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Les Lieux de Vie et d’Accueil existent

Les Lieux de Vie et d’Accueil existent Les LVA se sont globalement gardés des obédiences, d’une part par réflexe anti-dogmatique et d’autre part, par la forte singularité de chaque lieu, jaloux de son propre syncrétisme « théorique ». A l’heure où les pouvoirs publics semblent vouloir se départir des pesanteurs de chapelles, il est temps de conduire une évaluation sérieuse de l’expérience des LVA, d’en repérer les pratiques et d’en encourager le développement. Il est temps également, pour l’autisme comme pour les autres besoins d’accueil des différences, que l’administration ouvre le pré carré de ses institutions traditionnelles et reconnaisse au grand jour ces solutions complémentaires, singulières et moins coûteuses, prêtes aujourd’hui à collaborer avec l’ensemble des acteurs.
Catégorie: Autre
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Documents associés

« JUNO » de Jason Reitman
JUNO est une comédie dramatique américano-canadienne de Jason Reitman sur un scénario de Diablo Cody, sorti en 2007. Ce film remporta l'Oscar du meilleur scénario original. JUNO, le personnage principal, joue le rôle d'une jeune adolescente de 16 ans, pleine de vie et à fort caractère. Elle n'a pas sa langue dans sa poche, mais qui, sous ses airs de dur, se cherche comme toutes adolescentes de son âge. Elle est loin des codes sociaux superficielles et matérialistes des jeunes américaines, interprétées dans certains films (dixit les « pompoms girls »). Celle ci tombe accidentellement enceinte apres avoir fait l'amour pour la première fois avec un jeune home plutôt ordinaire, tant par son physique que son caractère plutôt mou. En effet, le réalisateur a su nous plonger dans la tête d'une adolescente soumise à un choix multiple : le garder, avorter ou le faire adopter. JUNO choisira de trouver un couple adoptif idéal qui pourra s'occuper de son bébé.
Rapport de stage d’Intervenant Spécialisé en art-thérapie

L’institut accueille 113 enfants et adolescents âgés de 3 à 15 ans, dont 68 en semi-internat et 45 en internat. Le semi-internat se décline en groupe crèche, groupe de pédagogie active (animés par des éducateurs), jardins d’enfants et en classes « éducation nationale ». L’internat peut être complet (semaines, week-end et vacances), de semaine, occasionnel ou individualisé (de quelques mois à plusieurs années).

Les enfants accueillis sont la plupart victimes d’infirmités d’origine neurologique comme :
• l’Infirmité Motrice d’Origine Cérébrale (IMOC)
• les séquelles de Spina-bifi da
• les pathologies neuromusculaires (D.D.B., etc.) ou issues de maladies métaboliques
• les pathologies neurologiques autre que d’étiologie périnatale.

Ils peuvent présenter des troubles associés (praxique, parole-langage, …) à des déficiences motrices. Cependant les enfants ayant des troubles de la personnalité ou du comportement ne peuvent être accueillis.

Les mineurs et la prison
Le vingt-et-unième siècle est marqué par l’écriture d’une nouvelle page dans l’histoire de la prise en charge carcérale des mineurs délinquants. Suite à des rapports de visite alarmants de différentes instances nationales ou internationales quant aux conditions de détention en France, et plus particulièrement de détention des mineurs, les pouvoirs publics ont réagi. Des établissements pénitentiaires supplémentaires sont en construction, de nouvelles structures ont vu le jour (les Etablissements Pénitentiaires pour Mineurs), une commission est réunie par madame le Garde des Sceaux afin de réfléchir à une révision et une clarification de l’ordonnance du 2 février 1945, relative à l’enfance délinquante. Si de nouveaux horizons sont ouverts, il n’en reste pas moins nécessaire de dresser un état des lieux afin de comprendre le cheminement qui a permis d’aboutir à la situation actuelle. Les notions clé de minorité pénale et de discernement sont consacrées en France par le Code criminel de 1791, qui prescrit que « lorsqu’un accusé mineur […] aura commis le crime pour lequel il est poursuivi avant l’âge de seize ans accomplis, les jurés décideront […] la question suivante : le coupable a-t-il commis le crime avec ou sans discernement ? » S’il est reconnu que le coupable a agi avec discernement, les peines d’emprisonnement qu’il encourt sont alors amoindries par rapport à celles encourues à raison des même faits par des adultes, la peine de mort étant commuée en vingt ans d’emprisonnement. En l’absence de cette faculté, seul l’acquittement est envisageable. Mineurs et majeurs (au sens pénal de ces termes, soit en deçà et au-delà de seize ans) purgent toutefois leur peine d’emprisonnement dans les mêmes maisons de correction. Ce seuil de majorité pénale, fixé à seize ans pour crime, sera étendu à toutes les infractions par le Code pénal de 1810.
Surdoués et échec scolaire
Etant étudiantes en troisième année de Licence Sciences de l’Education, il nous a semblé enrichissant d'étudier le problème des enfants surdoués dans la mesure où, en tant que futures professionnelles de l'éducation, il est probable que nous soyons confrontées à ce type d'élèves. De plus, lors de nos stages, l’une d’entre-nous a rencontré un enfant surdoué se trouvant en classe de CE2. Cet élève se trouvait en échec depuis la classe de CP. Au début suivi par une autre enseignante, celle-ci ne s’est jamais vraiment questionnée sur ses difficultés. Elle en est restée au stade de l’échec purement scolaire. Passant en classe de CE2, le jeune garçon a changé d’institutrice. Cette dernière s’est réellement interrogée sur la situation. En effet, l’élève avait des résultats plus que satisfaisants en lecture et en poésie (domaines qui lui tenait à cœur) mais échouait totalement dans tout autre exercice purement disciplinaire. L’enseignante lui a alors proposé des travaux de différents niveaux, certains faciles et d’autres davantage complexes. Réussissant ceux non adaptés à son niveau d’étude, l’institutrice a fait appel aux parents afin qu’il passe différents tests pour estimer son niveau intellectuel. Il s’est alors avéré que l’élève en question avait un quotient intellectuel supérieur à la moyenne et qu’il était ainsi considéré comme surdoué.

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