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Le rapport Condorcet

Le rapport Condorcet Ce rapport contient les idées fortes qui animent l’éducation populaire. Héritier du mouvement encyclopédiste, Condorcet considère que l’individu et l’espèce humaine sont perfectibles et que cette perfectibilité découle des progrès corrélatifs de l’instruction et des sciences. En outre, le progrès technique est censé libérer l’homme pour ses activités de formation. Ainsi il préconise la gratuité, la laïcité et l’égalité des sexes vis-à-vis de l’instruction.

Ce rapport sur l’instruction publique est toujours d’actualité au XXI ème siècle. La mise en place de conférences publiques auxquelles tous les citoyens peuvent assister serait probablement encore aujourd’hui un moyen pour lutter contre les inégalités mais aussi un « remède » pour contrôler la délinquance car comme le dit Condorcet, c’est l’ennui qui provoque les vices.
Catégorie: Fiche de lecture
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L'échec de la protection de l'enfance en France : BERGER Maurice
Le dispositif de la protection de l’enfance coûte chaque année pas moins de cinq milliards d’euros aux contribuables français. On dénombre quelque 270 000 mineurs concernés par ce dispositif. Pourtant cet effort important consenti par les pouvoirs publics en faveur de la protection de l’enfance semble inefficace, puisqu’une multitude de rapports d’experts (une dizaine entre 2000 et 2006, dont 3 de l’IGAS) sont venus en pointer les dysfonctionnements, et partant en exacerber les critiques. Celles-ci concernent essentiellement la complexité de l’organisation du dispositif conjuguant des finalités parfois antithétiques, voire même inconciliables, savoir d’un côté la protection de l’enfance en danger, de l’autre, les droits des parents et le soutien à la parentalité. C’est dans cette perspective que s’inscrit l’ouvrage de Maurice BERGER, intitulé : l’échec de la protection de l’enfance, publié dans sa première édition en 2003. Sous la forme d’un véritable réquisitoire, Maurice BERGER dénonce, (outre l’inefficacité de ce dispositif, qu’il qualifie volontiers de « bateau ruineux à la dérive » et « d’irrémédiable gâchis »), la nuisance de celui-ci, non seulement, au regard de l’enfant qu’il ne protège guère, voire même dont il aggrave les déficiences, mais aussi au regard de la société, qui à terme, supportera la charge durable de ces «inadaptés en tout genre», qu’aura engendré un tel dispositif.
Des parents en quête de parentalité. Séverine Euillet Chantal Zaouche-Gaudron
Paru en Août 2008 dans la revue Sociétés et jeunesses en difficulté, l’article que nous étudierons ici, intitulé « Des parents en quête de parentalité. L’exemple des parents d’enfants accueillis à l’aide sociale à l’enfance » est avant tout un article visant à analyser la perception des parents dont un enfant est pris en charge par l’aide sociale à l’enfance, la manière dont ils perçoivent la « nouvelle » parentalité que ce placement engendre, et les relations qu’ils peuvent entretenir avec les intervenants sociaux, thème qui nous intéressera davantage ici puisqu’en rapport direct avec mon sujet de TER. Néanmoins, notons que bien que soulevant des enjeux sociologiques majeurs, il semble important de souligner ici qu’aux vues des domaines de compétences des deux auteurs de cet article que nous présenterons par la suite, nous sommes davantage, avec cet article, dans une approche plus psychologique de la question du placement d’un enfant et de ces conséquences sur ses parents et sur les relations que ceux-ci sont amenés à entretenir avec les éducateurs.
Le jouet du prédateur

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Il explique quel stratagème il a mis en place pour survivre durant sa captivité mais également les années qui ont suivi sa libération.  Il nous raconte que pendant des années il a occulté ses souvenirs pour se protéger et continuer à vivre. «  Comme si mon cerveau s’était éteint ». C’est lorsque qu’un journaliste vient à sa rencontre pour l’interviewer 28 ans après que ses souvenirs vont resurgir.  On s’aperçoit très vite  que ce traumatisme est toujours très présent et que pendant toutes ces années où il a refoulé ses souvenirs, ce mal-être l’a souvent amené à des conduites à risques, se mettant souvent en danger puis à se renfermer sur lui-même, s’empêchant d’être heureux. Ce livre est en quelque sorte le début de sa thérapie et de la guérison.

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