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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Note à responsabilité dans un CATTP adolescent

Note à responsabilité dans un CATTP  adolescent Lors de ce stage j'ai pu me mettre dans une situation de responsabilité en répondant à un besoin de l'autre. C'est de notre réponse que naît notre responsabilité. C'est aussi en partant à la découverte de ce qu'est la responsabilité éducative, que j'ai pu porter une réflexion sur cette éthique de la pratique éducative. J'ai pris conscience que chaque réponse que nous feront nous rend responsable, et lorsque nous avons pris cette responsabilité nous nous devons d'avoir une praxis respectueuse de l'autre. Cet écrit a pu m'apporter un autre regard du métier d'éducateur face à sa responsabilité. La responsabilité se basant sur le répondre à ou le répondre de, je dirais que notre responsabilité résiderait sur notre façon à être, à communiquer et à créer du lien avec la personne. La responsabilité réside vraiment dans la relation éducative et ce que nous en faisons.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Dossier Partenariat et Réseau dans un Dispositif de Réussite Educative
Pour résumer, le partenariat inclut une dimension formelle (par une convention signée par chacun des membres, par exemple) alors que le réseau lui n’est pas formalisé. Le mot d’ordre de ces deux formes de travail est tout de même, le travailler ensemble, afin de répondre au mieux aux besoins des usagers. Je trouve particulièrement pertinente l’analyse de Régis Dumont à ce sujet : Pour répondre à la double contrainte de l’environnement, le travail en réseau et le partenariat se conjuguent dans la complémentarité.
Dossier pratiques professionnelles : l'estime de soi
Durant ces semaines, j’ai eu l’occasion de participer à différents ateliers, et il m’a semblé intéressant d’en analyser un. C’est l’objet de ce dossier de pratique professionnelle, pouvoir étudier un atelier, et prendre du recul quand à ma posture éducative. Dans un premier temps, je présenterai la structure à travers son historique, son cadre juridique, son organisation administrative, ses missions, et le fonctionnement de son équipe. Puis, j’étudierai les pratiques éducatives de l’établissement, en développant une journée type, et en expliquant les attentes de l’institution quant au stagiaire, et sa place dans l’Institut Médico Educatif.
Le travail en réseau et en partenariat à l'Empire des enfants (Sénégal)
Dans les rues du Sénégal, les enfants en rupture familiale , les enfants victimes de traite ou encore les enfants perdus sont des milliers. C’est pourquoi l’Empire des Enfants et de nombreux autres établissements agissent autour de cette problématique, priorité de l’action sociale sénégalaise. Associations, Organisations Non Gouvernementales et institutions travaillent ensemble, en réseau et partenariat, pour répondre au mieux aux besoins de cette population. C’est pourquoi lors de mon stage, il était fréquent que je sois amenée à travailler avec celles-ci. Afin de comprendre clairement ce qu’est le travail en réseau et en partenariat, je vais avant tout faire un rappel du cadre institutionnel de l’Empire des Enfants. Je décrirai ensuite le réseau relationnel de la structure, de façon schématique et explicative.
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. 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