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Moniteur-éducateur

Le moniteur-éducateur a un rôle d'animation, de prévention et d'éducation auprès de personnes en difficulté : enfants, ados, adultes ou personnes âgées. Il est le bras droit de l'éducateur spécialisé, qui détient la responsabilité d'élaborer des projets.

DC4 : présentation d'un IME, fonction et rôle du ME

DC4 : présentation d'un IME, fonction et rôle du ME A l’arrivée du jeune, une évaluation est faite. Celle-ci est renouvelée tous les ans et examinée avec l’équipe éducative et thérapeutique pour une éventuelle réorientation soit en classe spécialisée à temps plein ou à temps partiel dans le circuit ordinaire, soit en IMPRO . Les jeunes scolarisés ont entre 10 et 19 ans. En effet, si le projet individualisé élaboré pour le jeune le nécessite, la scolarité peut être prolongée au-delà de 16 ans. Sur décision de la CDAPH , l’IME accueille des enfants et adolescents de 4 à 18 ans en internat et semi internat, originaires (sauf exception) du département du Var. Si nécessaire, des dérogations peuvent être accordées afin que le séjour dans l’établissement se prolonge au-delà de la majorité légale (amendement Creton ) .La répartition actuelle est de 32 garçons et 9 filles.

J’ai pu au cour de mon stage comprendre le cadre et la position du moniteur éducateur par rapport au missions de l’institution qui se réfèrent aux différentes lois de l’action social et médico-social. Au sein de la structure j’ai vu et compris comment les différents textes règlementaires sont appliqués sur le terrain pour définir l’accueil des usagers, leur quotidien, les réunions et les projets personnalisés. Toutes mes actions ont été réalisées en accord avec l’équipe, en respect du projet et des missions de l’établissement. Pour les différents moments de la vie en institution j’ai pris le temps de répondre aux besoins des usagers en respectant leurs rythmes, leurs potentialités et leur projet personnalisé. Tout ceci a été réalisé dans le respect des différentes lois qui régissent l’action de l’IME.
Catégorie: Travaux U.F. Moniteur-éducateur
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La violence des mineurs en institution
Le débat sur la violence des mineurs est un sujet récurrent dans la société actuelle. Ce thème a nourri des débats au sein de la classe politique et a inspiré des textes de lois depuis l’ordonnance du 02 février 1945 qui a affirmé la responsabilité du mineur mais en précisant qu’il devait bénéficier en priorité de mesures éducatives. Cette violence des mineurs a engendré un durcissement de la législation avec notamment les lois PERBEN. Cette évolution législative a indéniablement impacté notre action éducative notamment dans le cadre de l’enfance délinquante avec de nouveaux dispositifs favorisant ce partenariat avec différents acteurs.

J’ai souhaité abordé cette thématique de la violence des jeunes en institution à partir de situations éducatives constatées sur le terrain. J’ai été interpellé par la recrudescence de la violence exprimé par certains jeunes lors de contextes d’intervention éducative et je me suis questionné sur les raisons de cette violence et les réponses que l’on pouvait y apporter C’est pourquoi au regard de la problématique, je présenterais les observations qui traduisent cette violence puis j’évoquerais ce phénomène par un éclairage théorique et dans une dernière partie les pistes d’actions éducatives proposées. Afin de prendre connaissance du contexte institutionnel de mon accompagnement, je vous propose une présentation de l’établissement au sein duquel j’évolue.
La juste distance dans la relation éducative : mythe ou réalité
Parmi les questions essentielles qui se présentent au professionnel de l’accompagnement éducatif, il me semble que celle de la distance est une des plus prégnantes. En effet, l'intérêt des travailleurs sociaux pour la question de la distance éducative est très ancien. En ce qui me concerne, j'ai choisi de saisir l'opportunité que m’offrait ce travail d'écrit pour réaliser un véritable travail de réflexion sur ce thème. Il est vrai que depuis mon engagement dans le processus de formation, de nombreuses interrogations ont vu le jour. Cependant, aucune ne l'a fait avec autant de force. Si lors de mes premières expériences professionnelles, je m'interrogeai déjà à ce propos, force est de reconnaître que je n'étais pas outillé pour y répondre. Par ailleurs, je ne pense pas non plus aujourd'hui que la réponse qui découlera de cet écrit sera définitive. J'ai bien conscience que cette réflexion est amenée à évoluer au fil de mon parcours professionnel et personnel.
L'excision : le mur du silence
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Composition sur le cadre institutionnel et la position du moniteur éducateur
Plusieurs lois encadrent le travail en ITEP dont la loi de rénovation de l’action sociale et médico-sociale du 2 janvier 2002 et le décret du 6 janvier 2005 n°2005-11 qui fixe les conditions d’organisation et de fonctionnement des ITEP ; ce décret vient préciser les missions et les obligations des ITEP. Les lois du 14 novembre 2003, 24 mars 2004 et 26 novembre 2006, articles L311-4 et L331-7 du code de l’action sociale et des familles concernent les documents à fournir lors des admissions. La « loi pour l’égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées » du 11 février 2005 réforme les lois de 1975 et de 1987, et introduit de nouvelles dispositions. Entre la loi du 11 février 2005 et celle de 1975, deux circulaires sont parues l’une en février 1982 et l’autre en février 1983. Celles-ci ont définies les différentes formes de l’intégration en insistant sur la notion de projet individuel adapté à chaque enfant et en précisant le cadre de mise en oeuvre. Par la suite, la loi d’orientation sur l’éducation datée de juillet 1989 a réaffirmé le principe de l’intégration scolaire en fixant les cadres nouveaux d’une « école pour tous ». Enfin, la circulaire du 18 novembre 1991 a récapitulé le dispositif d’intégration scolaire mis en place par les textes précédents et tiré les conséquences de la loi d’orientation.

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