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Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Thornytorinx : Camille de Peretti

Thornytorinx : Camille de Peretti

Enfin, je n'ai guère aimé la fin de ce livre qui est je trouve trop pessimiste. « Au fond, on ne guérit jamais d'une pareille absurdité. » (page 149) Ce type de phrase peut je pense, être un frein à l'envie de se battre de certains boulimiques qui lieraient ce livre. Il est important je trouve, de ne pas pousser au découragement et à croire en une fatalité, mais justement de redonner un brin d'optimisme à tous ceux qui en auraient besoin! Dans le dernier chapitre, elle remet donc en cause son envie de s'en sortir et parle même du fait de vomir comme d'une banalité. « Je suis une personne normale et vomir est un mode d'expression comme un autre »

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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La compétence des familles : Guy AUSLOOS

Guy Ausloos démontre dans cet ouvrage, au travers de multiples exemples mais aussi de réflexions, de lectures (il fait souvent référence à des confrères, des auteurs contemporains ou non, des philosophes…) que la thérapie la plus efficace est celle menée en collaboration étroite avec les familles.

Qu’est-ce qui nous unit de Roger-Pol DROIT

Dans le premier chapitre intitulé : « L’enfant, le puits et la passant », Roger –Pol Droit cherche à nous faire réfléchir sur les réflexes que tous les humains auraient face à une situation de danger immédiat et qui prouverait selon lui que nous avons tous ce réflexe en nous et que donc tous les humains peuvent être unis. Pour cela, il va utiliser l’image d’un enfant qui va jouer de manière inconsciente près d’un puits. Pendant que l’enfant joue, il va se rendre compte de rien et se met en danger seul près à tomber dans le puits.

C’est alors qu’un homme ou une femme passe et voyant l’enfant presque tomber dans le puits va très vite venir en aide à l’enfant afin de le sauver. Il faut préciser que sur cet exemple nous ne connaissons ni l’origine de l’enfant, ni son sexe et c’est la même chose pour la personne qui vient le secourir. Selon lui, cet exemple est intéressant car il permet de mettre en œuvre ce qu’il appelle le lien humain, c’est à dire le fait de venir en aide à un être humain.

MAKARENKO A., 1967, Quelques Leçons De Mon Expérience,

Anton Makarenko propose dans ce texte la description d’un système éducatif sur lequel il a travaillé pendant 16 ans : dans la colonie Gorki et dans la commune Dzerjinski. Il commence par se présenter professionnellement, en indiquant son expérience en tant que pédagogue mais aussi en tant qu’auteur. Il présente ensuite la commune Dzerjinski : son fonctionnement, ses règles et le cadre éducatif mais aussi les techniques éducatives qui ont fait que cette structure a pu fonctionner. Il décrit également les conséquences qu’un système de cette envergure a pu avoir sur des enfants délinquants ou abandonnés de 14 à 18ans.

Les vilains petits canards

Présentation de l’ouvrage et de son contexte

Pour ce travail, mon intérêt s’est porté sur le dernier ouvrage de Boris Cyrulnik, Les vilains petits canards, paru en février 2001 chez Odile Jacob. Boris Cyrulnik est né en 1937 à Bordeaux. Sa vie bascule en 1943, lorsqu’il est arrêté avec sa famille par la Gestapo et conduit à Drancy. Agé de six ans, il réussira à fuir, alors que ses parents sont déportés. Cet épisode douloureux de son histoire, l’auteur l’a longtemps gardé intime. Les médias s’en sont emparé lorsque dans les années 90, il a souhaité faire remettre la médaille des Justes à une femme qui, en le cachant durant trois jours, lui a sauvé la vie après son évasion. C’est à partir de ce drame que vont se déterminer ses choix professionnels (Cyrulnik parle de son "étoile du berger".)

Après des études de médecine, il devient neuropsychiatre, psychologue et psychanalyste. Sa volonté de comprendre et de "réparer d’autres humains" l’amène à franchir les barrières des disciplines, faisant notamment appel à l’éthologie. Il compte parmi les pionniers de l’éthologie humaine et dirige aujourd’hui un groupe de recherche en éthologie clinique à l’université de Toulon-La Seyne. C’est peut-être dans son vécu qu’est apparu l’intérêt de Cyrulnik pour le concept de résilience ; il est aujourd’hui le premier en France à s’atteler à ce principe déjà largement travaillé aux Etats-Unis. Le mot provient du latin resalire (re-sauter). En physique, ce terme décrit la capacité d’un métal à résister aux pressions et à reprendre sa structure initiale.

Passé dans le vocabulaire de la psychologie, il définit la capacité à vivre, à se développer en dépit des adversités. Dans Un merveilleux malheur, l’auteur s’interrogeait sur les "processus de réparation de soi" inventés par les surveillants des camps de la mort ; dans Les vilains petits canards, il explique comment ces processus se mettent en place dès avant la naissance et permettent de se reconstruire après une blessure. Dans un style métaphorique, suivant un cheminement non linéaire, l’auteur met en scène le concept dans ces deux aspects de résistance à la destruction et de reconstruction d’une "vie valant la peine", étayant son propos de considérations théorique et d’exemples cliniques ou historiques.

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