rôle du protestantisme par rapport à ce constat et en quoi le calvinisme et l’ascétisme protestant ont contribué au développement du capitalisme ? »

Connexion

Abonnement

Recherche