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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

JEC : Stage à responsabilités dans une MECS

JEC : Stage à responsabilités dans une MECS Pour résumer, mon écrit a pour but de mettre en évidence le rôle essentiel du travail d'équipe et de la communication dans l'accompagnement de l'usager. Elle permet aux professionnels membres de cette équipe éducative de transmettre et de recevoir des informations nécessaires aux suivis des situations. Celles-ci viennent enrichir les observations personnelles et collectives et ouvrent ainsi une vision globale des situations, par conséquent permettent de cerner les besoins des usagers et de leur proposer un accompagnement adapté. Le travail d'équipe nécessite une coopération, dans le but de « (réaliser) un but commun » . Cette coopération ne peut s'exercer sans une communication effective entre les membres.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Documents associés

Les notions d'équipe et de conflits en équipe.

Cela fait maintenant près de cinq ans que je travaille dans des établissements sociaux et des expériences les plus marquantes, celles qui m’ont le plus touché sont toutes lié aux relations interpersonnelles dans les équipes. Avant d’arriver et d’exercer cette profession, j’avais créé autour de ce métier tout un idéal constitué de solidarité, de félicité, d’honnêteté… de respect. Je pensais naïvement, atteindre un territoire de quiétude et de bonté. Voici le fantasme de ma jeunesse, voici l’image que je m’étais faite de ce métier à treize ans, l’âge auquel je donnais un sens à mon devenir professionnel. Mais la réalité est souvent difficile pour les rêveurs, dès les premières semaines passées au sein d’une structure sociale, la réalité venait soigneusement balayer mes douces rêveries. J’ai appris que la confiance en l’autre n’était pas quelque chose d’inné chez les éducateurs, j’ai appris que l’écoute et la remise en question n’était pas plus présente chez un éducateur que chez un fervent nationaliste. Mais tout cela n’a pas écorché mes désirs de jeunesse, je continue à croire en la solidarité et l’esprit d’équipe. Il est difficile dans ce métier de réaliser des actions seul, l’unité dans un groupe est une force, c’est à partir de cette idée forte, à mes yeux, que j’ai choisi de mettre par écrit cette réflexion.

Etude du film «Trainspotting», de Dany Boyle
Un groupe de jeunes en marge de la société, à une époque particulière de l'histoire de leur pays, et qui est réuni par et pour la drogue: nous avons choisi d'étudier le film « Trainspotting », de Dany Boyle, car après un premier visionnage, nous avons toutes étés convaincues de l'intérêt de ce film pour l'étude des phénomènes de groupe.
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. Face aux enjeux émergeants (en terme de qualité) des prestations tant aux niveaux législatif que concurrentiel, les associations devront se préparer à répondre à ces « nouveaux besoins » et à s’interroger sur leurs performances sociales. Pour le sociologue Maurice Tachon , chacun doit aujourd’hui s’accorder sur l’importance et la nécessité d’une évaluation. Cependant, elle pose depuis près de trente ans autant la question de la place du travailleur social que celle de l’usager.

Cadre de vie et quotidien « Le temps des devoirs »
De l'enfant victime à l'enfant délinquant, de l'enfant exubérant à l'enfant mutique, de l'enfant souffrant à l'enfant rageur, de l'enfant rejeté par sa famille d'accueil à l'enfant rendu par une institution, du premier placement à celui qui dure depuis la plus « tendre enfance », les raisons d'accueil des jeunes sur ces services sont diverses. Les situations vécues par les jeunes accueillis au sein du foyer sont d'une grande diversité. Regroupé sous le vocable « d'enfants en danger », ils présentent tous des problématiques particulières. Certains ont vécu au sein d'un environnement familiale pathogène ou disloqué (maltraitances, abus sexuels, négligences, carences affectives, alcoolisme, problèmes psychologiques...). Certains arrivent après une rupture dans leur famille d'accueil ou dans l'établissement spécialisé qui les accueillaient. Tous on vécu ou sont en train de vivre une rupture ou une séparation avec le milieu familial. Par conséquent le travail autour de la relation avec les familles est incontournable.

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