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Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

L'identité de l'éducateur spécialisé : Paul Fustier

L'identité de l'éducateur spécialisé : Paul Fustier

Pour conclure mes notes sur cette lecture sur le propos de l’identité de l’éducateur spécialisé, je tiens à faire un premier constat qui n’est pas en lien directe avec cette lecture mais plutôt du fait de ma rencontre avec cet ouvrage. En effet, je suis dans l’éducation spécialisé depuis un peu plus de quinze ans et je n’ai rencontré aucune personne qui a pu me dire qu’elle connaissait ce livre.

J’ai eu la chance de travailler sous la supervision de Paul Fustier dans le cadre de deux Institutions distinctes et je n’ai jamais entendu parler de ce livre. Y- a- t -il un sens à cela alors que bon nombre d’ouvrage dont « Les Corridor du quotidien » font parti de la littérature des éducateurs spécialisés ?

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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Connaître le handicap, reconnaître la personne

Ce livre a été élaboré à la suite d’un colloque en septembre 1998 sur le thème « la personne handicapée : d’objet à sujet, de l’intention à l’acte » à l’initiative du Collectif de recherche et sur le handicap et l’éducation spécialisée, sous le patronage de M. Claude Allègre, ministre de l’éducation nationale, de la Recherche et de la Technologie, de Mme Martine Aubry, ministre de l’Emploi et de la Solidarité, de Mme Marie-Georges Buffet, ministre de la jeunesse et des Sports, et de M. Daniel Tarschys, secrétaire général du Conseil de l’Europe. Cet ouvrage paraît un an après ce colloque

Sociologie de l’intégration : Mohand Khellil

e mot intégration est né dans le passé colonial Français c’est dans un contexte colonial qu’une partie de l’immigration s’est effectuée Aujourd’hui le rejet et la xénophobie sont tjrs présents liés à des préjugés difficultés d’embauche, recalé à l’entrée des boites de nuit Selon J. Fijajkowski l’animosité envers les étrangers serait liée aux problèmes quotidiens la modernisation favoriserait le bien-être de 2/3 de la population, tiers restant deviendrait déviant et rejeté.

L’immigré serait rejeté car il réintègre une société qui se dit moderne des éléments traditionnels perçus régressifs. Le rejet se veut donc plus conservateur que raciste Cependant le racisme est bien présent = logement, travail, justice, insultes policières car il y avait une relation de dominant-dominé avec les colonies Suite à ces discriminations les immigrés se replient sur eux et sur leur culture d’origine Selon D. Lapeyronnie, l’égalité et l’identité ainsi que l’universel et la sauvegarde sont compatibles Cependant, il y a un paradoxe = + les immigrés s’intègrent + ils font l’objet de pressions racistes La communauté s’analyse par une appartenance et donc une forme d’intégration Selon Tönnies, la communauté se développerait par la famille, le pays natal.

Les nouvelles délinquances des jeunes : Jean-Marie PETITCLERC

Depuis quelques années, la France connaît une véritable explosion de la délinquance juvénile, autant sur le plan quantitatif (délits de plus en plus nombreux) que qualitatif (actes de plus en plus graves). Entre 1996 et 2003, la délinquance des mineurs (atteinte volontaire à l'intégrité physique) a augmenté de 55%. Il paraît donc urgent d'agir, c'est-à-dire revisiter les modes d'intervention, car la prévention ne semble pas suffisante.

L'auteur divise son livre en quatre parties : l'évolution de la délinquance juvénile où il relate les chiffres de la délinquance; l'insuffisance des politiques actuelles de prévention où il évoque la hausse de la « délinquance de proximité » ainsi que la prévention spécialisée et ses limites; les dysfonctionnements des modes de prise en charge éducative, avec l'échec de la prévention et les trois lieux « de vie » de l'enfant : sa famille, l'école et la rue, la désimplication parentale,...; et il finit en apportant des réponses innovantes

Stanley Milgram : Soumission à l’autorité,

En observant les ravages engendrés, durant la seconde guerre mondiale, par des millions d’hommes (en apparence comme tous les autres) et en observant surtout les justificatifs avancés par les inculpés lors des procès de crime contre l’humanité ou crime de guerre se résumant souvent à des mots très simples tels que « je n’ai fait qu’obéir aux ordres », Milgram a mené une réflexion sur cette soumission à l’autorité. En effet, comment des millions d’hommes ont-ils pu cautionner et participer au système nazi, système qui sans nul doute allait à l’encontre des idéaux et des principes moraux de bon nombre d’entre eux ?

Il fait aussi allusion aux massacres perpétués par l’armée américaine au Vietnam. Milgram a mené dans les années 60 des expériences visant à déterminer où finit la soumission à l’autorité et où commence la responsabilité de l’individu. Comment peut-on concilier les impératifs de l’autorité avec sa propre conscience ?

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