LeSocial Emploi Prepa Doc Formateque

Autre

La dynamique des groupes :Roger Mucchielli

La dynamique des groupes :Roger Mucchielli R.Mucchielli définit le groupe primaire comme un groupe limité par le nombre, où chaque personne connaît toutes les autres et partage des buts communs. Ce groupe suppose une « unité » psychologique spécifique défini par « nous » solidarisant les membres en fonction de l’environnement naturel ou social. Par opposition, on retrouve les groupes secondaires, appelés des organisations, dans lesquels les relations sont indirectes et la communication passe par un intermédiaire.

Cela permet à certaines personnes plus ou moins inhibées de prendre conscience qu’elles peuvent donner leurs avis et participer un peu plus. Donc d’un point de vue personnel, ces changements permettent de prendre conscience de ses propres sentiments et réactions, mais aussi de ceux des autres, de changer d’attitude envers soi-même et envers les autres et le groupe, et d’acquérir un savoir faire dans le maniement des relations humaines pour établir des relations plus efficaces. Pour utiliser au mieux la dynamique de groupe, l’animateur devra toujours avoir une idée claire du type de réunion à conduire, faire progresser le groupe vers sa maturité en l’aidant à traverser les étapes de son évolution et à régler les problèmes rencontrés.
Catégorie: Fiche de lecture
Type de fichier: application/pdf
Historique du document: 0
Licence

Chacun des éléments constituant le site SocioDoc.fr sont protégés par le droit d'auteur. Il est donc strictement interdit d'utiliser, reproduire ou représenter même partiellement, modifier, adapter, traduire, ou distribuer l'un quelconque des éléments.

En cochant la case ci-dessous, j'accepte les conditions générales d'utilisation de SocioDoc.fr.

Accepter le terme et la condition

Documents associés

Stigmatisation sociale - CROIZET & LEYENS
Dans leur livre intitulé Mauvaises réputations – Réalités et enjeux de la stigmatisation sociale paru en 2003, Jean-Claude CROIZET et Jacques-Philippe LEYENS nous dressent les dernières recherches menées en matière de stigmatisation. Bien que ce thème ait déjà été abordé de nombreuses fois par les experts de la sociologie et de la psychologie, l’originalité du travail des deux psychologues CROIZET et LEYENS, demeure dans le fait qu’ils recherchent le regard des stigmatisés face à leur propre situation, et non plus seulement celui de ceux qui créent, concourent et alimentent les situations de stigmatisation (les « dominants ») à l’égard des porteurs de stigmates visibles ou non.
Les usages sociaux des handicaps : GOFFMAN
< /u>Stigmate vient de stigma en grec qui signifie marque physique d'infamie. Les conceptualisations récentes sont assez éloignées de cette définition, et l'un des objets de ce livre est de recenser les différentes acceptions sociologiques de ce terme. Lors de nos rencontres routinières, nous avons tendance à répartir les individus en catégories. Mais celles-ci ne sont pas données de prime abord, et lors d'une première entrevue avec un inconnu c'est plutôt l'identité sociale apparente qui structure nos interactions (une identité sociale d'abord virtuelle, puis réelle). < br>< br>< u>
Les contraintes de l’action collective : Michel CROZIER Erhard FRIEDBERG
A quelles conditions et au prix de quelles contraintes l’action collective, c'est-à-dire, l’action organisée, des hommes est elle possible ? L’action collective est un phénomène naturel, c’est un construit social dont l’existence pose problème et dont il reste à expliquer les conditions d’émergence et de maintien. Cette structuration peut être relativement consciente et formalisée, ou elle peut avoir été « naturalisée », par l’histoire, la coutume, les croyances. Elle oriente les comportements de acteurs et en circonscrivant leur liberté et leurs capacités d’action rend possible le développement des entreprises collectives des hommes, mais conditionne en même temps les résultats. Il importe de connaître et comprendre la logique et la rationalité propre en s’interrogeant que les hommes ont tenté de résoudre à travers elles et sur les difficultés et contraintes qui en résultent.
Traumatisme, traumatique, trauma de Thierry BOKANOWSKI
Pour rendre compte, aujourd’hui, de la théorie du traumatisme en psychanalyse, il est nécessaire de renverser la chronologie de son élaboration théorique, et de considérer deux paramètres : — le traumatisme, comme agent d’une déliaison pulsionnelle ; — les séquelles du traumatisme qui constituent et agissent comme une source pulsionnelle secondaire. Ainsi, lorsque l’on est conduit à parler du traumatisme l’on est tout autant conduit à évoquer l’histoire de la théorisation du concept, qu’à envisager ses implications théorico-cliniques et théorico-pratiques, elles-mêmes liées à l’évolution de la théorie et qui aboutissent à devoir penser le traumatisme en termes de bloc « défense/trauma ».

Connexion

Abonnement

Recherche