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Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Tout est langage : Françoise Dolto

Tout est langage : Françoise Dolto

Dans ce livre, F Dolto illustre, tout l’enjeu de l’apprentissage de la parole et du langage pour un enfant. De plus, il est souligné par Dolto dans la préface que ce livre est également adressé à un large public dans le but d’éclaircir des points concernant l’éducation des enfants et plus précisément la notion de langage dans le rapport enfant / parents. Au regard de questions posées par l’auditoire, elle affirme que le langage est porteur de charges affectives et permet à l’enfant de communiquer ses désirs et ses émotions à son entourage.

L’humain donne du sens consciemment ou inconsciemment à ce qu’il fait et ce qu’il voit. C’est pourquoi il est important pour les parents ou travailleurs sociaux de donner du sens à leur langage, de parler vrai et donc de considérer les enfants ainsi que les personnes en difficulté sociale et physique comme des individus à part entière.

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
Type de fichier: application/pdf
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Cannabis et adolescence P.HUERRE, F.MARTY

Epidémiologie de la consommation de cannabis parmi les adolescents en France. - Pendant des années, les drogues dites dures et leurs effets ravageurs ont focalisé l’attention des professionnels. Les autres dites douces reléguées au rang de produit récréatif ne suscitaient pas trop d’inquiétude. Aujourd’hui la consommation de ces drogues douces a considérablement augmenté, faisant quasiment du cannabis un produit de consommation de masse. On commence ainsi à mesurer combien cette relative banalisation en a masqué certains effets qui suscitent à présent une préoccupation grandissante.

Cahier du soir d’un éducateur : Jean Cartry

Jean Cartry est éducateur spécialisé, comme sa femme Janine, avec qui il anime  depuis 1976, une famille d’accueil spécialisée recevant plusieurs enfants confiés par le service de l’aide sociale à l’enfance. Cet homme, connu du secteur social pour avoir publié nombreux articles dans la revue  « Lien social » sous le pseudonyme de Jean-Marie Servin, est également l’auteur de « Petite chronique d’une famille d’accueil » publié en 1996, ainsi que « Les parents symboliques » en 1998, tous deux parus aux éditions Dunod.

Oscar et la dame Rose : Éric-Emmanuel Schmitt

Éric-Emmanuel Schmitt (né le 28 mars 1960 à Lyon) est un écrivain et dramaturge, installé à Bruxelles depuis 2002. Ayant obtenu la naturalisation belge en 2008[], il dispose de la double nationalité. Agrégé de philosophie, dont la thèse porte sur Diderot et la Métaphysique, il enseigne à Cherbourg et à l’Université de Chambéry. En 1989, une expérience mystique bouleverse sa vie et il passe à l’écriture.

« Corps, infirmes et société », de Henri-Jacques STIKER

Dans un premier temps l’auteur expose les difficultés qu’il y a à aborder l’infirmité. En effet, le fait de l’aborder implique un engagement et un questionnement personnel, qui nous touche de près ou de loin. De tout temps l’homme a eu du mal à se confronter à l’infirmité, à ce qu’il nomme la malformation, la débilité… Tous ces termes négatifs qui renvoient à des peurs et qui reflètent une gêne. L’infirmité, pour les personnes concernées, entraîne un bouleversement dans une vie, un changement des représentations, une désorganisation des valeurs et une culpabilité.

Le regard des autres, sur toutes déviances qu’elles soient d’ordre psychique, mental ou physique, conduit à une peur, à un rejet. Comme le pense l’auteur, l’infirmité représente une « a-normalité » qui permet de donner corps à la « normalité ». L’homme dans sa quête d’identité et de similitude, à besoin de voir « son opposé » pour se rassurer dans sa normalité. De fait le handicap est prit en compte dans notre société, mais pas complètement, ce qui occasionne une exclusion, que l’on retrouve dans le système économique, culturel… D’où le dilemme entre exclure et inclure.

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