LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Autre

Le devenir des enfants de l'aide sociale à l'enfance de Francis MOUHOT

Le devenir des enfants de l'aide sociale à l'enfance de Francis MOUHOT Les traumatismes sont avant tout liés aux relations pathologiques à leurs parents et à la séparation d’avec eux. Le traumatisme souvent très ancien, est toujours présent dans leur esprit. Leurs traumatismes touchent fondamentalement au désir de vivre, à la confiance dans la parole et à l’estime de soi. Il est souvent insupportable à ces jeunes de penser aux intentions de leurs parents, lorsque nous les évoquons c’est comme si nous prenions la défense de ces derniers, comme si nous leur cherchions des excuses.

Nous avons vu que les traumatismes subis entraînent une atteinte narcissique majeure et une aliénation imaginaire (sentiment de différence, d’infériorité, etc.), qu’ils touchent plus profondément la sécurité de base de l’enfant (confiance en lui, dans les autres et dans la vie en général). C’est la raison pour laquelle la moitié des jeunes de notre population préfère se retrancher derrière une personnalité superficielle, un état limite.
Catégorie: Fiche de lecture
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Stress et Travail

Patrick LEGERON est psychiatre à l’hôpital Saint Anne à Paris. Il est responsable de l’unité de thérapie comportementale et cognitive. Il dirige un cabinet de conseil aux entreprises sur le thème du stress professionnel. Il est l’auteur, avec Christophe ANDRE, psychiatre, de « La peur des autres » qui traite du trac, de la timidité, des inhibitions et des phobies. Ils décrivent toutes les formes que peut prendre l’anxiété dans notre société et expliquent les mécanismes de cette peur. Ce qui est pathologique et ce qui ne l’est pas. « Le stress et travail » est son deuxième ouvrage parut en 2001. Il traite dans un premier temps les différentes sources du stress, puis les mécanismes psychologiques et biologiques du stress. Dans un troisième temps, il expose les conséquences que le stress au travail peut avoir sur l’individu, et enfin en dernière partie il traite de la lutte contre le stress.

La Société des Individus : Norbert Elias
Né en Allemagne dans une famille juive en 1897, mort aux Pays-Bas en 1990 à l’âge de 93 ans, Norbert Elias se forme à la sociologie après des études de médecine et de philosophie, puis il enseigne en Angleterre où, fuyant l'Allemagne nazie, il s'est réfugié avant la Seconde Guerre mondiale, après une vaine tentative d'installation en France. La réception de l'œuvre d'Elias fut brouillée par ces avatars de l'histoire : ce n'est qu'à partir de la fin des années soixante que ses ouvrages commencent à être traduits en français. Ils portent sur l'histoire de l'autocontrôle de la violence et l'intériorisation des émotions (dans des domaines aussi divers que les manières de table, le sport, la musique, les rapports entre les sexes ou la mort) ainsi que sur les conséquences d'une redéfinition des relations d'interdépendance (dans le rapport au temps, au groupe de référence ou à la situation) qui ouvre à une véritable “ révolution copernicienne” en sociologie
La dynamique des groupes :Roger Mucchielli
R.Mucchielli définit le groupe primaire comme un groupe limité par le nombre, où chaque personne connaît toutes les autres et partage des buts communs. Ce groupe suppose une « unité » psychologique spécifique défini par « nous » solidarisant les membres en fonction de l’environnement naturel ou social. Par opposition, on retrouve les groupes secondaires, appelés des organisations, dans lesquels les relations sont indirectes et la communication passe par un intermédiaire.
S.BEAUD, M.PIALOUX : « Violences urbaines, violences sociales, genèse des nouvelles classes dangereuses »
Le point de départ du livre est la suite d’émeutes qui a eu lieu à Montbéliard, ville industrielle de Franche-Comté, à la suite d’interpellations de jeunes en juillet 2000. Les émeutes, selon Stéphane BEAUD et Michel PIALOUX, ne sont que le symptôme d’une lente et longue dégradation des conditions de vie des habitants du quartier de la Petite Hollande, classé zone urbaine prioritaire dans le cadre de la politique de la ville. L’originalité de cet ouvrage tient en ce que les auteurs expliquent les émeutes d’un point de vue sociologique mais aussi économique, en prenant notamment appui sur les transformations des conditions de travail et d’emploi dans la région. Cet angle d’approche a déjà été mis en évidence dans un ouvrage précédent des mêmes auteurs « Retour sur la condition ouvrière » - déjà situé à Montbéliard….

Connexion

Abonnement

Recherche