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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Monsieur Butterfly : Howard Buten,

Monsieur Butterfly : Howard Buten, On peut remarquer une agressivité de la part des enfants quand la commission essaye de les enlever, la commission peut représenter ici n’importe quelle équipe éducative composée des médecins, éducateur spécialisé, moniteur éducateur, psychologue ou autre. La commission venue chez Hoover l’a laissé se débrouiller seul pendant des mois et vient ensuite enlever les enfants.
Catégorie: Fiche de lecture Moniteur-éducateur
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Documents associés

Regard sur l'abandonnisme

L’ouvrage comporte quinze chapitres traitant de points théoriques différents concernant l’enfant abandonnique, ceux que j’ai résumé et commenté me concernent directement dans ma relation d’éducatrice. J’ai choisi parmi les quinze chapitres de cet ouvrage de traiter les passages les plus significatifs. A chaque chapitre, l’auteur présente une réflexion concernant l’intitulé du chapitre. Ensuite, elle cite des exemples cliniques se rapportant à une ou plusieurs théories de la psychologie de l’enfant abandonnique. L’auteur s’est inspirée de différentes sources théoriques telles que : (LAPLANCHE, BETTELHEIM, FREUD, LAFORGE).

Je suis né un jour bleu De Daniel TAMMET
Dans une autre partie du livre, Daniel TAMMET déclare : « à l’âge de 2 ans, j’avais choisi un certain mur du salon pour m’y cogner la tête de manière répétitive. Balançant mon corps d’avant en arrière, je projetais durement ma tête en avant selon un tempo précis et régulier […] A d’autres moments, j’entrais dans de violentes colères, je giflais mon visage et je hurlais à pleins poumons. » Dans la MAS où j’effectue mon stage, beaucoup d’autistes se balancent sur eux même et se cognent la tête sur un mur ou sur une table. Sur l’unité dans laquelle je travaille, il y a une résidente qui se gifle, se mord, se tape la tête contre les tables, les murs. C’est son seul moyen de communication. Elle peut très bien se gifler juste parce qu’elle aimerait un verre d’eau. C’est assez difficile de distinguer lorsqu’elle est bien ou pas ou lorsqu’elle a juste envie d’attirer l’attention sans rien vouloir en retour. C’est une personne qui a besoin de ritualisation, elle a un planning par demi-journée qu’elle connait très bien, il faut le respecter à l’heure dite car à force, elle arrive à savoir l’heure et se tape lorsque l’éducateur est en retard donc on fait en sorte d’être à l’heure afin d’éviter toute violence envers elle.

Daniel TAMMET raconte : « Je commençais à prendre les livres de mes parents pour les entasser dans ma chambre ». Un résident fait exactement la même chose dans sa chambre. Il entasse des feuilles, des magazines, des photos dans sa chambre. Il a besoin de remplir les étagères, son bureau. Il va parfois dans la pièce où se trouve la balnéo et rempli les panières à linge de tout ce qu’il peut trouver autour de lui. Il vient parfois dans le salon et prend les meubles comme la table basse pour aller la mettre dans sa chambre. Il a un besoin de remplir. On ne comprend pas pourquoi il fait ça. Est-ce une angoisse de vidange ? Fait-il ce genre de chose quand il ne se sent pas bien ? J’ai beaucoup de questionnement par rapport à ce résident et j’espère avec des réponses très prochainement.
Le ventre de l'Atlantique Fatou Diome
Ce roman est divisé en plusieurs temps. La narratrice, Salie, est partie de l’île de Niodior pour venir vivre en France avec son mari (elle est divorcée au temps de la narration) et elle est écrivaine à Strasbourg. A Niodior, son petit frère Madické n’a qu’un seul souhait : réaliser son rêve. Il veut devenir un grand joueur de football et peut-être un jour, pouvoir jouer aux côtés de son idole, Maldini un joueur Italien. Les seuls contacts que Salie garde avec Madické est lorsque ce dernier l’appelle pour connaître les résultats des matchs. Cependant, Salie n’arrive pas à lui faire comprendre que la France est loin d’être le paradis pour les immigrés car Madické ne voit que la gloire mais surtout un accès à son rêve et ne veut pas entendre les arguments de sa sœur. Tout au long du récit, on apprend beaucoup de chose sur ce qu’a vécu Salie au Sénégal mais toujours par petites bribes et anecdotes. Elle a été élevée par sa grand-mère car, étant une enfant illégitime, sa mère s’est mariée avec un cousin lointain qui la convoitait depuis un long moment. Cet homme ne voulait pas « d’un enfant du diable dans sa maison » et voulait à tout prix éliminer Salie ; c’est donc sa grand-mère qui l’éduque.
Des parents en quête de parentalité. Séverine Euillet Chantal Zaouche-Gaudron
Paru en Août 2008 dans la revue Sociétés et jeunesses en difficulté, l’article que nous étudierons ici, intitulé « Des parents en quête de parentalité. L’exemple des parents d’enfants accueillis à l’aide sociale à l’enfance » est avant tout un article visant à analyser la perception des parents dont un enfant est pris en charge par l’aide sociale à l’enfance, la manière dont ils perçoivent la « nouvelle » parentalité que ce placement engendre, et les relations qu’ils peuvent entretenir avec les intervenants sociaux, thème qui nous intéressera davantage ici puisqu’en rapport direct avec mon sujet de TER.

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