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Educateur spécialisé

L'éducateur spécialisé est un travailleur social qui participe à l'éducation d'enfants et d'adolescents dits inadaptés. Il soutient aussi des adultes présentant des déficiences physiques et/ou psychiques pour les aider à retrouver de l'autonomie.

Accompagnement éducatif de la personne : Dilo

Accompagnement éducatif de la personne : Dilo Pour illustrer la fonction « accompagnement éducatif de la personne ou du groupe », je fais le choix de relater la situation éducative vécu avec un jeune mineur étranger que je nommerai Dilo pour des raisons d’anonymat et de respect de la confidentialité due à la personne. Lors de l’admission de Dilo, je recueille des informations concernant sa famille. D’après les éléments du dossier de demande d’asile (récit de vie). Ces parents se séparent lorsqu’il à neuf ans. Après avoir célébré religieusement leur union, la mère explique avoir entamé une relation de concubinage en 1991 avec M. D.Z en Serbie.

Au terme de trois mois seulement, je découvre Dilo différent profitant de ce nouvel environnement comme un lieu neutre et apaisant. Il se retrouve très rapidement dans le bain de la société d’accueil, dans son espace le plus initiateur à une culture commune : l’école. Dilo s’est adapté très rapidement à la vie française, il a déjà acquis une bonne pratique de la langue d’accueil. Il se montre réceptif aux consignes et aux règles et devient plus attentif à son apparence physique. Il se lave, entretient son corps, son visage ainsi que ses vêtements qu’il change plus régulièrement. Dilo prend soin de lui.
Catégorie: Travaux U.F. Educateur spécialisé
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Comment l'éducateur accompagne, au travers de situations de séparations, l’individu vers son autonomie ?
J’ai pu me rendre compte que la séparation était au centre de la problématique de tous les jeunes accueillis en institution, qu’ils soient porteurs d’un handicap ou en carences éducatives, sociales et familiales. Une séparation réussie permet à la personne de grandir. Une séparation vécue comme une rupture, peut faire des dégâts. Je vais exposer les situations très différentes de trois jeunes. Le premier porteur d’un handicap, est accueilli à la journée dans un I.M.E. Les deux autres sont des jeunes filles reçues à l’internat dans les « studios intérieurs ». La première est là à la demande de ses parents dans le cadre d’un accueil provisoire, l’autre est une « jeune majeure », donc, à sa demande.
"En tant qu'éducateur spécialisé, Comment faciliter les démarches administrives pour les mineurs isolés étrangers en MECS dans une dynamique partenariale? "
Je commencerai, dans une première partie, par un bref historique de mon site qualifiant avec les lois qui le régissent, suivi de la présentation et des missions de l’équipe selon les valeurs l’institution, ainsi que la présentation du public accueillis. Dans une seconde partie, je commencerais par comprendre le sens des mots « partenariat », « réseau » et « territoire ». Je l’ai définirais en m’appropriant de celles de différents auteurs. Puis j’étendrais ma recherche vers une étude de territoire dans les lieux environnant le foyer et celui qui est en relation avec la problématique abordé. Je finirais cette partie en citant les partenaires et réseau déjà existants et ceux qui sont en cours de d’élaboration.
Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens.

