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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

Approches psychanalytiques et anthropologiques dans la rencontre des cultures

Approches psychanalytiques et anthropologiques dans la rencontre des cultures Au travers de cet écrit, nous nous proposons de comprendre dans quelle mesure la rencontre des cultures influence le processus identitaire ? Tout d’abord, dans une partie collective nous tenterons de comprendre s’il existe un lien entre cultures et identités. Puis nous déterminerons comment l’appartenance à un groupe influence le processus identitaire et ensuite, quelles conséquences peut avoir l’exil sur l’individu. Enfin, dans une partie individuelle nous ferons le lien entre approche ethnopsychiatrique et pratiques éducatives.

A travers cet écrit nous avons pu vérifier que la culture fait partie intégrante de la construction de l’identité. L’individu est traversé par de multiples cultures tout au long de sa vie influençant ainsi sa construction identitaire. Pour se construire, l’individu est toujours inscrit dans un groupe. Par le partage de valeurs communes, le groupe lui permet d’exister. Cependant, il peut être enfermant notamment par des phénomènes de repli communautaire.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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La décentralisation en matière sanitaire et social

La loi du 22 juillet 1983 complétant celle du 7 janvier 1983 relative au transfert de compétences dans le domaine de l’action sociale et de la santé a fixé les nouvelles répartitions des responsabilités entre l’Etat et les collectivités locales. Un nouveau mécanisme entre en jeu : la Commune, le Département et la Région sont pleinement responsables des compétences qui leurs sont attribuées.

Note de réflexion Rituels et obsessions psycho-pathologiques des adultes déficients
Premièrement je m'attacherais à décrire brièvement le contexte du stage, c'est-à-dire que je présenterais sans rentrer dans les détails la Maison d'accueil spécialisé, son histoire, ses missions, le public qu'elle accueil et à quelles conditions... Dans une deuxième partie, je décrirais sommairement le déroulement d'une journée-type, puis je ferais part des conclusions de mes observations sur un des groupes de résidents (le groupe 5) au sein duquel j'ai passé la plupart de mon temps durant le stage. Je décrirais les spécificités des cinq membres qui vivent en collectivité sur ce lieu de vie, leurs habitudes, leurs stéréotypies, les problèmes et moments de plaisir rencontrés par le personnel éducatif auprès de ces résidents...
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

DPP : L’autorité
Ce Dossier de Pratique Professionnelle a pour objectif de m’interroger sur ma fonction en tant que future professionnelle, sur ma relation à l’usager et sur ma pratique afin de favoriser la construction de son identité et le développement de ses compétences et capacités. Cet écrit se rapporte au domaine de compétence 1 qui inclus l’organisation d’une action socio éducative et l’animation de la vie quotidienne. Quel accompagnement pour ces jeunes qui traversent un stade de développement important pour leur construction personnel ?Comment pouvoir aider ces jeunes dont le comportement , les actes et les paroles peuvent être, à tout moment, imprévisibles et dont les caractères sont parfois si changeant ?Quel est le rôle de l’éducateur ?Comment poser un cadre et une autorité sans être dans la toute puissance ?

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