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Prise en compte de la culture dans un parcours de formation

Prise en compte de la culture dans un parcours de formation Nous sommes conscients que le cadre de recherche évoqué est plutôt vaste. Cependant, nous restons convaincus que le développement d’une trame théorique, tel que nous avons tenté de le faire, peut permettre ensuite une analyse au cas par cas (en fonction des origines socioculturelles des enquêtés). En effet, il nous semble évident qu’il existe des régularités dans les constats d’échecs de formation professionnelle, quelles qu’aient été les démarches de formation et les applications pédagogiques (devons-nous parler ici de pédagogie ou d’éducation ?) mises en œuvre.
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Documents associés

Stress et Travail

Patrick LEGERON est psychiatre à l’hôpital Saint Anne à Paris. Il est responsable de l’unité de thérapie comportementale et cognitive. Il dirige un cabinet de conseil aux entreprises sur le thème du stress professionnel. Il est l’auteur, avec Christophe ANDRE, psychiatre, de « La peur des autres » qui traite du trac, de la timidité, des inhibitions et des phobies. Ils décrivent toutes les formes que peut prendre l’anxiété dans notre société et expliquent les mécanismes de cette peur. Ce qui est pathologique et ce qui ne l’est pas. « Le stress et travail » est son deuxième ouvrage parut en 2001. Il traite dans un premier temps les différentes sources du stress, puis les mécanismes psychologiques et biologiques du stress. Dans un troisième temps, il expose les conséquences que le stress au travail peut avoir sur l’individu, et enfin en dernière partie il traite de la lutte contre le stress.

sociologie urbaine/jeunesse - Quel développement pour la jeunesse Marocaine ?

Ceci est un mémoire de fin d'étude premier en sciences politiques spécialité sciences sociales  le travail correspond à la correlation entre l'urbanisme et le développement de la jeunesse  etude de cas faite à Casablanca, quartier Hay mohammadi. Maison des jeunes ( dar chabab) institution étatique :

Face aux réalités démographiques, économiques et sociales du Royaume avec, entre autres, une population des moins de 24 ans atteignant les 20% d’après le HCP. Le Maroc dresse le tableau : inévitablement, la jeunesse devient le centre des préoccupations du pays, celle-ci étant également le sujet de bon nombre de débats et d’interrogations.

La jeunesse se définit dans un premier temps comme étant « la période de la vie humaine comprise entre l’enfance et l’âge mûr ». Suivant cette définition il est dont possible de catégoriser la jeunesse. Par ailleurs, pour Bourdieu, la jeunesse [3]n’est pas un groupe social, et sa définition ne dépend pas de l’âge. D’après Bourdieu, la division des âges est « arbitraire » pour lui, la jeunesse est le fruit d’un rapport de lutte, l’enjeu est la lutte.   La jeunesse est en quelque sorte une représentation idéologique des plus vieux. Ce sont eux qui déterminent et imposent « l’ordre auquel chacun doit se tenir ». Autrement dit, les vieux ont une emprise sur la jeunesse, ils la façonnent en quelques sorte.

Plan d'intervention en toxicomanie
Nous sommes en présence d’un adolescent de 17 ans. Il est répondant volontaire, montre à l’issu de l’IGT une bonne compréhension générale et semble ne pas mentir. Celui-ci présente une dynamique de consommation régulière et excessive depuis plus de deux ans et est généralement dans l’abus (alcool : en fin de semaine 8 bières en moyenne, cannabis : 3.5g à 14g/jour, speed : jusqu’à 25co/jour, ecstasy : jusqu’à 15co/jour, consommation occasionnelle de cocaïne). Il a connu deux mois d’abstinence, mais retour à la consommation depuis trois mois. Il dit consommer pour oublier, se sentir mieux dans sa peau et le stimuler pour travailler.
Le jouet du prédateur

Sascha Buzmann, raconte dans ce récit son enlèvement, les 86 jours de séquestration. Dans une caravane sans eau ni électricité, il survivra aux coups, aux viols à répétition, à la crasse, à la faim et à la peur constante de mourir.

Il explique quel stratagème il a mis en place pour survivre durant sa captivité mais également les années qui ont suivi sa libération.  Il nous raconte que pendant des années il a occulté ses souvenirs pour se protéger et continuer à vivre. «  Comme si mon cerveau s’était éteint ». C’est lorsque qu’un journaliste vient à sa rencontre pour l’interviewer 28 ans après que ses souvenirs vont resurgir.  On s’aperçoit très vite  que ce traumatisme est toujours très présent et que pendant toutes ces années où il a refoulé ses souvenirs, ce mal-être l’a souvent amené à des conduites à risques, se mettant souvent en danger puis à se renfermer sur lui-même, s’empêchant d’être heureux. Ce livre est en quelque sorte le début de sa thérapie et de la guérison.

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