Le concept d’évaluation : une démarche en quête de sens. « L’évaluation est une démarche opérationnelle : elle aboutit à un projet d’intervention, c’est un outil pour mieux travailler. » Charles de Robertis Evaluer signifie « porter un jugement sur quelque chose par référence à sa valeur supposée ou réelle. » La définition du Conseil scientifique de l’évaluation permet de mieux cerner cette démarche dans le travail social : l’évaluation serait « une activité de rassemblement, d’analyse et d’interprétation de l’information concernant la mise en œuvre et l’impact des mesures visant à agir sur une situation sociale ainsi que la préparation de mesures nouvelles». Pour Jacques Ladsous , ce serait « une estimation de la valeur, du nombre et de l’importance ou de la grandeur des choses. ». Elle repose sur des procédures de quantification de type approximatif qui s’appliquent à des phénomènes difficiles à cerner. En outre, l’évaluation n’est ni une science ni une procédure standardisée ; il s’agit d’une démarche qui est toujours en devenir, qui se construit en même temps que s’élaborent les outils qu’elle utilise, suivant des procédures programmées permettant in fine d’apprécier l’efficacité d’une action. La démarche évaluative se caractérise par des temps d’intervention spécifiques, tant au niveau global (ex-ante, concomitante, ex-post, …) qu’individuel (évaluation dynamique, clinique, étiologique, …). Elle cherche à identifier, mesurer et confronter. Alain Dumez dit d’ailleurs que cela «situe curieusement [l’évaluation] comme une vérification pertinente des objectifs construits et toujours à reconstruire». Elle prend différentes formes (grilles d’évaluation) et utilise une méthode spécifique à chaque objet étudié (méthodes « PASS », « DELPHI », « FAVARD » pour n’en citer que quelque unes). Evaluer, c’est donc mesurer. La question de la « mesure » est posée : qui et quoi ? Cherche-t-on du quantitatif ou du qualitatif ? Dans les années 70, on s’interrogeait de savoir si la nature même du travail social (schématiquement représentée par bien être et affectif) était évaluable. En 1986, le G.R.E.P mentionnait déjà la dualité de la question de l’évaluation en l’évoquant comme technique miraculeuse parée de toutes les vertus ou au contraire une volonté publique de tout contrôler totalitairement que l’on aurait chargé de tous les maux. Il préconisait face à ce dilemme d’éclaircir sa signification sur un plan épistémologique. Au milieu des années 80, le législateur à ainsi introduit l’évaluation de l’action sociale dans les textes par le biais de la loi particulière de 1986 . Cette loi a été parmi les premiers textes législatifs à introduire la notion et l’exigence de l’évaluation en travail social. L’actuelle loi du 30 juin 1975 présente d’évidentes faiblesses en matière d’évaluation de la qualité. Sa refondation devrait maintenant « obliger » les institutions à généraliser les démarches évaluatives grâce à l’établissement d’un référentiel de bonnes pratiques et émet la proposition d’obligation d’évaluation de la Qualité des prestations dispensées comme condition à la continuité de la labélisation des établissements. « Une démarche évaluative doit pouvoir répondre à deux niveaux : elle doit d’une part permettre de voir si les moyens mis en œuvre servent bien les objectifs que l’on s’est donné. Elle doit aussi apporter des éléments qui permettent d’apprécier si l’objet est pertinent au regard de la finalité. » nous dit encore Alain Dumez. N’ayant pas acquis suffisamment de légitimité scientifique face aux méthodes qu’elle emploie, l’évaluation est d’abord apparue comme un élément stratégique dans l’appréciation des interventions publiques, le bilan financier d’une action sociale constituant le mode essentiel de reconnaissance de l’intervention sociale. On essaie ainsi de mesurer dans quelles conditions une politique est une contribution au changement social, avec quel coût et avec quelles marges. Le financement du social étant pris en charge dans une large mesure par la collectivité, l’évaluation apparaît alors de plus en plus, sinon comme une exigence morale, du moins comme la contrepartie d’une meilleure utilisation des moyens qui sont consentis par les pouvoirs publiques locaux. Les caractéristiques du commanditaire sont donc devenues une des composantes du processus d’évaluation, de sorte que toute démarche d’évaluation est d’abord fonction de la commande, des outils méthodologiques qu’elle emploie et de la pédagogie qui les accompagne. A ce stade, elle allie intérêts publiques et intérêts institutionnels. La mise en œuvre d’une action d’évaluation participe également à la reformulation de la légitimité de l’intervention sociale : elle interroge les pratiques sociales des acteurs et les logiques des institutions. 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Journal d'étude clinique dans un ITEP
Dans un premier temps, je propose de contextualiser l'équipe en présentant la structure dans laquelle elle s'inscrit, le public accueilli, ses missions, ses rapports avec l'extérieur de la structure. Dans une seconde partie, je présenterai une série d'observations, que j'ai pu noter, relative à une intervention éducative de cette équipe auprès de Pavel. Enfin, je tenterai de mobiliser des éléments théoriques afin d'analyser l'apport de l'équipe dans l'intervention, mon positionnement de stagiaire au sein de l'équipe et vis à vis de l'usager pour pouvoir ensuite dégager l'évolution dans la construction de mon identité professionnelle au travers de mon positionnement au sein d'une équipe.

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