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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

J'ai mal à ma mère

J'ai mal à ma mère

Le docteur Lemay est né en 1931, il a commencé sa carrière en Bretagne comme éducateur spécialisé, puis comme directeur des études à l’école d’éducateurs spécialisés de Rennes. À la fin des années cinquante, il s’est fait connaître par ses publications consacrées à la jeune profession de l’éducation spécialisée. Ayant réalisé pendant cette période ses études de médecine, il est devenu médecin chef du CMPP de Rennes.

Maxime souffre d’une carence affective, aux fils des pages Michel Lemay me donnait les explications à son mal. Il est élevé par sa mère, une femme seule et démunie qui a aussi un lourd passé. Elle l’a abandonné, puis l’a récupéré et abandonné…bien que Maxime ait toujours eu des liens avec elle il n’empêche qu’il soit carencé et sa souffrance très forte. Pour cette mère Maxime était devenu l’enfant persécuteur et elle devenait aussi persécutrice, plus il était pénible a aimer plus la mère se sentait fragilisée, un cercle vicieux s’était instauré et semblait perdurer. Et lors du week-end passé au foyer Maxime, a reproduit les symptômes de mécanismes de brisure comme les appelle M.Lemay.

Catégorie: Fiche de lecture Educateur spécialisé
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Sous le signe du lien Boris Cyrulnik

Si mon choix s’est porté sur cet ouvrage, c’est que la notion de lien, dans une optique de travail auprès de personnes désocialisées, souffrant de maladie mentale ou de troubles du comportement, m’est apparue comme primordiale dans une tentative de compréhension des origines de la défaillance. Le processus d’attachement imprègne la manière dont nous menons nos vies. Il me semble donc important de prendre en considération la forme qu’a pu revêtir cet attachement, de voir comment se sont tissés les liens, afin de regarder de façon un peu plus distanciée certains comportements qui peuvent dérouter ou être mal interprétés.

L’angle adopté pour étudier ici ce concept d’attachement, l’observation éthologique m’a vivement intéressée et c’est une des raisons qui m’a poussée à me plonger dans cet ouvrage.

« Corps, infirmes et société », de Henri-Jacques STIKER

Dans un premier temps l’auteur expose les difficultés qu’il y a à aborder l’infirmité. En effet, le fait de l’aborder implique un engagement et un questionnement personnel, qui nous touche de près ou de loin. De tout temps l’homme a eu du mal à se confronter à l’infirmité, à ce qu’il nomme la malformation, la débilité… Tous ces termes négatifs qui renvoient à des peurs et qui reflètent une gêne. L’infirmité, pour les personnes concernées, entraîne un bouleversement dans une vie, un changement des représentations, une désorganisation des valeurs et une culpabilité.

Le regard des autres, sur toutes déviances qu’elles soient d’ordre psychique, mental ou physique, conduit à une peur, à un rejet. Comme le pense l’auteur, l’infirmité représente une « a-normalité » qui permet de donner corps à la « normalité ». L’homme dans sa quête d’identité et de similitude, à besoin de voir « son opposé » pour se rassurer dans sa normalité. De fait le handicap est prit en compte dans notre société, mais pas complètement, ce qui occasionne une exclusion, que l’on retrouve dans le système économique, culturel… D’où le dilemme entre exclure et inclure.

La dynamique des groupes restreints : Didier Anzieu et Jacques-Yves Martin

Les auteurs font état de cinq catégories fondamentales de groupes. La première catégorie de groupe est la foule : il s'agit d'un grand nombre d'individus qui se retrouvent au même endroit sans avoir clairement cherché à le faire, ils sont là d'après une motivation personnelle (concert, concours, etc.). Puis il y a la bande : ce sont des personnes réunies volontairement, pour le plaisir d'être ensemble. Le groupement : il s'agit d'individus qui se réunissent à une certaine fréquence avec un objectif permanent.

Le groupe primaire ou groupe restreint : petit nombre de membres qui possèdent de nombreux échanges, des relations affectives, des sentiments, des normes, des rôles différents et une poursuite d'objectifs communs. Puis, il y a le groupe secondaire : on l'appelle aussi organisation, il s'agit d'un système social dont les rapports entre les membres sont froids et formels. De manière générale, il faut au moins trois individus pour former un groupe.

Secrets de famille : Serge TISSERON

S. TISSERON part du postulat qu'il est nécessaire d'avoir des secrets et que chacun en a et en fait. De plus, le plus important n’est pas le contenu du secret mais ses effets et conséquences qu’il peut avoir sur chacun. Enfin, si un secret se répercute négativement sur une ou plusieurs personnes, un groupe familial, il faut pouvoir le dénouer et en guérir.

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